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Du 9 février au 23 février 2012

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Répression en Syrie : pourquoi Homs. Un soldat de l’armée syrienne tient un check-point à Homs, le 23 janvier 2012 (Ahmed Jadallah/Reuters) Quartiers rasés, logements bombardés, familles décimées... Homs paye cher son statut de « capitale de la révolution » syrienne et, depuis le 4 février, la répression se fait encore plus féroce. L’armée inflige un dur châtiment à cette ville, qui en plus d’être la troisième du pays par sa taille, est l’une des premières à avoir rejoint le mouvement de contestation né en mars 2011.

Abu Khaled, activiste des Comités locaux de coordination à Homs, explique que l’armée n’a pas choisi la ville au hasard : c’est l’un des fiefs de l’Armée syrienne libre (ASL). Celle-ci est cependant moins affectée que les civils. . « L’ASL a davantage les moyens de se défendre alors que, rien que mercredi, treize nouveaux-nés sont morts à cause des coupures d’électricité dans les hôpitaux. » Les désertions, plus nombreuses à Homs Eliminer tout sanctuaire de la révolution Des habitants particulièrement solidaires. En Syrie, le martyre de Homs continue | Rue89. SYRIE • L'œil du dessinateur Ali Farzat. SYRIE • la Ligue arabe remonte au front.

Le dossier syrien porté par l'ONU devant la Cour Pénale Internationale? Mercredi, le Haut commissaire aux droits de l'homme, Navi Pillay, avait demandé des "mesures efficaces" pour protéger les civils, sans donner de précisions. Interrogé vendredi sur le sujet, un porte-parole du Haut commissariat a estimé qu'il y "avait de nombreuses options", mais n'en a précisé qu'une seule.

"Une mesure très concrète que nous avons proposée à maintes reprises, mais (qui) enverrait un signal clair aux autorités en Syrie, est de renvoyer la situation devant la Cour pénale internationale", a-t-il dit. "Vu l'état actuel des choses, seul le Conseil de sécurité peut le faire. Cela enverrait un message très, très fort", a-t-il ajouté. Cet appel de l'ONU intervient alors que le veto russo-chinois a empêché l'adoption samedi dernier d'une résolution condamnant la répression de la contestation en Syrie. Il a par ailleurs indiqué que Navi Pillay serait présente lundi à New York pour s'adresser aux membres de l'Assemblée générale de l'ONU lors d'une session sur la Syrie.

Belga. Un général abattu, les autorités accusent des "jihadistes" "Un groupe terroriste armé a assassiné ce matin le général de brigade et médecin Issa al-Khawli, directeur de l'hôpital (militaire) de Hamich, devant sa maison dans le quartier de Roukneddine", dans nord-ouest de Damas, a indiqué l'agence. "Trois hommes armés ont guetté la sortie du général Khawli de sa maison et lui ont tiré dessus", a indiqué l'agence, précisant que le général était diplômé en rhumatologie et père de trois filles et d'un garçon. La télévision d'Etat a montré des images d'un corps au visage flouté qu'elle a présenté comme celui du médecin. Des jihadistes sont entrés en Syrie et des armes sont acheminées à l'opposition à partir de l'Irak, a affirmé samedi le ministre adjoint de l'Intérieur irakien Adnane al-Assadi.

"Des jihadistes et des armes entrent en Syrie par l'Irak" "Nous avons des informations par nos services de renseignements qu'un certain nombre de jihadistes irakiens ont été en Syrie. Le leader d'Al-Qaïda apporte son soutien aux rebelles syriens. Dans cette vidéo, intitulée "En avant, les lions de Syrie", Ayman al-Zawahiri accuse le régime syrien de crimes contre ses citoyens et loue ceux qui se rebellent contre le gouvernement, selon le SITE. Dans cette vidéo mise en ligne samedi et d'une durée de plus de huit minutes, Zawahiri se tient devant un rideau vert et encourage les Syriens à ne pas faire confiance aux gouvernements occidentaux ou arabes, qui imposeraient selon lui un régime inféodé à l'ouest. Il demande aux musulmans de Turquie, de Jordanie et du Liban de soutenir la rébellion et de renverser le régime actuel qu'il qualifie d'anti-islamiste.

