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Diffusion de la science

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Predatory journals: A rant by Scott Weese of Worms and Germs Blog. I’m proud of the 70 peer-reviewed journals and book chapters my group published over the years, and none in a predatory journal.

Predatory journals: A rant by Scott Weese of Worms and Germs Blog

Scott Weese seems to spend his mornings like I dowaking up every day to a variety of invitations to submit to journals. No good journal does that. Cédric Villani : “Les scientifiques doivent reprendre la main sur le partage des connaissances” On connait Cédric Villani pour sa médaille Fields et sa passion de la médiation, un peu moins pour son rôle à Wikimédia France.

Cédric Villani : “Les scientifiques doivent reprendre la main sur le partage des connaissances”

Partage des connaissances, accès libre aux données scientifiques : il s’exprime. On connaît votre passion pour la médiation, on sait peut-être moins que vous êtes membre du conseil scientifique de Wikimedia France, association pour le libre partage de la connaissance. Comment avez-vous rejoint le projet ? Cela s’est fait tout naturellement : début 2015, l’équipe créait un conseil scientifique, elle m’a sollicité et j’ai accepté tout de suite. Un conseil scientifique c’est traditionnellement une instance que l’on ouvre le plus possible vers l’extérieur, et cela vaut particulièrement pour Wikipedia qui est un projet très technique mais aussi très sociétal. Êtes-vous utilisateur et contributeur de Wikipedia vous-même ? Je n’y ai jamais contribué, sauf à la marge, essentiellement par manque de temps. D’autres exemples de recherche participative.

Non, nos grand-mères ne s'en sortaient pas aussi bien sans tous ces médocs. - Un peu de science pour la route. Ce qu'on peut conclure de ce billet : les avancées sanitaires des dernières décennies (y-compris les plus récentes) sont spectaculaires, mais en grande partie invisibles.

Non, nos grand-mères ne s'en sortaient pas aussi bien sans tous ces médocs. - Un peu de science pour la route

Penser que "nos grands-mères s'en sortaient très bien sans tous ces trucs", c'est juste oublier qu'elles avaient 7 fois plus de chances de mourir en couche que les mères d'aujourd'hui. Et près de 15 fois plus de chance de perdre leur enfant dans sa première année. Ce qu'il ne faut surtout pas conclure de ce billet : tout est mieux maintenant. C'était pire avant. Je ne parle pas du pouvoir d'achat, du chômage, de la politesse dans le bus, du niveau des élèves de CP, ni même de l'esthétique des Bugatti, mais de santé publique. Bon, l'accouchement à domicile, si tout va bien, ça peut se concevoir.

Si je vous dis que le taux de mortalité infantile a été presque divisé par 100 sur les 250 dernières années, ça ne vous surprendra peut être pas. En 1950, le taux est encore de 50 pour mille (1 bébé sur vingt...). Researchers combat pseudoscience — on YouTube. You probably shouldn’t try to pronounce it, but if you love blueberries you should be thankful for ethyl-3-methylbutanoate — it’s the chemical that makes them delicious.

Researchers combat pseudoscience — on YouTube

That’s exactly the point that Matt Teegarden and nine of his fellow food scientists are hoping to get across. Troubled by the popular refrain that you shouldn’t eat anything with ingredients a child couldn’t pronounce, the Ph.D. candidates created a troupe of advocates called Don’t Eat the Pseudoscience to make friendly YouTube videos explaining that all food, including fresh fruit and vegetables, is made up of chemicals. On the heels of launching their YouTube channel and landing a write-up in The Washington Post, Teegarden (not to be confused with food scientist Justin Teeguarden) and his colleague John Frelka sat down with us to talk about their project, what’s next and the importance of treating food science as a discussion instead of a lecture. Frelka: We all want what’s best for our families. Pour une utilisation critique des réseaux sociaux académiques.

14 février 2014 L’information n’a pas encore reçu beaucoup d’échos en France : et pourtant cela fait plusieurs mois maintenant qu’Elsevier demande régulièrement le retrait d’articles déposés par leurs auteurs sur le réseau social Academia.

Pour une utilisation critique des réseaux sociaux académiques

Si on le regarde sous l’angle de l’open access, cet exemple souligne incontestablement l’« injustice fondamentale de l’actuel écosystème de la communication académique » (John Dupuis). Mais il met également en lumière l’arrivée à maturité des réseaux sociaux académiques : à l’heure où Elsevier peine à se créer une place sur les outils 2.0 (échec de 2collab en 2011, rachat de Mendeley en 2013), il n’est pas étonnant que celui-ci attaque les nouveaux challengers qui se développent auprès des communautés académiques, après avoir laissé faire. Réseaux sociaux académiques ? Ces réseaux se développent progressivement dans le paysage académique français. Parmi tous ces réseaux, trois sortent plus particulièrement du lot : De quelques enjeux de ces réseaux.