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Reste du Moyen-Orient

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Algérie

Arabie Saoudite. Bahreïn. Egypte. FRANCE 24 - Le Web, cauchemar des régimes arabes en proie à la contestation. FRANCE 24 - Facebook, Moubarak et Ben Ali pas vraiment "amis" MONDE ARABE • Un apartheid médiatique. La majorité des médias arabes souvent financés par les pétrodollars deviennent muets lorsqu'il s'agit de couvrir les révoltes secouant l'Arabie saoudite et les pays du Golfe, déplore le directeur du quotidien pan-arabe Al-Quds al-Arabi. 17 mars 2011 | Partager : Lorsque la journaliste de la BBC Sue Lloyd Roberts a demandé à un responsable de l'ambassade saoudienne à Londres si l'Arabie saoudite risquait elle aussi d'être ébranlée par des mouvements d'opposition, celui-ci lui a rétorqué avec un large sourire que les manifestations n'y auraient pas le même impact qu'ailleurs "parce qu'aucune chaîne de télévision n'osera couvrir l'événement comme en Tunisie, en Egypte ou en Libye".

J'ai repensé à cette phrase en zappant sur mon petit écran à la recherche de reportages sur les manifestations dans le royaume saoudien, ou sur les forces de l'ordre qui avaient été déployées massivement afin de les étouffer dans l'œuf. En vain. 20110316.jpg (Image JPEG, 500x310 pixels) Espagne: la police arrête trois pirates informatiques liés à "Anonymous"

Ces "hackers" qui vivaient à Barcelone (nord-est), Valence (est) et Almeria (sud), sont présentés comme "les trois responsables" d'Anonymous pour l'Espagne, selon un communiqué de la police. Au domicile de l'un d'eux a été retrouvé un serveur informatique à partir duquel des attaques ont été menées contre les sites des gouvernements d'Egypte, d'Algérie, de Libye, d'Iran, du Chili, de Colombie et de Nouvelle-Zélande, a ajouté la police. A partir du même serveur, des attaques ont également été lancées contre la boutique en ligne de Playstation, les sites des banques espagnoles BBVA et Bankia, et le groupe d'électricité italien Enel. Une "organisation de hackers structurée en cellules indépendantes" Ces pirates sont aussi accusés d'avoir mené récemment des attaques contre les sites web de la police régionale de Catalogne, de la Commission électorale espagnole ou encore du syndicat UGT.

Il s'agit de "la première opération policière en Espagne contre Anonymous", souligne-t-elle. Jordanie: 10 blessés dont 9 journalistes lors d'une manifestation à Amman. Cinémas en Afrique : c'étaient les dernières séances. Le Cinéma Opéra devenu le bastion de l’association Save Cinema in Marocco (SCIM). « Les pays arabes ont connu une révolution politique. Ils ont aussi besoin d’une révolution culturelle. » Et pour Tarik Mounim, fondateur de l’association Save Cinémas in Marocco, la révolution culturelle, ça passe par la sauvegarde des salles de cinéma marocaines : « Je tournais une scène d’un film dans le cinéma Téatro Espanol, l’une des plus belles salles marocaines, laissée à l’abandon. Entre deux scènes, je discute avec un monsieur qui était là tous les jours.

Tarik Mounim, la trentaine joyeuse, met alors sa carrière de comédien entre parenthèses et entame un tour des salles obscures du Maroc afin de les répertorier et de dresser un état des lieux. . « Ce sont des salles de 1 500 places, des bijoux d’architecture qu’on ne trouve nulle part ailleurs qui sont abandonnés. Le piratage ? Au cœur de Bamako, le ciné Soudan, qui devrait rouvrir en 2014 (Atelier d’architecture Lalo). Problème : ça coûte cher. Prix Nobel de la Paix: le Printemps arabe nobélisé ?: Laissons les internautes en Paix. L’attribution du Prix Nobel de la Paix est à l’origine, cette année encore, de querelles entre les pour et les contre. Cette fois, la guéguerre pour la Paix a une saveur particulière: parmi les 241 propositions, le printemps arabe figure en bonne place.

