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Encyclopédies libres et ressources Tunisie

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Analyses

Blogs tunisiens. Revolt in Tunisia. FRANCE 24 - La carte des manifestations de soutien dans le monde. Infographie sur le Maghreb et ses troubles sociaux actuels. Infographie sur la chute de Ben Ali. Infographie sur les hommes politiques de l'après Ben Ali. Démocratie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Démocratie

Le terme démocratie (du grec ancien δημοκρατία / dēmokratía, « souveraineté du peuple », combinaison de δῆμος / dêmos, « peuple » et κράτος / krátos, « pouvoir », « souveraineté » ou encore kratein, « commander »), est le régime politique dans lequel le peuple est souverain. (Avec la distinction à faire entre la notion de «peuple» et celle plus restrictive de « citoyens » : en effet la citoyenneté n'est pas forcément accordée à l'ensemble de la population). Selon la célèbre formule d'Abraham Lincoln (16e président des États-Unis de 1860 à 1865), la démocratie est « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple ». C'est l'une des définitions canoniques couramment reprises, ainsi qu'en témoigne l'introduction de la Constitution de 1958 de la Cinquième République française. Cette définition est proche du sens étymologique du terme démocratie. Recensement des démocraties[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Déclaration universelle des droits de l'homme.

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Déclaration universelle des droits de l'homme

À l'origine, 48 États sur les 58 participants devaient adopter cette charte universelle. Aucun État ne s'est prononcé contre et seuls huit se sont abstenus. Parmi eux, l'Afrique du Sud de l’apartheid refuse l'affirmation au droit à l'égalité devant la loi sans distinction de naissance ou de race ; l’Arabie saoudite conteste l’égalité homme-femme. La Pologne, la Tchécoslovaquie, la Yougoslavie et l'Union soviétique (Russie, Ukraine, Biélorussie), s'abstiennent, quant à eux, en raison d'un différend concernant la définition du principe fondamental d’universalité tel qu'il est énoncé dans l’article 2 alinéa 1.

Enfin, les deux derniers États n'ayant pas pris part au vote sont le Yémen et le Honduras. Le texte énonce les droits fondamentaux de l’individu, leur reconnaissance, et leur respect par la loi. Encyclopédie numérique des droits de l'homme - Bienvenue. Global Voices · Dossier Tunisie. Image de Khaled Nciri.

Global Voices · Dossier Tunisie

Table des matières Le 17 décembre 2010, un jeune chômeur tunisien de 26 ans, Mohamed Bouazizi, s'est immolé par le feu à Sidi Bouzid. Son geste a provoqué un soulèvement populaire en Tunisie contre le président Zine El Abidine Ben Ali. Le 14 janvier 2011, après 23 ans au pouvoir, celui-ci s'est enfui avec sa famille pour se réfugier en Arabie Saoudite. Les affrontements entre manifestants et forces de l'ordre ont duré presque un mois. En dépit des promesses de Ben Ali, les troubles ont continué durant la nuit et le jour suivant. Le 14 janvier, Ben Ali s'est enfui, et le premier ministre Mohammed Ghannouchi est devenu président par intérim citant l'article 56 de la constitution tunisienne pour ce faire, ce qui a été qualifié par certains d'anticonstitutionnel.

Le 23 octobre 2011 ont lieu les élections de l'Assemblée constituante, qui écrira une nouvelle constitution et a constitué un nouveau gouvernement. Iran : Le soulèvement égyptien, une réédition du Mouvement Vert · Global Voices. Révolution tunisienne de 2011. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Révolution tunisienne de 2011

Révolution tunisienne Foule de manifestants le 14 janvier 2011. Sit-in à la place de la Kasbah à Tunis, le 28 janvier 2011. Les mois de mars et d'avril voient la définition progressive du processus de transition, sous la houlette de la Haute instance pour la réalisation des objectifs de la révolution, sans que toutefois ce « véritable conflit de classes » moderne ne voit ses causes résolues[12]. Environ 338 personnes ont été tuées et 2174 ont été blessées durant la révolution[13]. Contexte[modifier | modifier le code] Inégalités sociales et régionales[modifier | modifier le code] L'explosion de colère a pour cadre de profondes inégalités et disparités régionales de développement qui nourrissent un sentiment d'injustice et d'humiliation qu'éprouve le sous-prolétariat des régions de l’intérieur du pays, discriminé sur les plans économique, social et politique.

Corruption et népotisme[modifier | modifier le code]