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Du 8 au 24 août 2012

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Le Premier ministre ayant fait défection est arrivé en Jordanie. "Hijab et des membres de sa famille sont entrés aux petites heures du jour mercredi", a déclaré Samih Maayatah, également porte-parole du gouvernement. Les Comités locaux de coordination (LCC), qui organisent la contestation sur le terrain en Syrie, ont expliqué dans un communiqué que Riad Hijab était "arrivé en Jordanie en passant à travers des barbelés, après avoir été assiégé dans la province de Deraa (sud) depuis l'annonce de sa défection".

"Toutes les déclarations précédentes concernant l'organisation et la mise en oeuvre de sa défection sont fausses", ont ajouté les LCC. Lundi, un membre du Conseil national syrien (CNS), principale coalition de l'opposition, Khalid Zein al-Abidine, basé en Jordanie, avait indiqué que Riad Hijab et plusieurs membres de sa famille avaient fait défection dimanche soir dans ce pays. Il avait précisé que cette défection avait été coordonnée par l'opposition. "L'Armée syrienne libre (ASL, rebelles) les a tous aidés à passer la frontière", avait-il dit. Les rebelles ne peuvent pas remporter la bataille militaire. Bichara Kader, professeur à l’UCL et directeur du Centre d’études et de recherches sur le Monde arabe contemporain, et Francis Balanche, maître de conférences à l’Université de Lyon 2, étaient les invités de Matin première ce jeudi.

Si Damas semble être à présent contrôlée par les forces armées syriennes, le sort d’Alep reste, lui, assez obscur. Le gouvernement syrien affirme avoir repris le contrôle dans l’un des quartiers principaux de la rébellion; une information aussitôt démentie par des combattants sur le terrain. La violence des combats semble être à la hauteur de l’enjeu stratégique que représente la ville. Mais pour Francis Balanche, il ne fait aucun doute que l’armée syrienne sortira victorieuse de ce bras de fer macabre. "Ça va prendre du temps évidemment. Mais l’armée syrienne est beaucoup mieux équipée beaucoup mieux organisée que les rebelles, qui n’ont pas un commandement unifié. Les rebelles ne peuvent pas l'emporter Une communauté alaouite unie par peur des représailles.

Les Britanniques soutiennent désormais ouvertement les rebelles syriens. Selon M.Hague, le soutien apporté aux rebelles en Syrie n'implique pas que Londres prenne parti dans la transformation de la guerre civile syrienne en guerre régionale. La Grande-Bretagne demande depuis plusieurs mois déjà que le président syrien Bachar al-Assad fasse un pas de côté. L'opposition syrienne ne compte pas seulement dans ses rangs des Syriens, elle compte aussi des djihadistes et des salafistes comme dans à peu près tous les pays sunnites du monde arabe. William Hague a précisé que l'aide britannique était destinée aux "groupes d'opposants non armés, défenseurs des Droits de l'homme et du citoyen", excluant ainsi des organisations comme Al-qaïda.

Auparavant, Washington avait aussi indiqué clairement avoir fait de son mieux pour que l'aide américaine destinée aux "rebelles" ne tombent pas dans les mains d'organisations terroristes et/ou d'islamistes fondamentalistes. Belga. Bataille d'Alep entre armée et insurgés, avantage Bachar al-Assad. Les combats font rage, depuis le 20 juillet, à Alep, poumon économique du pays. Les rebelles de l'Armée syrienne libre ont fait face, jeudi, à un bombardement particulièrement violent des forces du régime.

Les insurgés ont annoncé leur retrait du quartier emblématique de Salaheddine, porte d'entrée incontournable pour prendre Alep. Conséquence des combats particulièrement violents à Alep, les habitants fuient la ville en direction d’autres villages ou vers les pays voisins. Quelque 2200 réfugiés syriens ont franchi la frontière turque au cours des dernières 24 heures. Leur nombre total en Turquie dépasse désormais 50 000, selon les autorités turques. Le Haut-commissariat de l'ONU aux réfugiés estime que plus de 276 000 Syriens ont fui les violences, principalement en Jordanie, en Turquie et au Liban. Par ailleurs, le président syrien, Bachar al-Assad, a nommé un nouveau chef de gouvernement, pour remplacer Riad Hijab qui a fait défection cette semaine. Nicolas Willems.

