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Bahreïn. Egypte. Libye. Bahreïn, Libye, Yémen: Obama condamne les violences contre les manifestants. Le président Obama a parlé vendredi au roi de Bahreïn, cheikh Hamad ben Issa Al Khalifa, et condamné la violence employée par les forces de l'ordre qui a fait quatre morts et des dizaines de blessés, a indiqué la Maison Blanche dans un communiqué. Barack Obama "a réitéré qu'il condamnait la violence employée contre des manifestants pacifiques et a vivement pressé le gouvernement de Bahreïn à faire preuve de retenue et à tenir responsables ceux à l'origine de la violence". "En tant que partenaire de longue date de Bahreïn, le président a dit que les Etats-Unis croyaient que la stabilité de Bahreïn dépend du respect des droits universels du peuple de Bahreïn et d'un processus de réformes significatives qui réponde aux aspirations des bahreïnis", ajoute la Maison Blanche. "Je suis profondément inquiet concernant des informations faisant état de violences à Bahreïn, en Libye et au Yémen", avait dit M.

Moyen-Orient: Zawahiri (Al-Qaïda) fustige les alliés des USA arrivés au pouvoir. Selon SITE, Ayman al-Zawahiri a diffusé son troisième message audio à la suite des soulèvements dans le monde arabe, enregistré entre la chute du régime de l'ancien président tunisien Ben Ali et celle du gouvernement égyptien d'Hosni Moubarak. Le numéro deux d'Al-Qaïda appelle également les Tunisiens à résister contre "l'occupant français" et à établir un régime qui soit "un modèle d'assistance et de justice pour vos frères". Selon al-Zawahiri, les Etats-Unis ont abandonné le président tunisien à la mi-janvier quand il est apparu que le soutenir devenait impossible. "Cependant, la direction des affaires reste entre les mains d'hommes de l'Amérique, ses agents et ses soldats", a jugé al-Zawahiri.

La même chose s'est produite en Egypte, a-t-il indiqué dans ce message enregistré avant la chute de Moubarak. Selon al-Zawahiri, une "alternative" s'est présentée, en la personne de Mohamed El Baradei, l'ancien directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). MOYEN-ORIENT • Obama aime le printemps arabe. Le président américain a placé la démocratie dans le monde arabe au centre de son discours très attendu.

Mais il ne propose toujours pas de stratégie concrète pour résoudre le conflit israélo-palestinien, relève le quotidien panarabe Al-Hayat. Il y a deux ans, Barack Obama avait parlé aux Arabes et aux musulmans à partir du Caire [5 juin 2009]. Il disait sa volonté d'encourager la démocratie au Moyen-Orient. On le considérait alors comme un doux rêveur. A l'époque, le président égyptien s'appelait Hosni Moubarak. En Libye, le colonel Mouammar Al-Kadhafi coulait des jours heureux dans sa Jamahiriya tandis que son fils endossait le costume du modernisateur impatient d'en finir avec la "vieille garde". Depuis le discours du Caire, beaucoup de choses ont changé. Quant à la paix israélo-palestinienne, il a répété des principes généraux, ce qui ne change rien au fait qu'il n'a pas réussi de percée dans ce dossier fondamental. Hillary Clinton érige la Turquie en modèle pour le printemps arabe. "La région, et les peuples du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord en particulier, veulent retirer les leçons de l'expérience de la Turquie.

Il est vital qu'ils apprennent les leçons que la Turquie a apprises et qu'elle met en pratique tous les jours", a déclaré la secrétaire d'Etat lors d'une conférence de presse à Istanbul avec son homologue Ahmet Davutoglu. "L'histoire de la Turquie rappelle que le développement démocratique dépend de dirigeants responsables", a-t-elle ajouté: "Il est important que ces dirigeants responsables se fassent les mentors de la nouvelle génération de dirigeants dans ces pays". Après la réunion du Groupe de contact sur la Libye vendredi, Mme Clinton a consacré à des entretiens bilatéraux et à une interview télévisée de près d'une heure le second et dernier jour de sa visite en Turquie. Elle en a profité pour affirmer haut et fort la vigueur des liens "solides" entre Washington et l'unique pays musulman membre de l'Otan. MOYEN-ORIENT • L’Europe a un rôle à jouer.

