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Iran. BBC en persan brouillée depuis l'Iran pour sa couverture sur l'Egypte. "Ce blocage devrait immédiatement cesser", a déclaré le directeur du BBC World Service, Peter Horrocks.

BBC en persan brouillée depuis l'Iran pour sa couverture sur l'Egypte

"Les événements en Egypte sont suivis dans le monde entier et il est inadmissible que nos auditeurs iraniens (...) soient privés d'informations impartiales", a-t-il ajouté. "La BBC ne va pas cesser de couvrir la situation en Egypte et continuera à émettre pour le peuple iranien", a-t-il assuré. Selon la BBC, un programme télévisé dans lequel sont intervenus, au téléphone, des auditeurs égyptiens et iraniens serait à l'origine de ce blocage. Le service persan de la BBC, qui est régulièrement victime de brouillage, continue cependant sa couverture en direct sur l'internet. Iran: les deux journalistes allemands libérés. Docu : "Iran, images interdites", quelle info sur un pays fermé ? « Iran, images interdites » par Manon Loizeau (Magneto Presse, 2010) (capture d’écran d’Arte.tv/fr).

Docu : "Iran, images interdites", quelle info sur un pays fermé ?

Comment informer sur un pays fermé aux journalistes ? Comment faire vivre la résistance d’un peuple au-delà des bribes d’informations difficiles à vérifier qui nous parviennent à travers les réseaux sociaux ? La journaliste Manon Loizeau a tenté de répondre à ces questions dans un remarquable documentaire que diffuse ce mardi soir Arte : « Iran, images interdites ». (Voir la vidéo) Il y a d’abord le fond, l’écho d’une société qui ne s’est pas résignée depuis l’écrasement de la Révolution verte de l’été 2009, lorsque les citoyens iraniens ont eu le sentiment de s’être fait voler « leur » élection présidentielle avec la reconduction de Mahmoud Ahmadinejad pour un second mandat. Que cesse la répression, que sortent de prison tous les journalistes et blogueurs détenus. Malgré certains gestes d’ouverture de la part du régime, la répression contre les médias et les journalistes continue en Iran.

Que cesse la répression, que sortent de prison tous les journalistes et blogueurs détenus

L’hebdomadaire Shahrvand Emrouz et le quotidien Roozegar ont été suspendus le 5 septembre 2011. Reporters sans frontières condamne la répression contre la liberté d’expression et les manifestations non violentes dans les villes d’Oromieh et Tabriz, ainsi que l’arrestation de net-citoyens et de journalistes. La Commission d’autorisation et de surveillance de la presse, organe de censure du ministère de la Culture et de l’Orientation islamique, a ordonné, le 5 septembre, la suspension de l’hebdomadaire Shahrvand Emrouz, pour "insulte envers des dirigeants du pays". Selon la Commission, le journal ne serait autorisé à publier que des articles liés à l’actualité culturelle et sociale. Lancé en mars 2007 par Mohamad Atrianfar, et suspendu en novembre 2008, Shahrvand Emrouz avait repris sa publication en juillet 2011 avec une nouvelle équipe.

Iran : 50 coups de fouet pour la blogueuse rebelle. Voici ce qu’a écrit la blogueuse iranienne Somayeh Tohidloo sur son blog après avoir reçu 50 coups de fouet dans la prison d’Evin, le 14 septembre 2011 : « Soyez heureux, car si votre intention était de m’humilier, je confesse que mon corps tout entier souffre de cette déchéance. » Somayeh Tohidloo (DR)

Iran : 50 coups de fouet pour la blogueuse rebelle

Iran : Les internautes bientôt coupés du Web mondial. Peines de mort et Internet national : escalade de la répression en Iran. Reporters sans frontières est choquée d’apprendre que la condamnation de Saeed Malekpour à la peine capitale a été confirmée par la Cour suprême, le 16 janvier 2012, sous la pression des gardiens de la révolution, selon sa famille.

Peines de mort et Internet national : escalade de la répression en Iran

Ce concepteur de sites Internet âgé de 35 ans, résident permanent au Canada, avait été arrêté le 4 octobre 2008, alors qu’il rendait visite à sa famille. Il avait été condamné à la peine de mort en janvier 2011 pour "agitation contre le régime" et "insultes contre l’Islam”. Les arrestations de net-citoyens se poursuivent d’ailleurs dans le pays. Le 11 janvier 2012, Simien Nematollahi, collaboratrice du site www.majzooban.org (proche du mouvement soufiste iranien), a été arrêtée à son domicile de Téhéran par des agents du ministère des Renseignements pour “publicité contre le régime”. Les 7 et 8 septembre 2011, plusieurs membres de la rédaction de ce site avaient été arrêtés, avant d’être libérés sous caution le 4 octobre 2011, dans l’attente de leur jugement.