Un enseignant belge raconte les pénuries et la terreur. Pierre Piccinin est un jeune enseignant belge à l’école européenne. Il se passionne depuis des années, pour le monde arabe, et s’est rendu a quatre reprises en Syrie. Suite à ses premiers voyages, il a écrit des articles qui ne manquaient pas d’une certaine indulgence envers le régime de Bachar El Assad. Mais lors de son avant-dernier séjour, en mai, il a été arrêté par les services secrets syriens. Il a pu constater de ses yeux les tortures dont sont victimes les opposants emprisonnés. Des camps de réfugiés où les Syriens sont détenus Il a passé la frontière turque de nuit, puis a été pris en charge par des soldats de l’Armée syrienne libre. Dans son témoignage, Pierre Piccinin décrit les camps de réfugiés en Turquie, ou les Syriens sont littéralement "détenus" dans des conditions déplorables.

Pénuries alimentaires et horreurs du conflit En Syrie, Pierre Piccinin a gagné Alep grâce à l’aide de l’ASL. F. SYRIE • La démocratie, une issue impossible. Quels sont les scénarios de sortie de crise en Syrie ? Ce journaliste en a dénombré plusieurs, mais ils vont tous dans le sens d'une dérive autoritaire. Alors que les combats s’intensifient en Syrie, on en entrevoit clairement quatre issues possibles. Hélas, aucune ne semble vraiment satisfaisante, tant sur le plan de la stabilité régionale que sur celui des valeurs occidentales. Nous vous les présentons ci-après, par ordre de probabilité croissante. 1. Sans l’intervention internationale, principalement de l’Arabie Saoudite et de la Turquie mais également, dans une moindre mesure, des Etats-Unis et de leurs principaux alliés européens, c’est ce scénario qui aurait été le plus probable. 2.

C’est ce qu’espèrent ardemment les Etats-Unis, mais ils n’ont guère de chances de voir leurs vœux exaucés. 3. Certains signes laissent craindre une prééminence des éléments islamistes extrémistes au sein de la rébellion. Tous ces scénarios ont des conséquences négatives pour la stabilité régionale. H. Clinton sur la Syrie: "accélérer la fin du régime Assad" Les Etats-Unis et la Turquie vont renforcer leur planification opérationnelle concernant la Syrie, a annoncé samedi à Istanbul Hillary Clinton à l'issue d'un entretien avec le chef de la diplomatie turque, Ahmet Davutoglu.

Hillary Clinton a déclaré s'engager à "accélérer la fin de l'effusion de sang et du régime Assad". "Nous sommes en train de coordonner de manière étroite sur le conflit (syrien). Mais il nous faut désormais aller dans le détail de la planification opérationnelle et ce au niveau de nos deux gouvernements", a déclaré à la presse la secrétaire d'Etat américaine. "Nos services de renseignement, nos armées doivent avoir des responsabilités et jouer des rôles très importants.

Nous allons mettre en place un groupe de travail pour cela". La bataille d'Alep fait rage "Un repli tactique" "Les combats sont violents et ne se sont pas arrêtés depuis 24 heures. Une bataille cruciale Les combats à Damas Un nouveau vendredi sanglant Hillary Clinton en Turquie. Disparition d’une équipe de télévision pro-régime : profonde inquiétude de Reporters sans frontières. Lire en arabe (بالعربية) Reporters sans frontières fait part de sa profonde inquiétude quant au sort de trois journalistes de la chaîne de télévision pro-régime Al-Ikhbariya et de leur chauffeur, dont on est sans nouvelles depuis leur disparition, hier, après un accrochage entre l’armée et les forces rebelles dans la banlieue de Damas.