Depuis le début du soulèvement populaire en Syrie en mars 2011, la répression a fait plus de 6000 morts, selon un bilan de l'ONU. Les représentants des pays membres de la Ligue arabe se réunissent ce dimanche au Caire pour discuter de la crise en Syrie. Belga. "La grande peur des Américains, c'est que Bachar al-Assad tombe" Le baing de sang continue, la Ligue arabe pour une force ONU-Arabes. L'organisation panarabe a également indiqué qu'elle appelait ses membres à rompre leurs relations diplomatiques avec Damas. La Ligue va "ouvrir des canaux de communication avec l'opposition syrienne et lui fournir toutes les formes de soutien politique et matériel", d'après le communiqué final. Dans le même temps, elle "met fin à la mission des observateurs de la Ligue arabe" en Syrie et a décidé de "demander au Conseil de sécurité d'adopter une résolution pour la formation d'une force de maintien de la paix arabo-onusienne conjointe pour superviser l'application du cessez-le-feu", selon ce texte.

En outre, elle demande à ses pays membres de rompre "toutes les formes de coopération diplomatique avec les représentants du régime syrien dans les Etats, les instances et les conférences internationales". Le bain de sang se poursuit, 24 morts ce dimanche "Il y a pénurie de pain dans certains quartiers", notamment ceux bombardés, a-t-il précisé. Crimes contre l'humanité "vraisemblables" selon l'ONU. Les casques bleus en Syrie? La proposition de la Ligue arabe fait débat. La Ligue arabe a annoncé dimanche qu'elle allait prochainement fournir un soutien politique et matériel à l'opposition syrienne, et "demander au Conseil de sécurité d'adopter une résolution pour la formation d'une force de maintien de la paix arabo-onusienne conjointe pour superviser l'application du cessez-le-feu".

L'Union européenne a annoncé ce lundi soutenir l'initiative de la Ligue arabe concernant la Syrie, y compris sa demande au Conseil de sécurité de former une force conjointe ONU-Arabes pour mettre fin aux violences sur le terrain. "Nous soutenons fortement toute initiative" visant à une fin immédiate de la répression sanglante, "y compris une présence arabe plus forte sur le terrain en coopération avec l'ONU en vue de parvenir à un cessez-le-feu et à une fin de la violence", a déclaré Michael Mann, porte-parole de la chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton. Ouverture britannique, fermeture française Les Russes ne rejettent pas l'idée mais ...

Avec agences. SYRIE • L'Arabie Saoudite veut en finir. Homs visée par un violent bombardement, situation humanitaire dramatique. "Le bombardement de Baba Amr qui a commencé à l'aube est le plus violent depuis cinq jours. En moyenne, deux roquettes tombent chaque minute", a affirmé à l'AFP Rami Abdel Rahmane, chef de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme, citant des militants sur place. Un autre militant, Hadi Abdallah, membre du "Conseil de la révolution de Homs" a également affirmé à l'AFP que le "bombardement était d'une violence extrême, plus que les autres jours". L'incapacité du Conseil de sécurité de l'ONU à se mettre d'accord sur une action collective a "encouragé le gouvernement syrien à lancer un assaut sans retenue dans le but d'écraser la dissidence", a estimé lundi la Haut commissaire de l'ONU aux droits de l'Homme Navi Pillay.

Dans la troisième ville de Syrie où plus de 300 personnes ont péri depuis le 4 février dans une "attaque sans discernement contre des zones civiles" selon l'ONU, le temps presse et la crise humanitaire est de plus en plus intolérable. "Jusqu'au dernier nourisson" SYRIE • Mais qui a tué Gilles Jacquier ? Le reporter de France 2 fauché par un obus à Homs le 11 janvier a-t-il été pris dans un traquenard organisé par le pouvoir syrien ?

