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Du 6 novembre au 20 mars 2012

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Tunisie : les modernistes entre autocritique et projet de regroupement | Tunisie libre. Opposants à la dictature, militants des droits de l’Homme, féministes, ils pensaient que la révolution tunisienne était leur victoire et que le peuple reconnaissant leur confierait la tâche de mener le pays vers la démocratie. C’est peu dire que les « modernistes » tunisiens sont sonnés par le résultat de l’élection du 23 octobre, remportées haut la main par les islamistes d’Ennahdha (37 % des voix).

Si l’événement peut se lire dans le temps long d’un mouvement balancier séculaire dans la recherche d’un équilibre entre modernité et identité, partagé par tout le monde musulman depuis le choc avec l’impérialisme européen, les acteurs politiques, eux, doivent réagir dans le temps très court des prochaines échéances : la rédaction de la Constitution et la préparation des élections suivantes (probablement d’ici un an). L’autocritique est menée tambour battant et l’heure est aux rapprochements politiques accélérés pour aboutir à la formation d’une force politique de centre gauche unifiée.

De la modernité à l'identité : le sens des nouveaux billets de banque tunisiens | Tunisie libre. Ancien et nouveau billet de 20 dinars Le sens des grands événements se lit parfois dans les détails. Alors que celui de la révolution tunisienne laisse encore les commentateurs perplexes, les nouvelles coupures émises par la Banque centrale de Tunisie donne une indication intéressante. Il devenait inconvenant de conserver un billet de 20 dinars (10 euros) glorifiant le 7 novembre 1987, jour de l’accession au pouvoir de Zineddine Ben Ali, remplaçant par ce qu’on avait alors qualifié de « coup d’Etat médical », un Bourguiba vieillissant, enfermé dans une dérive dictatoriale de plus en plus impitoyable.

L’événement avait semblé inaugurer la libéralisation du régime. On connaît la suite et la commémoration du 7 novembre s’était figée dans le rituel, la célébration incantatoire du mariage réussi de la modernité et de la tradition, et l’hommage obligatoire au dirigeant éclairé. Le 14 janvier 2011, le régime a chu. Une vision technicienne de la modernité Gravure à l’ancienne. Tunisie : l'Assemblée constituante ou les mystères de la création du pouvoir | Tunisie libre. Depuis les élections du 23 octobre, la vie politique tunisienne semble se dérouler dans les coulisses où les trois partis qui s’apprêtent à former le gouvernement, Ennahdha, le CPR et Ettakatol, négocient la répartition des pouvoirs alors que l’Assemblée constituante ne se réunira que le 22 novembre.

Un accord a été conclu pour répartir les trois postes clés de l’Etat : Hamadi Jbali, secrétaire général d’Ennahdha sera proposé au poste de Premier ministre, Moncef Marzouki, à la Présidence de la République et Mustafa Ben Jaafar, à la présidence de la Constituante. Mais quoi qu’il en soit, il ne s’agit que de propositions qui devront être votée par l’Assemblée constituante. La poule Constituante et de l’œuf du Droit Essayer de comprendre la situation dans laquelle se trouve la Tunisie depuis le 23 octobre, c’est entrer dans le mystère de la création de la poule et de l’œuf.

Qui de la poule Constituante et de l’œuf du Droit engendre l’autre ? Plus concrètement, il s’agit de savoir : Tunisie : Pourquoi la gauche va gouverner avec les islamistes | Tunisie libre. Moncef Marzouki (CPR), Rached Ghannouchi (Ennahdha), Mustafa Ben Jaafar (Ettakatol) (Thierry Brésillon) Le vainqueur des élections à l’Assemblée constituante, le parti islamiste Ennahdha, et deux partis considérés comme de gauche, le Congrès pour la république (CPR) et le Forum démocratique pour le travail et les libertés (Ettakatol) viennent de conclure un accord pour gouverner ensemble.