Le 10 août 2012, la reporter Yarah Saleh, le cameraman Abboud Tabarah, son assistant Hatem Abu Yehiah et leur chauffeur Housam Imad accompagnaient une colonne de l’armée syrienne dans une opération militaire à Al-Tal (nord de Damas). Al-Ikhbariya a annoncé dans la soirée avoir perdu tout contact avec son équipe, laquelle était sur le chemin du retour, ainsi qu’avec les militaires chargés de veiller à sa sécurité.

D’après l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), les journalistes auraient été capturés par une faction rebelle, dont l’identité reste pour l’heure inconnue. Un oeil sur la Syrie. Les rebelles auraient abattu un chasseur de l'armée. Des affrontements ont eu lieu dans la ville rebelle de Harasta, au nord-est de la capitale, de même qu'à Deir Ezzor (est) et dans plusieurs localités tenues par les rebelles dans cette région proche de l'Irak. Alors que les violences ont fait plus de 21 000 morts depuis le début en mars 2011 de la révolte contre le président Bachar al-Assad, rebelles et armée se sont livrés à de nouvelles atrocités ces derniers jours.

Des vidéos particulièrement horribles montrant des rebelles syriens jetant des corps du toit d'un bâtiment ou égorgeant sauvagement un homme ont circulé lundi sur internet et suscité l'indignation des ONG des droits de l'Homme et de militants. Ces trois vidéos postées sur Youtube, qui n'ont pu être ni authentifiées ni datées et qui semblent avoir été tournées dans la région septentrionale d'Alep, montrent aussi un homme assassiné froidement.

La rébellion affirme avoir abattu un avion de combat, une première Perquisitions à Damas Sommet islamique. La rébellion résiste à Alep, les exécutions sommaires se multiplient. Parallèlement, une réunion ministérielle arabe sur la Syrie prévue en Arabie saoudite a été reportée sine die, sans explications de la Ligue arabe. Quatre jours après avoir lancé son offensive terrestre pour déloger les rebelles d'Alep (nord), les chars et les avions de combat de l'armée continuaient de pilonner plusieurs quartiers. Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), les quartiers de Chaar, Tariq al-Bab, Hanano, Boustane al-Qasr et Salaheddine, secteur emblématique des insurgés, étaient la cible de violents tirs d'artillerie. L'Armée syrienne libre (ASL, formée de déserteurs et de civils ayant pris les armes) a affirmé avoir repris des positions "stratégiques" à Salaheddine, secteur que l'armée avait dit contrôler totalement mercredi.

Selon le journal officiel Al-Watan, la voie vers le quartier Sukkari, deuxième bastion en importance des rebelles, "est désormais ouverte pour l'armée qui a pris le contrôle de plusieurs axes lui permettant de le prendre d'assaut". M. SYRIE • Alep, déjà morte et ressuscitée tant de fois ! Le plus célèbre opposant syrien, Yassine Al-Haj Saleh, évoque la capitale économique de la Syrie, où il a vécu plusieurs années. Actuellement étranglée et bombardée par le régime de Bachar El-Assad, Alep perdra-t-elle définitivement son âme ? J’ai vécu à Alep pendant sept ans environ, à deux périodes différentes, à dix-sept années d’intervalle. La première fois, c’était dans les années 1970, puis à nouveau à la fin du siècle dernier. La première Alep que j’ai connue était une ville qui subissait les effets de l’assaut sécuritaire et politique du féroce et funeste régime de Hafez El-Assad [le père de l’actuel président], régime qui a anéanti toute personne qui émerge afin d’être le seul et unique acteur dans le pays.

La ville subissait également une explosion démographique en l’absence de services publics adéquats. Dans cette ville repliée sur elle-même, le non-Alépin que j’étais avait du mal à s’intégrer. La ville résistait à l’assaut du régime. Un journaliste d'une télévision iranienne enlevé par les rebelles. L'Iran est un fidèle allié du régime du président syrien Bachar al-Assad. La chaîne Al-Alam ne précise pas la nationalité du journaliste ni à quelle date il a été enlevé, mais affirme qu'il a disparu depuis "plusieurs jours" selon sa famille.