Un journaliste algéro-suisse qui l’accompagnait témoigne. Sid Ahmed Hammouche, vous étiez du convoi de Homs. Concluez-vous au traquenard ? Oui. Je dirais même qu’il s’agit d’un crime d’Etat. Dès le départ, vous avez senti un malaise dans ce convoi ? Aucun chef de la communication ne vous a été présenté ? A ce moment-là, vous ne saviez pas si Gilles était touché ? Vous avez alors foncé à l’hôpital… Oui. Vous avez dû menacer les médias pour qu’ils ne filment pas ? Et ce n’est pas la seule bizarrerie que vous avez observée… Non. Ce qui a été fatal à Gilles Jacquier, c’est de monter sur le toit d’un immeuble alors qu’il avait suivi ce groupe ? Si vous aviez suivi ce groupe, vous auriez été également touchés ? Une infirmière vous a alors aidés ? Dans l’hôpital, il y a même un faux médecin ? Quand avez-vous su que vous alliez vous tirer d’affaire ? ‫حمص باب السباع تنسيقيات حمص القديمة تتراسل مع تنسيقيىة باباعمرو عبر الحمام الزاجل والناشط عمر التلاوي يروي لنا مايعانو 8 2 2012‬‎

La Syrie annonce une nouvelle Constitution, à la veille de l'assemblée de l'ONU. Le président Bachar al-Assad a fixé au 26 février la tenue d'un référendum sur la nouvelle loi fondamentale qui instaurerait un "Etat démocratique" basé sur le pluralisme, dans ce qui semble être une tentative du régime pour calmer l'émotion d'une communauté internationale choquée par le bain de sang. Mais sur le terrain, la liste des morts s'allongeait avec au moins 20 personnes tuées mercredi. "Le système politique sera basé sur le principe du pluralisme politique et le pouvoir sera exercé démocratiquement à travers des élections", selon le texte du projet diffusé par l'agence Sana et la télévision publique. Le nouveau texte précise que la Syrie est un "Etat démocratique souverain et indivisible", que "le président de la République sera élu directement par le peuple pour deux mandats successifs" et "la religion du président est l'islam".

L'ONU doit se prononcer jeudi "Les soldats kidnappent femmes et enfants, violent des femmes et les tuent. Il s'agit de crimes contre l'humanité (...) Appel des opposants syriens à boycotter le référendum sur la Constitution. "Le projet de Constitution consacre dans la préface et certains articles l'esprit" du texte actuel, estiment dans un communiqué les Comités locaux de coordination (LCC), qui chapeautent la contestation sur le terrain.

Il "confère au président de la République des prérogatives absolues, l'élève au statut de leader absolu et éternel", permet "la reproduction du régime" et ne garantit pas, comme dans la Constitution actuelle, la séparation du pouvoir, poursuivent-ils. "Les LCC appellent le peuple à refuser et boycotter le prétendu référendum (...) et insister sur la réalisation des objectifs de notre révolution en faisant tomber le régime" du président Bachar al-Assad, ajoute ce groupe. "Le régime se moque de la volonté des Syriens (...) car les conditions pour la tenue de référendum ne sont pas réunies et celui qui a élaboré le projet n'est pas légitime", soutiennent-ils, en référence au régime Assad et à la poursuite de la répression par ses forces de la révolte depuis 11 mois. Belga. 14 personnes dont un journaliste et une blogueuse arrêtées à Damas. "Vers 14H00 (12H00 GMT), des membres de services de sécurité ont fait irruption dans le Centre syrien pour les médias et la liberté d'expression à Damas et arrêté Mazen Darwich, sa femme et un employé", a indiqué à l'AFP l'opposant Louai Hussein.