Press TV interdite au Royaume-Uni. En Iran, l'informatique mène à l'échafaud. En Iran, l'informatique mène à l'échafaud L'agence de presse iranienne Fars, proche du gouvernement, a confirmé le dimanche 29 janvier la décision de la Cour suprême : l'Irano-Canadien Saïd Malekpour, condamné à mort en décembre 2010, sera bien exécuté.

En Iran, l'informatique mène à l'échafaud

Censure sur Internet : l'Iran donne un tour de vis. L’Iran a franchi un pas supplémentaire dans la censure d’Internet : selon plusieurs sources, le pays a bloqué les sites dont les adresses commencent par Ces adresses permettent d’établir une connexion dite « SSL », sécurisée entre un ordinateur et un site Internet : l’internaute est certain d’être connecté au site qu’il a choisi, et les autorités ne peuvent voir ce qu’il y fait.

Censure sur Internet : l'Iran donne un tour de vis

Ces adresses HTTPS sont notamment utilisées par les sites marchands. Depuis quelques jours, les internautes ne peuvent plus utiliser de nombreux services, comme Google (et sa messagerie Gmail), Facebook, Twitter... Le « twitto » Nariman Gharib diffuse une capture d’écran de la page d’accueil de Google depuis l’Iran ce 9 février. De nombreux outils qui permettaient d’échapper aux restrictions appliquées à l’Internet iranien – comme Tor ou les proxies – sont également touchés, compliquant la tâche des dissidents ou des citoyens qui se bagarrent pour contourner la censure du régime de Téhéran. Iran : Accès aux emails bloqué. Iran: les autorités verrouillent à nouveau internet.

Des millions d'Iraniens ne peuvent plus accéder depuis la fin de la semaine dernière à leurs boîtes e-mail fournies par le service de messagerie Gmail de Google, celui de Yahoo ou encore Hotmail de Microsoft, selon les médias.

Iran: les autorités verrouillent à nouveau internet

"Les usagers de l'internet ont des difficultés pour accéder à des sites extérieurs ou d'actualité tout comme à des moteurs de recherche étrangers et à des services de messagerie", a reconnu l'agence de presse Mehr en incriminant "une vitesse lente, des pannes et des blocages". Les autorités n'ont donné aucune explication. Mais elles coupent ou réduisent les liaisons internet lorsqu'elles craignent des manifestations de l'opposition.

Elles bloquent déjà des dizaines de milliers de sites étrangers, surtout ceux de médias ou gouvernements occidentaux, ainsi que les réseaux sociaux comme Facebook, Twitter ou Youtube. Ce blocage a eu un impact économique, de nombreuses entreprises iraniennes ayant leurs serveurs à l'étranger. Iran : Coupures d’Internet à la veille d’une journée de manifestations.

Iran : “Internet est un invité indésirable” Iran : Des journalistes menacés par courriel, “Vous serez punis” Des sources fiables, dont un journaliste iranien, ont signalé à Global Voices que plusieurs militants et journalistes iraniens ont reçu un e-mail menaçant, assurant qu'ils seront punis conformément à la “loi islamique sur les punitions” de la République Islamique d'Iran.

Iran : Des journalistes menacés par courriel, “Vous serez punis”

"Les Iraniens aspirent toujours à la liberté" A l'occasion de la sortie de son roman graphique Une métamorphose iranienne, le dessinateur Mana Neyestani revient sur les circonstances qui l'ont mené à l'exil. Il est convaincu que le mouvement démocratique n'est pas mort dans son pays. Une métamorphose iranienne [Arte éditions/Ça et là, 2012] est votre premier livre publié en France. Iran: Un blogueur emprisonné victime d’une crise cardiaque. Iran: Blogueur enlevé par des forces de sécurité à l’hôpital de Khazali. Iran: “Internet est un espion en lui même”

Iran : “Un ciel bleu de douleur” – lettre d’un blogueur en prison. Le Dr.

Iran : “Un ciel bleu de douleur” – lettre d’un blogueur en prison

Khazali avec sa fille Le docteur Mehdi Khazali, un blogueur iranien emprisonné, éditeur et opposant au gouvernement, a écrit une lettre ce mois-ci depuis sa prison, décrivant son incarcération comme un “ciel bleu de douleur”, ainsi que le déni de justice dans les prisons iraniennes, où les détenus risquent la torture et des condamnations à mort arbitraires. La fille de Mehdi Khazali (voir photo) et son épouse ont été brièvement incarcérées elles aussi. La lettre de Mehdi Khazali a été publiée sur son blog personnel (certains activistes confient leur identifiant et mot de passe à des amis pour le cas où ils ne pourraient plus y accéder). Il écrit [farsi]: « Une métamorphose iranienne » : le dessinateur de BD, le cafard et l'exil. Son long manteau noir souligne sa silhouette d’échassier.