Parmi ces nobélisables potentiels, ne figure pas le Tunisien Mohamed Bouazizi, entré dans l’Histoire par immolation, mais sa concitoyenne Lina Ben Mhenni, sortie de l’anonymat grâce à Facebook. Comme ont été oubliés les milliers de manifestants de la place Tahrir qui ont fait fuir qui l’on sait, mais pas le bloggeur Wael Ghonim, l’inattendu héros qui a passé onze jours de détention. Ainsi, les dictatures arabes ont réussi à unifier les internautes… Et le Prix Nobel de la Paix à les diviser. Que va décider le comité Nobel dont la décision est attendue pour vendredi prochain? Peu importe. Mais que le Nobel de la Paix laisse les internautes en paix. Après la révolution, les blogueurs tunisiens cherchent leur place. Arab bloggers move into Nobel contention. Tunisia's famous blogger Lina Ben Mhenni.

Photo: AFP TUNIS: Arab bloggers in Tunis have discussed the role they played in the Arab Spring, just days before the announcement of the Nobel Peace Prize for which some among them are considered frontrunners. As the meeting got under way in the country whose ''Jasmine Revolution'' kicked off the turmoil in the Arab world, the focus was on local blogger Lina Ben Mhenni. The young woman who chronicled the revolution in her country is considered one of the frontrunners for the famed prize to be announced on Friday in Oslo. ''Of course cyber activism as a movement can change things, but we cannot forget that the Tunisian revolution began on the ground,'' Ms Ben Mhenni said, adding that if she did indeed win the Nobel Peace Prize she would dedicate it to ''the martyrs and the wounded throughout Tunisia''. Advertisement Others echoed the sentiment. The Nobel Committee keeps its list of candidates for the Peace Prize a closely guarded secret.

Warda Al-Jazairia, chanteuse algérienne • Contre-révolutionnaire. Koweït : Les Bidounes arrivent sur le Net pour revendiquer leurs droits. [Liens en anglais sauf mention contraire] Les apatrides du Koweït (appelés bidoon en anglais, bidun ou bidoune en français), qui sont à présent plus de 120 000, se battent depuis le début de ce que l’on a appelé le Printemps arabe – malgré le fait que des atrocités commises par les clans dominants ont été subies par le peuple arabe – pour faire entendre leurs voix [en français]. Eux aussi ont organisé des rassemblements et des manifestations pour attirer l’attention sur leurs conditions difficiles. Qualifiés généralement de “Bidun”, cette dénomination équivalant à “être privés de tous droits”, les apatrides du Koweït sont des générations d’hommes et de femmes privées de nationalité ou des documents nécessaires pour avoir des papiers d'identité. Le nouveau blog pour les droits des Bédounes, qui présente la lutte des apatrides du Koweït.

D’après la page d’accueil du blog : Et elle continue ainsi: Ce réseau naît du besoin. Une artiste koweitienne expose « un monde d'homme » : censuré | Rue89 Culture. L’artiste koweïtienne Shurooq Amin est sous le choc après la fermeture de son exposition de peintures sans aucune explication. Selon différents comptes rendus, des hommes se sont introduits dans l’exposition trois heures après son ouverture et ont décroché ses peintures, prétextant avoir reçu des plaintes sur la teneur des tableaux. Le 5 mars, durant l’incident, l’artiste a tweeté : @shurooqamin : « Ils veulent décrocher les peintures ! #art #censure #Koweït » Les oeuvre en question sont indécentes aux yeux de certaines personnes car elles s’attaquent au tabou du sexe. Une des oeuvres de Shurooq Amin (Via May Al Najjar sur Twitter) En réaction à la fermeture de son exposition, Shurooq Amin a publiée des photos de ses oeuvres sur son site internet. Ces derniers jours, en soutien à l’artiste, de très nombreux tweets ont été publiés au Koweït avec le hastag #painttofreedom (Peindre jusqu’à la liberté).