Depuis longtemps actrice secondaire dans le monde arabe, l'UE pourrait se poser en force constructive entre des Etats-Unis et une Russie qui ne sont pas à la hauteur des bouleversements dans la région, estime une chronique d'Al-Hayat. presseurop.eu 28 juillet 2011 | Partager : L'intérêt déclinant des Américains pour les affaires internationales et le retour des Russes vers une mentalité soviétique constituent une opportunité pour les Européens de jouer un rôle de premier plan sur la scène internationale.

Le Moyen-Orient, le Golfe et l'Afrique du Nord sont géographiquement proches de l'Europe et celle-ci y a de nombreux intérêts économiques et stratégiques. L'Europe a reculé durant les décennies passées pour être réduite, comme au temps de la bipolarité américano-soviétique de la Guerre froide, à n'être qu'une sorte de satellite. Et ce malgré les liens historiques entre l'Europe et le monde arabe. Les USA s'inquiètent de l'utilisation des armes vendues dans le Golfe. Lorsque les États-Unis exportent ce type d'équipements, l'acquéreur doit s'engager à en être l'utilisateur final et ne peut utiliser ces équipements dans des activités contraires aux droits de l'homme.

Les tensions dans le monde arabe, notamment la répression d'un mouvement de contestation à Bahreïn avec l'aide de l'Arabie saoudite et des Émirats arabes unis, ont conduit le législateur américain à s'inquiéter du détournement potentiel des équipements américains qui leur sont vendus. "Nous devons nous assurer que ces équipements ne soient pas détournés vers des tierces parties et que les groupes et unités censés les recevoir ne soient pas impliqués dans les violations des droits de l'homme", a expliqué dans un communiqué la présidente de la commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants, Ileana Ros-Lehtinen. Le département d’État est pour sa part épinglé pour son manque de vérification après la livraison à l'utilisateur final. Printemps arabe: Barack Obama propose un fonds de 770 millions de dollars. Ce nouveau "Fonds d'encouragement pour le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord" fait partie des quelque 51,6 milliards de dollars du budget 2013 du département d'État et de l'Agence américaine pour le développement international (USAID), a indiqué le département d'État.

Le fonds est destiné à apporter une "réponse stratégique aux changements historiques qui ont lieu dans la région", a expliqué la diplomatie américaine. Il "encouragera les réformes à long terme sur les plans politique, économique et commercial, en soutenant les gouvernements qui montrent leur engagement à mener des changements significatifs et à donner le pouvoir au peuple", a ajouté le département d'État. Les pays qui pourraient bénéficier de ces fonds n'ont pas été identifiés, mais les Etats-Unis ont donné des dizaines de millions de dollars à l'Égypte et à la Tunisie après les révolutions de l'an passé. Belga.

11 septembre 2012 : film anti-islam

Soutenir les démocratisations arabes, une "nécessité stratégique", selon Hillary Clinton. "Pour les Etats-Unis, soutenir les transitions démocratiques ne relève pas de l'idéalisme. C'est une nécessité stratégique", a déclaré la chef de la diplomatie américaine au cours d'une conférence à Washington sur les transitions politiques des pays du Maghreb et du monde arabe. Près de deux ans après le début du Printemps arabe en Tunisie en décembre 2010 et alors que les Etats-Unis ont soutenu pendant des décennies des régimes autoritaires arabes, comme en Egypte, Mme Clinton a promis que son pays ne ferait plus ce "mauvais choix entre liberté et stabilité". "Revenir en arrière, retrouver les choses telles qu'elles étaient avant décembre 2010 n'est pas seulement indésirable, c'est impossible!

" a-t-elle lancé. "Ce serait une erreur stratégique qui nous coûterait cher et qui saperait à la fois nos intérêts et nos valeurs", a encore assuré la secrétaire d'Etat. Il avait jugé que le Printemps arabe représentait un "progrès".

Révolution de Jasmin

Syrie. Yémen.