La chaîne dit également que "les rebelles ont attaqué le bureau d'Al-Alam à Homs et volé le matériel qui s'y trouvait". Plusieurs journalistes étrangers et syriens ont été visés dans le conflit en Syrie. Un responsable de l'agence officielle syrienne SANA a été assassiné par les rebelles devant sa maison à Damas et un groupe lié à Al-Qaïda a revendiqué le meurtre il y a un mois d'un présentateur de la chaîne de télévision syrienne. Vendredi, trois journalistes travaillant pour une chaîne publique syrienne ont été capturés par les rebelles alors qu'ils accompagnaient l'armée dans une opération près de Damas. Le 6 août, le siège de la radio-télévision à Damas avait été visé par un attentat à la bombe. Attaques contre les médias pro-régime : lettre ouverte à l'opposition. Lire en arabe (بالعربية) A l’attention de : Riyad Al Asaad - Armée syrienne libre Abdel Basset Sayda - CNS Cc : “Amis de la Syrie” Objet : Attaques croissantes contre des médias officiels syriens et exactions contre leur personnel Messieurs, Reporters sans frontières, organisation internationale de défense de la liberté de l’information, souhaite vous faire part de sa vive préoccupation quant à la multiplication des actes de violence perpétrés contre les journalistes syriens, y compris les professionnels des médias officiels ou pro-régime.

Comme vous le savez sans doute, notre organisation dénonce depuis deux décennies la main de fer du clan Assad sur l’information dans ce pays. Mais depuis plusieurs semaines, notre organisation recense malheureusement un nombre croissant de violations de la liberté de l’information du côté des forces qui combattent le régime. Plusieurs reporters étrangers nous ont rapporté avoir été la cible de menaces de mort de la part de groupes de l’opposition. Les batailles de Damas (1/3) Un billet d'Aurélien Pialou L'opposition armée au gouvernement de Bachar Al Assad avait annoncé, le 23 juillet dernier, le début des opérations "Volcan de Damas" et "Séisme de Syrie". Il s'agissait pour elle, entre autres choses, de lancer un appel à destination des Occidentaux et de la communauté internationale, dont elle espérait qu'il serait entendu.

Cette opération s'inscrivait dans une longue série de batailles pour la conquête de la capitale, quelque part toutes décisives et toutes victorieuses, qui, compte-tenu des techniques utilisées et de la complexité du terrain, ne pouvaient offrir l'image d'un développement rectiligne. Comme si les soldats de l'Armée Syrienne Libre mettaient en application ce que pronostiquait un rapport de CGG qui écrivait, en avril 2011, que "la crise syrienne ne suivra pas un cours régulier et rectiligne, mais sera plutôt sujette à des accélérations et des ralentissements, à d'étonnants retournements"... Situation des quartiers de Jobar et Zamalka à Damas.

Conflit en Syrie: les enfants "otages de la violence" Dans la vieille ville de Homs (centre), assiégée par l'armée, les enfants jouent à la guerre entre les rebelles de l'Armée syrienne libre (ASL) et les soldats du régime, utilisant des gombos comme munitions et des aubergines comme grenades. Oum Mohammed, jointe par l'AFP via Skype, affirme que ses petits-enfants, dont l'aîné n'a que neuf ans, n'ont plus peur du bruit des bombes ni des balles, et manipulent les éclats d'obus comme de simples jouets. "Mais ils se réveillent parfois la nuit en pleurs.

Aucun enfant ne devrait voir ce qu'ils voient et ils en ont déjà tant vu", déplore-t-elle. Des enfants soldats ? Pour les adolescents c'est parfois pire. A Alep (nord), plongée depuis le 20 juillet dans la guerre, un journaliste de l'AFP a vu plusieurs d'entre eux, armés de kalachnikovs, prendre part aux combats. Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), plus de 1.300 enfants sont morts au cours des 17 mois de violences. Un enfant de 14 ans torturé à mort. Raid aérien dans le nord de la Syrie: plus de 20 morts. Après les militaires, les diplomates syriens tentés par la défection.