Shahd Alshammari ajoute : Abrar AlShammari ajoute : TURQUIE • Quatre journalistes libérés, et après ? Cette récente libération est une bonne nouvelle, tout comme la volonté affichée de tenir compte désormais des décisions de la Cour européenne des droits de l'homme. Mais le pays est malgré tout encore loin d'être un véritable Etat de droit, constate Milliyet, exemples à l'appui. 14 mars 2012 | Partager : Il y avait longtemps que la communauté des journalistes de ce pays n'avait plus reçu de nouvelle aussi réjouissante. Les journalistes Nedim Sener et Ahmet Sik, ainsi que Coskun Musluk et Sait Cakir viennent enfin d'être libérés. Mais le développement d'un véritable Etat de droit est encore freiné par de trop nombreuses atteintes à la démocratie et à la justice. Outre ces arrestations, un autre scandale vient de se rappeler à notre bon souvenir, celui du procès du massacre de l’hôtel Madimak à Sivas.

Il y a quelques jours, des maisons de la ville d'Adiyaman [Sud-Est] ont été marquées à la peinture, non sans provoquer de l’inquiétude ! Irak : Première conférence des blogueurs irakiens. (liens en anglais) Les médias sociaux n'en sont encore qu'à leurs premiers balbutiements en Irak, et le fait que seulement 3% de la population ait accès à internet ne fait rien pour accélérer les choses. Malgré cela la première conférence des blogueurs iraniens qui a eu lieu les 8-9 février à Sulaymaniyah a apporté beaucoup d'espoir. Iraqi Network for Social Media (Le réseau irakien pour les médias sociaux) a organisé cet événement qui a réuni plus de 70 blogueurs irakiens.

La conférence était sponsorisée par International Media Support (I.M.S) en collaboration avec Alrubeiy Group for Stationery. Hayder Hamzoz, irakien blogueur et activiste des médias sociaux a expliqué par mail : Le but de la conférence est d'améliorer les communications entre les blogueurs irakiens et de développer leurs connaissances sur la protection légale et comment éviter les poursuites, ainsi que de les former avec des ateliers sur des sujets comme l'écriture, la technologie et le réseautage. Les autorités serrent la vis aux réseaux sociaux.

Reporters sans frontières dénonce la multiplication des arrestations et procès de net-citoyens et la pression accrue des autorités sur le Net. Le régime tient les réseaux sociaux en ligne de mire, comme l’avait déjà déclaré le colonel Abdul Rahim bin Shafi, directeur du département de lutte contre le crime organisé au sein du ministère de l’Intérieur.

Le bilan dressé par Reporters sans frontières ne fait que confirmer cette détermination. “Les autorités émiraties accentuent leur répression à l’égard des blogueurs et net-citoyens diffusant des informations critiques du régime. Les arrestations, les agressions et les intimidations se sont enchaînées au cours du mois de mars. Nous exhortons le régime à abandonner de tels procédés. Les arrestations de blogueurs et net-citoyens pour leurs activités en ligne doivent cesser, et les autorités doivent garantir leur sécurité”, a déclaré l’organisation. ضاحي خلفان تميم ‏ @Dhahi_Khalfan‎@Alnuaimi_k‏ انت مطلوب للعدالة. . . . [...] Assassinat d'un présentateur de télévision à Tikrit. Reporters sans frontières condamne l’assassinat à l’explosif du présentateur de la chaîne Salahaddin TV, Kamiran Salaheddin, dans le centre-ville de Tikrit (170 km au nord de Bagdad), le 2 avril 2012 vers 21 heures.