Coiffé d’un feutre un brin désuet, le teint cireux et le regard éternellement inquiet, Mana Neyestani est d’une grande timidité. En France, on connaît peu la bande dessinée iranienne en dehors de Marjane Satrapi (« Persepolis »). Mana Neyestani en représente un visage plus tourmenté. Son trait est sec, anguleux. L’humour est noir et grinçant. . « Avec le mal que j’ai, déjà, à être mon propre porte-parole... » Récit des violations de la liberté d'information en Iran (depuis le 1er janvier 2012) 5.12.2012 – Libération d’un collaborateur des médias après six ans de prison et annulation d’une condamnation à la peine capitale pour un net-citoyen Reporters sans frontières a appris la libération, le 22 novembre 2012, d’Abdolvahed “Hiva” Botimar, collaborateur de l’hebdomadaire Asou et membre actif de l’ONG environnementale Sabzchia. Arrêté le 25 décembre 2006, Abdolvahed “Hiva” Botimar avait été condamné, le 16 juillet 2007, avec un autre journaliste de l’hebdomadaire Asou, Adnan Hassanpour, à la peine capitale, par le tribunal révolutionnaire de la ville Marivan (Kurdistan iranien) qui les a reconnus coupables d’"activités subversives contre la sécurité nationale", "d’espionnage" et de "propagande séparatiste".

Le 22 octobre 2007, la Cour suprême de Téhéran avait confirmé la condamnation à mort du journaliste Adnan Hassanpour, pour “espionnage”, mais annulé la condamnation d’Abdolvahed “Hiva” Botimar pour “vice de procédure”. 21.11.2012 - Une libération et deux arrestations. Une agence de presse iranienne “améliore” le discours d’Asghar Farhadi lors des Oscars. Les Iraniens sont fous de joie depuis que le film iranien “Une Séparation” de Asghar Farhadi, a été récompensé par l'Oscar du meilleur film étranger durant la cérémonie des Oscars à Hollywood, le 26 février 2012. C'est le premier film iranien à recevoir un Oscar. Les blogueurs iraniens étaient en liesse, et quelques fans ont créé des affiches de “Une séparation” pour satisfaire différents goûts.

Plusieurs blogueurs comme Faryad Zier Ab et Raze Gole Sorkh ont publié des traductions du discours de Asghar Farhadi (ou des extraits) en persan. 48 millions d’électeurs privés d’information pour les élections législatives du 2 mars ; 48 professionnels des médias privés de leur liberté. A la veille des élections législatives du 9e parlement de la République islamique d’Iran, Reporters sans frontières déplore la censure imposée à l’ensemble des médias, qui se retrouvent dans l’incapacité de jouer leur rôle pour le scrutin, et l’implacable répression à l’encontre des journalistes.

Les 48 millions d’électeurs appelés aux urnes le 2 mars 2012 sont privés de l’information indépendante nécessaire à la définition de leur choix électoral. La répression à l’encontre des journalistes et des net-citoyens s’est intensifiée. Aucun média indépendant n’est épargné par le harcèlement politico-judiciaire organisé par les différents clans du pouvoir depuis la réélection contestée de Mahmoud Ahmadinejad à la présidence en juin 2009.

Un air de Corée du Nord souffle à Téhéran. La clique au pouvoir accapare tous les postes de décision et ne fait que maintenir l’illusion de la démocratie, estime ce journal d’opposition en exil. Les élections du régime sont en cours. En fait, cela fait des mois que les campagnes spectacles et l’agitation pour ces fausses élections ont débuté. Il a fallu enregistrer les candidatures, puis s’engager dans le jeu factice de leur approbation ou de leur rejet. Iran : Chants et hymnes nationalistes pour les élections. La répression sans fin du régime contre les professionels de l’information. Khamenei veut régner sur le cyberespace. Iran : un réseau “halal” en service au printemps. Courrier international 24 février 2012 | Partager : Substituer un Internet local au réseau international : c’est le pari que va relever dans les prochaines semaines le régime iranien.