(Tandis que d’autres partis de centre gauche, le PDP, les composantes du Pôle démocratique et Afek Tounes, restent dans l’opposition). Cet attelage a de quoi surprendre. Ettakatol, membre de l’Internationale socialiste, est l’héritier de l’opposition démocratique et sociale au régime autoritaire de Bourguiba, dont il revendique l’héritage moderniste.

Le CPR peut être qualifié de gauche nationaliste et son dirigeant, Moncef Marzouki, est un ancien président de la Ligue tunisienne des droits de l’Homme. Une volonté de consensus Ils ont voulu éviter le front anti-islamiste formé par les partis modernistes. Tunisie : Séance inaugurale pour l’Assemblée constituante. Ce billet fait partie de notre dossier Tunisie 2011. Le 22 novembre 2011, un nouveau chapitre s'est ouvert pour le pays d'où est parti le Printemps arabe. L'Assemblée constituante élue démocratiquement le 23 octobre et chargée d'écrire la nouvelle constitution a tenu sa première séance. La journée a été longue, non seulement pour les 217 membres de l'Assemblée, mais aussi pour les Tunisiens qui ont suivi la séance devant la télévision et via les réseaux sociaux.

Séance inaugurale de l'Assemblée constituante démocratiquement élue, photo Ibtihel Zaatouri, copyright Demotix (22/11/11). @sarah81m tweete : Je crois j'ai jamais vu autant de monde suivre un débat parlementaire pendant des heures… ca fait plaisir Durant cette séance, Moustafa Ben Jaafar, président du Forum démocratique pour le travail et les libertés, a été élu président de l'Assemblée, avec 145 votes. Manifestations devant l'Assemblée Les familles des victimes de la révolution demandent justice. Une journée historique. Tunisie : de la révolution à la fracture | Tunisie libre. Manifestation et contre-manifestation devant le siège de l’Assemblée constituante, le 3 décembre. (Thierry Brésillon) Depuis une semaine, un campement s’est installé devant les grilles du palais du Bardo, à Tunis, où siège l’Assemblée constituante, au moment où se négocie une mini-Constitution provisoire.

Côte à côte, des militants venus protester contre le projet initial, dans lequel ils voient la volonté d’une hégémonie d’Ennahdha sur la rédaction de la Constitution et « le risque d’une nouvelle dictature », et des chômeurs du bassin minier de Gafsa, révoltés par la persistance du népotisme et de la corruption depuis la publication d’une liste d’embauches par la Compagnie des phosphates de Gafsa. Samedi, des militants d’Ennahdha ont appelé à une contre-manifestation, auquel ont pris part environ 3 000 personnes. Résumé à une opposition entre modernistes et islamistes, le moment permet de saisir les multiples ressorts du débat politique alors que s’amorce le débat sur la Constitution. ÉGYPTE • Gare au triomphalisme après la victoire des Frères musulmans. Al-Masri Al-Youm 8 Décembre 2011 | Partager : "Alliez-vous aux laïcs et aux coptes ! " lance le chef d’Ennahda (principal parti islamiste tunisien) Rached Ghannouchi à ses homologues égyptiens. A l'issue du vote dans un tiers des circonscriptions égyptiennes, les Frères musulmans obtiennent 46 % des sièges en jeu, auxquels s'ajoutent les 20 % des salafistes (islamistes radicaux).

Or, met en garde Ghannouchi, il faut ménager les autres composantes de la société afin d'éviter les déchirements violents semblables à ceux qu'a traversé l'Algérie dans les années 1990. Tunisie: Moncef Marzouki est élu président de la République. Le nouveau Président tunisien a prêté serment ce mardi matin. "Je serai garant des intérêts nationaux, de l'État des lois et des institutions, je serai fidèle aux martyrs et aux objectifs de la Révolution", a-t-il déclaré en prêtant serment la main sur le Coran. Moncef Marzouki, 66 ans, dirigeant du Congrès pour la République (CPR, gauche nationaliste), a été élu par 153 voix pour, 3 contre, 2 abstentions et 44 votes blancs sur un total de 202 votants sur les 217 membres de l'Assemblée. L'hymne national a retenti dans l'hémicycle, alors ses partisans criaient "fidélité aux Martyr de la révolution!