Il a précisé ignorer les accusations pesant sur Mazen Darwich, qui est le directeur du centre. Treize autres personnes, dont la blogueuse "symbole" de la révolte Razzan Ghazzawi, qui se trouvaient également dans les locaux de cette association, ont également été interpellées, a affirmé de son côté l'avocat et opposant Anouar al-Bounni. Les Comités locaux de coordination (LCC), qui chapeautent la mobilisation sur le terrain, ont rapporté l'arrestation de Mazen Darwich "par les forces de sécurité qui avaient auparavant encerclé le quartier" où se trouvent les locaux de l'association, au coeur de Damas. Anouar al-Bounni et Razzan Ghazzawi ont déjà arrêtés depuis le début de la révolte contre le régime du président Bachar al-Assad en mars 2011.

« Pourquoi vous taisez-vous ? » Le SOS d'un médecin syrien à Homs. Soins aux blessés dans le quartier de Bab Amr, au centre de Homs Notre partenaire suisse « La Liberté » a pu atteindre mercredi Mohamed al-Mhamed, un médecin officier syrien de 32 ans qui se trouve actuellement dans le quartier de Bab Amr, au centre de Homs. Depuis plus de dix jours, l’endroit est pilonné. Mohamed al-Mhamed appelle à l’aide. Manquant de tout, il ne peut plus soigner les blessés dont le nombre ne cesse d’augmenter. « Pourquoi la communauté internationale, les pays arabes et le CICR ne répondent pas à nos SOS ? Vous êtes médecin et vous vous trouvez à Bab Amr, à Homs, un des quartiers insurgés. Mohamed al-Mhamed : Nous subissons un bombardement intense.

Ce mercredi, nous avons enregistré plus de 28 décès. Pourquoi ne pouvez-vous pas évacuer les blessés ? Le quartier est cerné par l’armée de Bachar. Quelle est la situation dans le reste de Homs ? L’armée syrienne a encerclé la ville. Et vous, en tant que médecin, que pouvez-vous faire ? On tente de sauver ce qu’on peut. MÉDIAS • Disparition d'un prix Pulitzer en Syrie. Les opposants invitent la population de Damas à désobéir.

"Dimanche 19 février, la désobéissance de Damas", proclamait samedi la page Facebook "The Syrian Revolution 2011", qui anime la contestation depuis plus de 11 mois. "Le sang des martyrs vous appelle à la désobéissance", écrivent encore les militants à l'adresse des habitants de la capitale, plus habituée aux manifestations massives de soutien à Bachar al-Assad qu'à la mobilisation contre son régime. Vendredi, des manifestations contre le pouvoir ont touché plusieurs quartiers de Damas, en particulier à Mazzé, dans l'ouest de la capitale. "C'est la première fois que les manifestations s'étendent aux quartiers chics", avait déclaré à l'AFP Moaz Chami, des Comités locaux de coordination (LCC), qui chapeautent la contestation sur le terrain.

Lors de ces manifestations, quatre personnes ont été tuées, dont deux adolescents de 11 et 13 ans, quand les forces de sécurité ont tiré pour disperser la foule, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). ‫المزة:: اطلاق رصاص حي بشكل مباشر على المشيعين 18-2-2011‬‎ SYRIE • La contestation atteint la capitale. Asharq Al-Awsat 20 février 2012 | Partager : "Damas entre manifestations et désobéissance civile", titre le journal panarabe à capitaux saoudiens qui se distingue par ses unes extrêmement hostiles au régime de Bachar El-Assad. Il note "des tensions palpables et une grève qui s'étend à plusieurs quartiers". Cinq personnes auraient été tuées lors des premières manifestations d'envergure à Damas les 17 et 18 février. Le dimanche 19 février en revanche, l'appel à une grande manifestation s'est heurté au déploiement des forces de l'ordre dans la capitale.

