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Le marché européen de la SVOD en forte croissance : de 3 milliards en 2016 à 5,2 milliards d’euros en 2020 - ZDNet. En 2015, le marché SVOD de l’Europe de l’Ouest avait atteint 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires. En 2016, il atteindra 3 milliards d’euros, soit un bond de 50% en un an. La SVOD, premier marché vidéo à l’horizon 2020 IHS souligne que le marché de la SVOD européen a connu une rapide évolution en raison de l’arrivée d’acteurs internationaux, Netflix en tête. Tania Loeffler, analyste chez IHS explique : « Lorsque Netflix est arrivé en Grande-Bretagne, les dépenses des foyers européens ont plus que doublé en 2012 à 307,6 millions d’euros.

A fin 2014, en raison du déploiement européen de Netflix et du lancement de Amazon Prime en Grande-Bretagne, en Allemagne et en Autriche, les ventes avaient triplé à 1,1 milliard d’euros. » Les pays Nordiques et le Bénélux tirent le marché A titre de comparaison, l’Allemagne qui a 26,9 millions de foyers n’affichait qu’une dépense moyenne en SVOD de 6,06€, alors que Netflix et Amazon sont présents.

Rattrapage pour l’Espagne et l’Italie. SFR PLAY, le rêve de devenir le leader de la SVOD - ZDNet. A l’origine les abonnés de SFR avaient droit à une offre SVOD bundle avec CanalPlay quand les abonnés de Numéricable eux, devaient se contenter d’un ersatz d’offre SVOD avec LA BOX SERIES aux côtés du Club Vidéo SFR. Le rachat de SFR par Patrick Drahi donna naissance à une nouvelle offre de SVOD unifiée en novembre 2015 : Zive, de l’hebreu rayonnement, splendeur. Un programme ambitieux La feuille de route était claire et ambitieuse : 10.000 programmes en juin 2016 et 15.000 en fin d’année avec 400 programmes 4K en guise de preuve d’innovation.

A fin juin, Zive n’avait pas encore passé le cap des 7.000 programmes en ligne et seulement 56 programmes 4K étaient disponibles ! Présentation de lancement de Zive - D.R. Ce qui n’empêche pas Zive de revendiquer haut et fort sa position de plateforme SVOD numéro 1 en France, avec pas moins d’un million d’abonnés. Un million peut être, mais qui ne payent pas pour avoir le service et surtout qui ne l’utilisent pas forcément. Une offre incomplète. Quels programmes les usagers de la SVOD aiment-ils ? - ZDNet. Le genre préféré des abonnés des deux services est "Drama". Les trois autres genres préférés des abonnés américains à Netflix et à Amazon Instant Prime Video sont les genres « Comedy », « Action et Adventure » et « Crime et Thriller. » En Europe, le classement diffère. Le genre « Comedy » arrive en tête chez les deux opérateurs alors que pour Netflix « Crime et Thriller » arrive en deuxième position et « Documentaires » en troisième place.

Pour Amazon, c’est « Action et Adventure » puis « Sci-Fi et Fantasy. » Les genres préférés aux Etats-Unis - D.R. Les genres préférés en Europe (GB et Allemagne) - D.R. Autre point intéressant, c’est l’offre de programmes proposée par les deux plateformes. Ce qui est étonnant c’est que les genres « Action et Adventure » et « Crime et Thriller» sont les genres préférés des abonnés mais ce ne sont pas les programmes les plus présents en volume. Audiences TV : la fragmentation, bombe à retardement - ZDNet. TNT contre chaînes historiques La fragmentation des audiences est une véritable bombe à retardement pour les chaînes historiques. Même M6, qui en profite largement au mois de juillet 2016, a mis en avant ce phénomène lors de la présentation de ses comptes semestriels.