“Nous adressons nos sincères condoléances à la famille, aux proches et aux collègues de Kamiran Salaheddin. Les autorités irakiennes doivent mettre tous les moyens en œuvre afin que les responsables de cet assassinat soient traduits en justice. Ce crime ne doit pas rester impuni”, a déclaré l’organisation. Travaillant depuis 2005 pour la chaîne Salahaddin TV, lancée en 2004, Kamiran Salaheddin qui présentait le journal télévisé et animait une émission politique ‘l’Irak et l’actualité’, a été mortellement blessé lors de la détonation d’une charge explosive placée sous sa voiture. Âgé de 35 ans et père de deux enfants, il était également le président de l’Union des journalistes de Tikrit. Il s’agit du premier journaliste tué en Irak depuis le début de l’année 2012. La liberté d’informer dans la ligne de mire.

Au vu du projet de loi sur le cybercrime présenté devant le Parlement irakien, ainsi que des nombreuses atteintes visant des journalistes ces dernières semaines, Reporters sans frontières est très préoccupée par la situation de la liberté de l’information en Irak. Projet de loi liberticide Reporters sans frontières exprime son inquiétude face au projet de loi sur le cybercrime qui sera prochainement soumis au vote du Parlement irakien.

Adopté en première lecture en juillet 2011, le projet de loi présente une réelle menace pour la liberté d’informer en ligne. La définition des crimes visés par le projet est beaucoup trop large et les peines prévues sont démesurées. Sont notamment concernées les violations des "principes religieux, moraux, familiaux ou sociaux" ou la promotion d’"idées" terroristes. Les médias et leurs sources ne bénéficient pas de protections appropriées dans le cadre de ce texte. (Cf. Communiqué menaçant Journalistes harcelés par les services de sécurité. Un journaliste face à un tribunal de sûreté d’Etat au royaume hachémite. “Reporters sans frontières est soulagée à l’annonce de la libération sous caution, le 13 mai 2012, du journaliste Jamal Al-Mouhtaseb, en détention provisoire depuis le 23 avril dernier.

Toutefois, nous ne pouvons que déplorer le caractère conditionnel de cette libération, après 21 jours de détention, et le maintien des poursuites contre le journaliste”, a déclaré l’organisation. “Par ailleurs, nous soulignons l’illégalité des poursuites engagées contre un journaliste devant un tribunal militaire. Cette procédure est contraire à la constitution jordanienne et aux engagements internationaux, dont l’Etat jordanien est signataire. Nous demandons aux autorités la levée immédiate des charges qui pèsent à l’encontre de Jamal Al-Mouhtaseb”, a réitéré Reporters sans frontières. Poursuivie pour les mêmes chefs d’accusation, la journaliste Sahar Al-Mouhtaseb, qui travaille également à Gerasa News, avait été libérée après le versement d’une caution du même montant. Un journaliste détenu illégalement pour s’être intéressé de trop près à des affaires de corruption. Reporters sans frontières condamne fermement l’arrestation et le placement en détention du journaliste Sherwan Sherwani, libéré sous caution, six jours plus tard, le 25 avril 2012.

“Cette détention est arbitraire et illégale au regard du code de la presse du Kurdistan (loi numéro 35). Les procédures engagées contre ce journaliste, qui a révélé des affaires de corruption, se résument à une logique de règlements de compte politiques. Nous demandons aux autorités de lever les charges qui pèsent contre Sherwan Sherwani et d’abandonner les poursuites judiciaires”, a déclaré l’organisation. Cette arrestation fait suite à une plainte déposée par la municipalité de la ville d’Akre, après la publication d’un article dans Bashur Magazine en mai 2011, dénonçant une affaire de corruption impliquant le responsable de la municipalité, qui se serait rendu coupable de détournement de fonds publics.