La Russie ne participera pas à une nouvelle conférence sur le pays. Le Comité international de la Croix-Rouge négocie avec le régime syrien pour apporter une aide humanitaire. Le CICR, qui étudie les moyens d'acheminer de l'aide à la population syrienne, propose l'arrêt des hostilités dans les zones les plus affectées. Ce geste de la Croix-Rouge intervient alors que les violences se poursuivent en Syrie. Au moins 16 personnes ont été tuées, lundi, à-travers le pays.

Dans ce contexte, des membres de l'opposition syrienne ont plaidé pour une évacuation des femmes et des enfants de certains quartiers de Homs. Dans le même temps, Damas est aussi le théâtre de manifestations sans précédent ces derniers jours. Sur le terrain diplomatique, les divisions se creusent entre les Occidentaux, la Russie et la Chine Hillary Clinton a salué, lundi, la perspective de nouvelles sanctions européennes à l'encontre de la Syrie.

Nicolas Willems. 33 morts dans une opération militaire dans la province d'Idleb. Assassinat du video blogueur syrien Rami Ahmad Al sayeed. Chaîne de syriapioneer. Appel pressant de la Croix-Rouge pour une aide humanitaire. Deux journalistes tués à Homs en Syrie, la France dit: "Ca suffit" Syrie : « Ça suffit, ce régime doit partir » Hommage au photoreporter Rémi Ochlik, tué en Syrie. GALLERIES | Remi OCHLIK. SYRIE • L’idée d’une intervention étrangère fait son chemin. La journaliste française blessée demande une évacuation "au plus vite" ‫نداء إستغاثة من الصحفيين المحاصرين مع أهالي الحي‬‎ SYRIE • L'appel à l'aide d'Edith Bouvier. La presse visée en Syrie. ARMENIE • Le pays se prépare à accueillir les réfugiés arméniens de Syrie. SYRIE • "Couvrir une guerre, dans l'espoir de témoigner" Syrie : n’oubliez pas les militants en détention à Damas.

Vladimir Jirinovski, candidat nationaliste à l’élection présidentielle russe • Divinatoire. MÉDIAS • Deux journalistes tués en Syrie. ÉDITORIAL • De la guerre froide au Grand Jeu. SYRIE • Pourquoi les pacifistes ont tort. Syrie : Le journaliste citoyen Rami Al Sayed tué à Homs. Syrie : Choc et incrédulité après le meurtre de journalistes. SYRIE • Fadwa Suleiman : une pasionaria syrienne. Moyen-Orient • La flotte iranienne au secours de Damas. Syrie : Razan Ghazzawi libérée. Iran : Des rappeurs iraniens chantent pour Homs en Syrie. Damas quadrillée par l'armée, six morts dans le pays. SYRIE • Tactique : le président baasiste a encore des atouts. USA: un journaliste américain Prix Pullitzer décède d'une crise d'asthme en Syrie. L'assemblée des Nations-Unies condamne la répression syrienne. Monde Arabe : Hommages au journaliste décédé Anthony Shadid. Syrie : Razan Ghazzawi à nouveau arrêtée. SYRIE • Assad annonce un référendum constitutionnel.

Personne ne bouge pour arrêter Assad. ‫حمص باب السباع عودة الحمام الزاجل من بابا عمرو .flv‬‎ SYRIE • Les opposants se bercent d’illusions. TÉMOIGNAGE • Etre médecin dissident en Syrie. « Assez de crimes » : le cri de colère de Fadwa Suleiman, égérie de Homs | Neo Arabia. Les médias syriens inventent une interview de chercheur français. Deux attentats secouent Alep, les chars entrent dans Homs. SYRIE • Quatre diplomates syriens sommés de quitter l'Allemagne. L'armée tue encore et toujours pas de solution diplomatique. La Chine dit avoir rencontré un groupe d'opposition syrien. Plus de 60 civils tués, la plupart à Homs. Des centaines de Syriens "couvrent" la révolte au péril de leur vie.