En dix ans, les audiences des chaînes historiques en clair se sont écroulées, passant de 87% à 61,4% à fin juin 2016. Dans le même temps, les chaînes payantes ont souffert, certaines ont même mis la clé sous la porte. Extrait Rapport Semestriel M6 - D.R. Quant aux chaînes de la TNT de la première génération, elles entrent aussi dans une phase de stabilité, en attente d’un rebond salutaire. Juillet Noir et Blanc Une étape a été franchie en juillet puisque pour la première fois de son histoire TF1 est passée sous la barre de 20% de part d’audience (18,9% pda). Source : Médiamétrie - D.R.

Mais en affichant une part d’audience de 18,9 %, TF1 entre inévitablement dans une zone de questionnement qui concerne toutes les chaînes. VOD : 4 jours pour faire la fête - ZDNet. La VOD aura donc sa fête du 6 au 9 octobre prochain : pour 2€ le film (en SD) et 3€ (en HD), tous les fans de VOD pourront aller sur les 13 plateformes participant à l’opération pour visionner « une sélection de films éligibles. » Sont toutefois exclus de l’offre les programmes hors cinéma (documentaires, humour), les films en téléchargement définitif et les séances de e-cinéma (généralement vendues 6,99€). Organisée par le SEVAD (le syndicat des éditeurs de vidéo à la demande) et soutenue par le CNC, cette opération promotionnelle a pour but de faire découvrir ou redécouvrir l’offre légale de films face à une offre de streaming illégale toujours plus importante.

Les 13 plateformes qui participent à l’opération sont représentatives de la richesse de l’offre VOD disponible en France. Classés par ordre alphabétique pour éviter toutes les susceptibilités, participeront à la fête de la VOD : Bonne fête de la VOD. EnregistrerEnregistrer. Netflix : le prix à payer - ZDNet. Un plafond à 15$ Dans l’étude « Video Trends Report » menée par DigitalSmith (filiale de Tivo) auprès d’un échantillon de 3.114 américains de plus de 18 ans, nous apprenons que le groupe de répondants le plus important (39,1%) déclare ne pas vouloir payer plus de 12 à 15$ son abonnement mensuel à Netflix.

De plus, 29,3% des américains interrogés ne veulent pas payer plus qu’aujourd’hui. Cela signifie que les 2/3 des abonnés de Netflix estiment que la valeur de Netflix ne dépasse pas 15$. Ce qui laisse une marge de manœuvre à Netflix puisque son prix le plus élevé actuel est de 11,99 $. Partage de compte et multiabonnement Plus généralement, 55,9 % des américains dépensent entre 6 et 14$ par mois dans des services de vidéo à la demande par abonnement (SVOD). DigitalSmith met également en évidence que 10 ,4% des répondants déclarent ne pas payer leur accès à une offre de SVOD, profitant de l’accès payant d’une personne de leur entourage et utilisant ses identifiants.

Des usages réguliers. Les 6 enjeux de la rentrée TV 2016 - ZDNet. Le mercato et ses conséquences Jamais une rentrée TV n’aura connue autant de mouvements chez les animateurs. Le mercato TV a été plus animé que le mercato du foot, c’est dire ! La plupart des chaînes historiques et de la TNT ont agité le marché des « anchor(wo)mens » tout l’été, à la recherche de la star qui allait leur servir de locomotive à partir de cette semaine.

A la recherche des émissions qui assureront les succès de l’automne, tous les patrons des programmes se sont battus pour créer l’événement sur des tranches horaires bien spécifiques : cette année l’access est au coeur des stratégies. Et pour ceux qui ne se sont pas payés de nouvelles têtes, les chaînes leur ont offert un lifting : du générique pour les moins fortunés au plateau pour les plus riches. Mais la vraie question qui se pose en cette rentrée, c’est de savoir si tous ces transferts vont se traduire par des migrations de téléspectateurs d’une chaîne à l’autre. Le nouveau paysage de la distribution. Les producteurs de cinéma veulent vendre un film en VOD plus de 8 euros - ZDNet. 3 syndicats (SPI, APC, UPF), 6 réalisateurs médiatiques, soit 95% de la production cinématographique française se sont unis pour écrire une lettre aux décideurs publics et leur soumettre 4 propositions concernant la VOD et plus largement le financement de la filière.