". Costume gris, chemise blanche mais sans cravate comme toujours, Moncef Marzouki, un médecin de formation, a remercié tous les députés: "Votre présence est primordiale. Le message par lequel vous me dîtes 'nous t'aurons à l'oeil' est bien reçu", a-t-il lancé en direction de l'opposition qui a voté blanc. Il devrait renoncer à toute responsabilité dans sa formation. Parti islamiste Ennahda. Tunisie : Marzouki, de l'intransigeance à la réconciliation | Tunisie libre. Moncef Marzouki (Thierry Brésillon) Le moment est historique et constitue, après les élections du 23 octobre, une rupture supplémentaire avec le régime de Ben Ali : l’homme qui, à 66 ans, vient d’être élu, lundi, à la présidence de la République tunisienne par l’Assemblée constituante tunisienne avec 153 voix sur 217, a été l’un des opposants les plus constants au régime déchu le 14 janvier.

L’élection de Moncef Marzouki consacre une trajectoire personnelle qui détermine les trois traits distinctifs de son positionnement politique : le refus de toute compromission avec régime de Ben Ali ; un militantisme déterminé en faveur des droits de l’homme ; le refus d’ostraciser les islamistes. Né d’un père opposant yousséfiste (traditionnaliste) à Bourguiba, mort en exil au Maroc, il a vécu son enfance dans une ville du sud, Douz. Une plateforme démocratique avec Ennahda En 1994, il avait tenté de participer à l’élection présidentielle, avant d’être brièvement emprisonné. Discours antisystème. TUNISIE • Un président de gauche pour la nouvelle République. Al-Quds Al-Arabi 13 Décembre 2011 | Partager : Moncef Marzouki, farouche opposant au régime Ben Ali, a été élu par 153 voix sur 202 président de la Tunisie par l'Assemblée constituante. Le premier scrutin libre au suffrage universel avait donné le 23 octobre une large avance au parti islamiste Ennahda dans cette assemblée.

Le parti de Marzouki, le Congrès pour la République, a formé une coalition avec celui-ci, Marzouki étant un adepte de longue date de l'intégration des islamistes dans le jeu politique. Il va nommer Hamadi Jebali, le numéro deux d'Ennahda, au poste de Premier ministre. Moncef Marzouki est le nouveau Président tunisien, il a prêté serment ce matin. ÉGYPTE • Rions des salafistes. La peur que suscite chez certains la montée des extrémistes religieux s’est traduite par un nombre incalculable de blagues. A peine connus les bons résultats des Frères musulmans et des salafistes [islamistes radicaux] lors de la première étape des élections législatives [début décembre], les Egyptiens ont inondé de blagues les réseaux sociaux pour exprimer leurs craintes de voir des islamistes prendre les rênes du pouvoir. A travers leurs sarcasmes, ils se demandent comment ils traiteraient alors les arts, les médias et le sport. Un des commentateurs a ainsi écrit sur Facebook qu’il faudrait remplacer les manchettes des journaux.

Au lieu de “L’Egypte dans le scrutin”, il faudrait écrire “L’Egypte dans le pétrin”, vu les temps difficiles qui attendent les citoyens. Autre blague : un salafiste prend un taxi. Tout n’est pas dans le Coran Un salafiste arrive à dos de chamelle à l’université. “Mon père sur le minaret” Les émissions de la télévision n’échappent pas à cette dérision. Tunisie: la population célèbre le premier anniversaire de son soulèvement. Venus de plusieurs villes du pays, des Tunisiens se sont rassemblés dès l'aube, pour participer à cet anniversaire avec les habitants de Sidi Bouzid, épicentre de la contestation.

Dans cette ville d'une région défavorisée du centre ouest, le jeune Mohamed Bouazizi s'était immolé par le feu devant la préfecture pour protester contre la saisie musclée par la police de son étal de fruits et légumes qu'il vendait sans permis pour faire vivre les siens. Le geste de désespoir du jeune homme avait déclenché des manifestations à Sidi Bouzid avant de s'étendre à tout le pays qui avait connu un mois de soulèvement populaire sans précédant, chassant Zine El Abidine Ben Ali après 23 ans de règne sans partage. Un monument commémoratif représentant le chariot de Bouazizi entouré de chaises volantes en symbole des "dictateurs" arabes déchus, a été dévoilé sous les applaudissements d'une foule compacte.