Le journaliste avait fourni un certain nombre de preuves sur la culpabilité du potentat local. La jeune activiste Yara Shammas risque la peine de mort. Reporters sans frontières est soulagée par la nouvelle de la libération sous caution de Yara Michel Shammas, ce 30 avril 2012. Toutefois, l’organisation rappelle que cette libération n’est que conditionnelle et que la jeune femme risque toujours la peine de mort. L’organisation demande la levée de l’ensemble des accusations pesant contre elle. Des dizaines d’autres journalistes et net-citoyens croupissent toujours dans les geôles syriennes. Reporters sans frontières réitère son appel à leur libération immédiate et à l’abandon de toutes les charges à leur encontre. 27.04.2012 - La jeune activiste Yara Shammas risque la peine de mort Alors que les observateurs des Nations unies essaient, non sans difficultés, de remplir leur mission, Reporters sans frontières souhaite attirer l’attention sur les nombreuses violations de la liberté d’informer que perpétue le régime de Bachar Al-Assad, notamment en emprisonnant ceux qui ont le courage de nous renseigner sur la situation en Syrie.

Scope TV dans le collimateur des autorités. MÉDIAS • Le chef du bureau d'Al-Jazira à Paris confirme sa démission. Arrestation du directeur de magazine pour calmer les ardeurs des islamistes. Un mois d’exactions contre les professionnels de l’information. Lettre ouverte de Reporters sans frontières au président de la république du Yémen. Le blogueur Ahmed Abdul Khaleq, après avoir été fallacieusement convoqué pour régularisation administrative, risque l’expulsion. Un journaliste écope d’un an d’emprisonnement ferme.

Koweït : Trois internautes condamnés à des peines de prison. Vagues d’arrestations pour étouffer la contestation politique et sociale. MONDE ARABE • Les jeunes loups brisent les tabous à la télévision. Un journaliste kurde syrien menacé au Kurdistan irakien par le PKK. Inquiétude sur le sort d’un journaliste disparu au Kurdistan irakien. Portrait : Andy Carvin, le « Twitter-journaliste » des révolutions arabes. Les autorités menacent de fermer 47 médias, forte mobilisation contre une loi liberticide. OMAN • Blogueurs et intellectuels dans le collimateur de la justice. Nouvelle vague d’arrestations arbitraires pour assurer la stabilité du régime. Le sultanat distribue des années de prison aux net-citoyens. Un journaliste assassiné à son domicile à Mossoul.

Tentative de censure et intimidations contre deux médias. Les voix du monde arabe. Vingt net-citoyens condamnés. Vives inquiétudes suite à l’adoption par le gouvernement d’un projet de loi liberticide. Plainte du PYD contre un journaliste au Kurdistan irakien. A Visa pour l’image : « Je ne veux pas que des mômes prennent des risques pour la gloire » | Vu de Visa. Tickets | The Virtual Museum Of Censorship. Liban : un musée virtuel de la censure. Quarante-quatre journalistes en procès : « la criminalisation du journalisme doit cesser » TURQUIE • Ces "éditorialistes contestataires" qu'Erdogan déteste.

Les condamnations pour violation de la loi sur la cybercriminalité continuent à tomber. Nouvelle loi sur la presse : Les autorités imposent un tour de vis. Un journaliste torturé, détenu pendant près d’un mois, toujours poursuivi devant la justice militaire. LIBAN • Un film turc bloqué par la censure. Les médias dans la ligne de mire des taliban. TURQUIE • Tu n’insulteras pas la religion. Activists: Why is Facebook censoring this photo? ÉMIRATS ARABES UNIS • Une nouvelle loi répressive contre la cyber-dissidence. Libération du journaliste libanais enlevé par une faction de l’ASL. Dénonce l’assassinat d’un journaliste à Bagdad. Exposition : « Dessins de presse en méditerranée » 28 net-citoyens condamnés en appel depuis le début du mois de décembre. La Turquie, première prison au monde pour les journalistes.

KOWEÏT • Les autorités ferment une télévision proche de l'opposition. MOYEN-ORIENT • Des athées au grand jour. Hommage à Sardasht Osman deux ans après son assassinat. Les blogueurs arabes se rencontrent à Tunis.

Iran

Libye. Maroc. Soudan. Syrie.