Quelle bonne idée ! Espérons que ces décideurs prendront le temps de la lire. Dans cette lettre, les professionnels soulignent que la politique culturelle de la France «volontariste et intelligente, (…) a su préserver un cinéma national alors que tous ses grands voisins européens voyaient disparaître leur industrie cinématographique au seul profit du cinéma américain». Sans ce «soft power, il n’y aurait plus de création cinématographique française depuis bien longtemps» ajoutent-ils. Mais la révolution numérique est passée par là et se fait de plus en plus menaçante, laissant «craindre purement et simplement la disparition du système de soutien à la création tel qu’on le connaît aujourd’hui.» 2. 3. 4.

@plechevallier. Le distributeur, l’acteur méconnu du cinéma - La Croix. Alors qu’une controverse sur les questions de financement agite le milieu du 7e art, l’activité de distribution aide à mieux comprendre les enjeux de l’économie du cinéma. Affaire Depardieu. Tribune du producteur et distributeur Vincent Maraval sur le salaire des acteurs. Réactions en chaîne. Intervention de la ministre de la culture, Aurélie Filippetti, ainsi que du président du Centre national de la cinématographie (CNC), Éric Garandeau. Lesquels se sont empressés de rappeler les vertus d’un système de financement du cinéma qui permet à la France d’être un des très rares pays au monde à tenir tête au rouleau compresseur hollywoodien… La polémique qui a beaucoup agité le monde du 7e art entre Noël et le Nouvel An a surtout permis au grand public de prendre conscience du mode de fonctionnement très singulier de ce secteur d’activité.

Le distributeur est souvent amené à verser un minimum garanti sur les gains espérés du producteur, auquel il est lié par un « mandat ». Pourquoi la VOD des séries a tant de mal à convaincre en France. En retard voire indisponibles, trop chères, impossibles à lire partout... Les griefs contre les séries TV en vidéo à la demande sont nombreux, alors que le marché du DVD continue sa chute. Quels sont donc les freins et les leviers pour une VOD vraiment compétitive sur les séries ? C'est ce que nous avons voulu savoir avec VOD Factory et la Hadopi. Le marché physique des séries va mal et la vidéo à la demande (VOD) en ligne peine à reprendre le flambeau. De janvier à septembre, les ventes physiques de séries ont baissé de 11,2 % en valeur, selon les derniers chiffres du CNC, alors que les services de VOD ne sont pas encore armés pour attirer les clients.

Les initiatives ne manquent pourtant pas. Fin octobre, la Fnac a lancé FnacPlay, un service de vidéo à la demande géré par la startup française VOD Factory. Sur les prix, l'étau des ayants droit et d'iTunes L'un des principaux freins actuels sur les séries en VOD est le prix. Des promotions et packs pour faire fondre les tarifs. Les modèles d’affaires du web 2.0. Les sites web 2.0 offrent toujours un accès gratuit à leurs services. Leur économie repose donc sur la capacité à valoriser les activités et les échanges qui se développent sur le site de manière à générer des revenus autour de ce service gratuit.

Jean-Samuel Beuscart, Christophe Dacheux et Kevin Mellet, chercheurs au laboratoire Sense d’Orange Labs ont cherché à identifier les différentes modalités de monétisation de la présence et de l’activité des utilisateurs. L’occasion, à travers la modularité de ces différentes combinaisons, de mieux identifier et comprendre les modèles d’affaire du web 2.0. On peut identifier quatre modalités distinctes de monétisation de la présence et de l’activité des utilisateurs. Pour la plus répandue d’entre elles, la publicité, on peut en outre distinguer quatre façons très différentes de faire de la réclame en ligne, dont deux sont spécifiques aux univers du Web 2.0. 1.

Ces quatre formes de monétisation assurent aux sites web 2.0 des revenus directs. 2. 7 raisons pour lesquelles Netflix n’arrive pas à faire décoller son audience. Lundi, l’action de Netflix plongeait de plus de 15%, peu après l’annonce de résultats trimestriels “décevants”. Le service de streaming n’enregistre qu’une timide progression au niveau du nombre d’abonnés en dépit de son déploiement international. Une situation complexe qui trouve de nombreuses explications… Crédit photo : AFP Le mode hors-ligne tarde à arriver C’est sans aucun doute l’une des fonctionnalités les plus attendues par les utilisateurs de Netflix.