Explosion suivie d'une fusillade contre le régime à Damas. Une économie à bout de souffle qui peut survivre avec l'aide "d'amis" Cinq pays du Golfe appellent leurs ressortissants à quitter le Liban. Jordanie: chaleur, harcèlement, poussière... le quotidien des réfugiés syriens. Liban: la guerre en Syrie fait tache d'huile au pays du Cèdre. L'Algérien Lakhdar Brahimi nommé émissaire international en Syrie. Lakhdar Brahimi, probable nouveau médiateur de l'ONU. Après les militaires et les diplomates, le Baath sur la voie de la défection en Syrie. #InMySyria (dans ma Syrie) les rues abonderont de liberté. Apparition du président Assad dans une mosquée à Damas. Fin de la mission des observateurs de l'ONU ce dimanche. La poudrière du Liban pourrait bien reprendre feu. ALLEMAGNE • L’implication des services secrets en Syrie fait débat. SYRIE • Assad se montre en public pour l’Aïd.

LIBAN • Beyrouth danse sur un volcan. LIBAN • Le retour des milices confessionnelles. Une journaliste japonaise tuée à Alep ; deux reporters de la chaîne Al-Hurra portés disparus. Liban: troisième jour de heurts interconfessionnels, 8 morts et 75 blessés. CHRONOLOGIE • La Syrie en six dates. GÉOPOLITIQUE • La Syrie de l’après-Assad. SYRIE • L’armée d’Assad surveillée par l’Allemagne. Liban : Le temps des enlèvements est de retour. A Alep : « Tous les jours, des camions pleins de cadavres »

Des dizaines de cadavres abattus sommairement retrouvés. Bachar adore poser avec les journalistes. Les batailles de Damas (2/3) SYRIE • Les dix secrets que les Israéliens voudraient découvrir. VU D’ISRAËL • Les risques de la désintégration. Reportage au coeur de la rébellion dans la bataille d'Alep. Un dixième journaliste tué depuis le début du conflit, le cinquième en quinze jours. Bachar Al Assad affecte l’ouverture pour gagner du temps. La révolution syrienne, entre piège de la violence… et manœuvres du régime (1/2)

La Syrie serait prête à discuter d'une démission d'Assad. Les combats s'éternisent, et s'étendent au Liban voisin. A Damas, une prière de l’Aïd al Fitr présidentielle pleine de leçons. Pour Damas, parler de guerre civile est "contraire à la réalité" Syrie : Revue de presse internationale. Obama menace Assad. France, Liban, Syrie : L’invraisemblable périple du vol Paris-Beyrouth. Barack Obama hausse le ton et menace d'intervenir militairement. Pour l’attribution du prochain prix Nobel de la paix au peuple syrien. Enlèvements, libérations, assassinats : les journalistes au coeur de la guerre. Des civils pris au piège dans la ville d'Al Tal, témoignage exclusif. Le dossier kurde syrien inquiète Ankara.

Armée et rebelles accusés de crimes contre l'humanité. Le Liban rattrapé par le conflit syrien. Syrie : si Assad tombe, pourra-t-il créer son Etat alaouite ? La Russie lance un appel international pour la fin du conflit. L'ONU rencontre les responsables humanitaires sur place. SYRIE • Lutter, et après ? Danziger sur la guerre civile en Syrie. Ola Abbas : « Les médias sont complices des massacres »

Défections en Syrie. Bachar Al Assad colmate les brèches. Dix points clés pour comprendre ce qui se passe en Syrie. Lettres de Syrie (12) En Syrie, il n’y a de batailles décisives que pour le pouvoir. L'ASL recule à Alep, Al-Assad nomme un Premier ministre. Transfert du dossier de Mazen Darwish à une cour militaire d’exception. Les rebelles auraient repris une partie du terrain perdu à Alep. Bachar l’Alaouite. La révolution syrienne ne se résume pas aux « barbus sans moustache » Syrie : Intervention militaire ou guerre civile ?