Iran : l’Iran déclaré “quatrième ennemi d’Internet” par RSF. Appel international au renouvellement du mandat du Rapporteur spécial sur la situation des droits de l’homme en République islamique d’Iran. Iran : L’assouplissement des sanctions sur l’internet fera-t-il une différence? L'agence Reuters privée d’accréditations après un reportage controversé. Reporters sans frontières exprime sa vive inquiétude suite à la décision d’un jury, le 30 septembre 2012, reconnaissant l’agence de presse Reuters coupable de “propagande contre le régime”, par un jury. Cette décision fait suite à la diffusion, en mars 2012, d’une vidéo tournée dans un club d’arts martiaux féminin de Téhéran, intitulée : "Des milliers de femmes-ninjas s’entraînent pour devenir des assassins ".

Victime collatérale de l’Internet national. Reporters sans frontières demande la libération immédiate et inconditionnelle de Mohammad Solimaninya, directeur du site u24, un réseau social professionnel iranien fort de dizaines de milliers d’utilisateurs, également créateur et hébergeur de plusieurs sites d’associations représentant la société civile et les intellectuels iraniens. Récit de la répression contre la liberté d'information depuis le 1er janvier 2012. Iran : La ‘Folle semaine des graffiti” pour les prisonniers politiques iraniens. Du 1er au 7 avril 2012, le groupe Facebook Mad Graffiti Week Iran (La folle semaine des graffiti pour l'Iran) a fait appel à tous pour créer des pochoirs en soutien aux prisonniers politiques iraniens.

Les participants pouvaient ‘laisser leur marque’ sur des chemises, des palissades, sur les murs de leur maison, ou sur leurs vêtements. L’initiative a été inspirée par la “Mad Graffiti Week” en Egypte, qui avait attiré des milliers de participants, pour protester contre le régime militaire actuel. Toujours plus de contrôle et d’arrestations.

Reporters sans frontières condamne fermement l’arrestation de Narges Mohammadi, journaliste et porte-parole du Centre des défenseurs des droits de l’homme, le 21 avril 2012, dans la ville de Zanjan (nord du pays). Le président Obama annonce des sanctions contre des entités iraniennes et syriennes impliquées dans la surveillance en ligne et la traque des dissidents. Quand les trois pouvoirs décident de s’unir contre les journalistes. Iran : Un caricaturiste échappe à 25 coups de fouet pour son portrait d’un politicien. Iran : Arrestation d’un blogueur à Rasht. Deux écrivains azerbaïdjanais disparus en Iran. Iran : Hadi Net, nouveau réseau social religieux. Iran : Réunion du « cyber Hezbollah »

Iran : un blogueur emprisonné en grève de la faim. Mobilisation de Shirin Ebadi, prix Nobel de la paix, et de trois organisations pour la défense des droits de l’Homme. Un blogueur iranien emprisonné débute une grève de la faim et de la soif. La République islamique internationalise sa répression. La vie de certains journalistes et net-citoyens emprisonnés est en danger. Liberté pour tous les journalistes et net-citoyens incarcérés ! La vie de Mir Hossein Mousavi en danger : « nous considérons l’ayatollah Khamenei responsable de son sort » Lettre ouverte de Reporters sans frontières à M. Ban Ki-moon à l’occasion de son voyage en Iran. Quand le régime des mollahs emprisonne les femmes journalistes. Lancement imminent de l’Internet national.

L’Iran bloque l’accès à Google et à Gmail. Le quotidien Shargh, cible d’une campagne de harcèlement. Un dessin très offensant… Iran : La vie d’un blogueur en danger. Iran : Quatre utilisateurs de Facebook arrêtés. Iran : Les internautes soutiennent la prisonnière Nasrin Sotoudeh avec une rose. Des journalistes et net-citoyennes emprisonnées en danger de mort. Iran : Journalistes et internautes emprisonnées et menacées de mort. Décès d’un net-citoyen en détention à la suite d’un interrogatoire.

Iran : une nouvelle vague de répression contre les blogueurs. Un blogueur iranien torturé à mort. Blogueur tué en prison : "Mourir plutôt que de me taire" Le blogueur iranien Sattar Beheshti torturé à mort. Exige une enquête irréprochable sur la mort en détention de Sattar Beheshti. Nouveaux éléments dans l’enquête sur la mort de Sattar Beheshti en détention. Graffitis à Téhéran. Le Prix Sakharov aux Iraniens Jafar Panahi et Nasrin Sotoudeh. Reporters sans frontières salue l’attribution du prix Sakharov à Nasrin Sotoudeh et Jafar Panahi.

Iran : La vie d’un blogueur en danger. Le ministère de la Culture et l’Orientation islamique, lieu d’interrogatoire pour les journalistes. Les élections : "un show ridicule" Iran : Voter, ne pas voter ? Iran : Un autre blogueur arrêté. Mana Neyestani : un dessinateur iranien. Iran : Un développeur web condamné à mort. Le réseau local qui va tuer le web.