Netflix n’a pas encore trouvé son Game of Thrones Aux Etats-Unis, une grosse partie des abonnés ont vu les prix de leur abonnement augmenter sensiblement au cours des dernières semaines. L’offre régionale se développe trop lentement Au niveau régional, Netlix peine à harmoniser ses catalogues. Le catalogue américain régresse En l’espace de deux ans, le nombre de films accessibles depuis le service de streaming aurait diminué de 33% et le nombre de séries de 26%. Netflix ne tolère plus l’utilisation de VPN. Le piratage a forcé l'animation japonaise à se réinventer en France. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Guénaël Pépin La guerre de l'industrie de la culture contre le téléchargement illégal pourrait-elle se finir sur un traité de paix ?

L'usage gratuit pourrait ainsi bien être à la base du renouveau de l'animation japonaise en France, l'un des secteurs les plus touchés. Alors que la vidéo à la demande peine à s'installer en France, les éditeurs français d'animés tentent de s'adapter au téléchargement illégal en l'utilisant à leur avantage. Pour s'adresser à un public habitué aux films et séries disponibles gratuitement dès leur sortie japonaise, ces éditeurs développent des services nouveaux, à même de détourner les spectateurs du fansub (fan subtitles), les sous-titrages amateurs réalisés par des fans et devenus la norme sur Internet.

Le fansub d'animés ne date pourtant pas du réseau des réseaux. Cette pratique s'inscrit dans une "zone de tolérance" imaginée : l'absence d'ayants droit français pour une série ou un film. L’article de la Directive Services Medias Audiovisuels qui veut réguler les services de SVOD américains - ZDNet. Le vice-président de la Commission européenne chargé du marché numérique unique, Andrus Ansip et le commissaire Günther Oettinger doivent présenter les modifications apportées à la Directive avec un tas d'autres propositions concernant la politique numérique sur le commerce électronique et le geoblocage. Mais l’article qui a fait le buzz lors du Festival de Cannes, c’est l’article 13 qui modifie les modalités de fonctionnement des services à la demande, principalement les plateformes de SVOD, comme Netflix et Amazon. La révision de la Directive Services Médias Audiovisuels (SMA) tient dans un document d’une trentaine page que le site Euractiv a publié cette semaine.

L’article 13 contient 5 alinéas qui ont pour ambition de rééquilibrer les rapports entre les nouveaux acteurs du marchés et les acteurs traditionnels et nationaux : chaînes de télévision, services de VOD et de SVOD. • 15 % et 12 % dans les autres cas. Disruption numérique et impacts sectoriels | BSI Economics. Résumé : · La croissance exponentielle du numérique a un impact sur tous les secteurs d'activité · Ces transformations auront des effets de « destruction créatrice » dans tous les pans de l'économie en impactant directement le fonctionnement des marchés · Les disruptions numériques génèrent des changements profonds des acteurs économiques et accompagnent la désintermédiation Le dynamisme de l'économie numérique a des effets de destruction créatrice[1]. En effet une innovation et sa diffusion permet de réaliser des gains de productivité, de créer de nouvelles activités et donc des nouveaux emplois, synonymes de croissance. Or avec l'apparition des innovations, certains emplois peuvent disparaître, mais également certaines entreprises, qui ne sont pas préparées à la transition numérique et dont leurs anciennes technologies deviennent obsolètes, mettant ainsi en péril leur place sur le marché et leur futur.

L'économie Numérique : Innovation déroutante Figure 1. Conclusion Bibliographie : « D! Comment regarde-t-on les séries télévisées? Séries TV, un phénomène de société | Agnès Chauveau. Eric Scherer prône un journalisme réinventé et augmenté. Droit d'auteur. Le marché anglais de la vidéo bascule dans le digital - ZDNet.