Belga. La flamme du souvenir. La flamme du souvenir Le 17 décembre 2010, un jeune vendeur ambulant s'immolait par le feu en Tunisie, pour protester contre la destruction de son chariot par la police. Le geste de désespoir de Mohamed Bouazizi, dans un pays n'offrant aucune perspective d'avenir, allait déclencher la révolution tunisienne et mettre à bas le régime honni de Ben Ali. A Sidi Bouzid, la ville de Bouazizi, des milliers de Tunisiens - dont le président Moncef Marzouki - se sont rassemblés, ce 17 décembre, pour commémorer le geste du jeune homme.

Un monument représentant le chariot de Bouazizi entouré de chaises vides - symbole des "dictateurs" arabes déchus - a été dévoilé pour l'occasion. La Tunisie est menacée d'un "suicide collectif", selon son président. "Si la machine économique tarde à reprendre rapidement, le pays va droit au suicide collectif. Une contre-révolution ou une révolution dans les régions marginalisées plongerait le pays dans une anarchie, " a-t-il précisé dans un discours aux chefs d'entreprises réunis au siège de l'Union tunisienne pour l'industrie, du commerce et de l'artisanat (Utica). Moncef Marzouki, ancien opposant au régime déchu de Ben Ali, chassé du pouvoir en janvier à la suite d'un soulèvement populaire parti de régions dévaforisées, a dit "comprendre les motifs de ces grèves et de ces revendications". "Je leur demande de ne pas être responsables d'une telle catastrophe et de ne pas faire couler le bateau qui nous transporte ensemble car ils sont en train de s'égorger et d'égorger la Tunisie, " a-t-il lancé à l'adresse des grévistes et protestataires.

Le président avait appelé au début du mois les partenaires sociaux à une "trêve sociale", visiblement sans grand succès. Belga. La misère s’expose sur le Net. La pauvreté a toujours été perçue comme un sujet tabou en Tunisie. Les médias ont jusqu'ici fermé les yeux sur ce qui passe vraiment à l'intérieur du pays. Depuis peu, des associations mobilisées sur les réseaux sociaux œuvrent sur le terrain et lancent un appel pour aider ces personnes en difficulté. Des dizaines d'association caritatives tunisiennes qui œuvrent tant bien que mal afin de secourir des personnes en difficultés, (surtout les plus fragiles comme les enfants et les personnes âgées) tentent actuellement de dénoncer ce fléau qu'est la pauvreté.

Mobilisées sur le réseau social Facebook, ces associations œuvrent constamment à apporter de l'aide à ces personnes en difficulté : appels aux dons, visites sur le terrain, créations de convois, ne sont ici que quelques exemple de cet élan de générosité qui commence à s'organiser sur la toile. Afin d'alerter l'opinion publique, quelques groupes et pages fans se sont créées sur le réseau social Facebook.

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Mdhilla : Au quartier “Sariaa”, “On vit sur de l’or. Mais nous n’en récoltons que la maladie et la pauvreté.” [photos] : Nawaat de Tunisie – Tunisia. Ahmed Manaï : “La Ligue arabe a enterré le rapport des observateurs en Syrie” : Nawaat de Tunisie – Tunisia. Tunisie : L’expulsion de l’ambassadeur de Syrie enflamme les esprits. MAGHREB • Le président tunisien veut donner vie à l'Union maghrébine. Moncef Marzouki: "C'est la démocratie qui a triomphé, pas l'islamisme" Tunisie : colère après les déclarations du prêcheur égyptien Wajdi Ghanim. Tunisie : Vif débat autour de la visite d’un prédicateur islamiste égyptien. Tunisie : une photo de nu envoie trois journalistes en prison | Rue89 Sport.

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