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Du 6 janvier au 26 novembre 2011

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Maroc, Tunisie, Algérie: un profond malaise social et politique. La Tunisie est en proie, depuis le 17 décembre, à une révolte sociale inédite, partie du centre-ouest du pays, qui a fait 4 morts au total : deux lors de manifestations et deux suicides. En Algérie, des émeutes ont éclaté ces derniers jours dans les villes du pays pour dénoncer le chômage et le coût de la vie. Selon les analystes, il y a des points communs entre les deux pays, ainsi qu'avec le Maroc voisin. Leurs économies ne parviennent pas à offrir des perspectives aux jeunes, souvent diplômés, qui arrivent sur le marché du travail. "Dans ces trois pays, il y a eu des efforts dans le domaine de l'éducation, mais on n'a pas pensé aux mécanismes d'intégration des jeunes diplômés à la collectivité, une intégration qui passe évidemment par l'emploi", estime Driss Benali, économiste, professeur à l'université Mohammed V de Rabat.

Le Tunisien de 26 ans qui s'était immolé par le feu en décembre et qui est mort mardi des suites de ses blessures était l'un de ces jeunes diplômés. Deux nouvelles tentatives d'immolation par le feu au Maroc. Selon Assabah, l'homme, arrivé récemment au Sahara occidental en provenance de Tindouf, où est basé le Polisario, a tenté de s'immoler à Smara mais les autorités marocaines sont intervenues et l'ont transporté à l'hôpital. Les autorités locales contactées par l'AFP ont affirmé de leur côté que l'homme "avait menacé de se suicider par le feu, mais n'avait pas mis sa menace à exécution".

Un témoin a précisé qu'il avait "versé de l'essence sur le sol et y avait mis le feu, mais avait été retenu au moment où il allait entrer dans le feu". Une autre tentative a eu lieu à Béni Mellal (centre). L'homme, âgé de 41 ans, est un marchand ambulant de 41 ans à qui les autorités avaient promis un magasin, a indiqué Assabah. Selon les autorités, l'homme a été légèrement brûlé à une main. Vendredi, une autre tentative a eu lieu à Casablanca (100 km au sud de Rabat). Plusieurs tentatives d'immolation ont ensuite eu lieu en Egypte, en Algérie et en Mauritanie. Maroc: le cousin du roi prédit une vague de protestation. Surnommé le "prince rouge" car critique vis-à-vis de la monarchie marocaine et du système politique dans ce pays, Moulay Hicham souligne, dans une interview au journal espagnol El Pais, que le "Maroc n'a pas été encore atteint" par la vague de contestation sociale et politique qui secoue les pays arabes.

"Mais il ne faut pas se tromper : presque tous les systèmes autoritaires seront affectés par la vague de protestation. Le Maroc ne sera probablement pas une exception", estime le cousin germain de Mohammed VI. "Reste à voir si la contestation sera sociale ou bien aussi politique et si les formations politiques, influencées par les récents événements, bougeront" commente encore cet homme de 46 ans, qui occupe la troisième place pour la succession au trône du Maroc. Le prince Moulay estime que dans ce pays la "dynamique de libéralisation politique entamée à la fin des années 90 a pratiquement pris fin. M. Belga. Révoltes dans le monde arabe: le Maroc ne fera pas exception, selon le cousin du roi - A la une. Le Maroc invité à presser le pas des réformes. "Beaucoup pensent qu'une réforme constitutionnelle permettant au Maroc de se doter d'institutions plus modernes est nécessaire", estime Driss Benali, économiste et analyste de la scène marocaine, évoquant une évolution vers une monarchie dotée de moins de pouvoirs.

Cette semaine, un important mouvement islamiste marocain, l'association Justice et Bienfaisance - non reconnue mais tolérée - a réclamé un "changement démocratique urgent" au Maroc, en saluant les événements de Tunisie et d'Egypte. "Il est injuste que la richesse du pays soit accaparée par une minorité", a accusé le mouvement, dans un texte publié sur son site. Le Maroc, où les inégalités demeurent fortes, ne connaît pas de mouvements de contestation importants, mais les récentes convulsions en Tunisie et en Egypte ont été suivies attentivement dans les grandes villes grâce à la chaîne qatarie Al-Jazeera. Le Maroc a un avantage: "la légitimité de sa monarchie". Contestation au Maroc : les anti-manif contre-attaquent. Le Maroc connaît à son tour son appel à manifester « pour le changement » qui circule sur les réseaux sociaux.

Mais cette mobilisation, prévue le 20 février, suscite un débat brouillé par le contexte géopolitique et par le fait que le pays est dirigé par un roi, Mohammed VI, et pas par un général. Le Maroc peut-il lui aussi être gagné par la fièvre révolutionnaire, ou est-il « différent » ? Une vidéo a été postée lundi sur YouTube, et une page Facebook a déjà recueilli plusieurs milliers de signatures pour appeler à manifester dimanche à travers le royaume, à l’instar des mouvements qui ont déjà fait partir les présidents de Tunisie et d’Egypte, ou qui se poursuivent de l’Algérie voisine au lointain Yémen. (Voir la vidéo en arabe) L’instigateur de l’appel à manifester sur Facebook, Rachid Antid, 35 ans, est un natif et habitant de Meknès, ville du Nord du pays, licencié en droit privé, formé en informatique et actuellement au chômage.

Débloquer le processus politique. Maroc : ‘Mouvement pour la dignité’ prévu le 20 février 2011 · Global Voices. Le Maroc a été qualifié d’ ‘exception improbable’ à l'agitation actuelle dans le monde arabe, s'expliquant par l'immense popularité du roi Mohammed VI, l'approche tactique envers l'islam politique, et le flux de projets de réformes sociales à travers le pays. L'impression d'un royaume relativement stable est le résultat de la relation intime entre la monarchie consacrée par l'histoire et la culture marocaine. Le 9 février 2011, les Marocains ont tenu un sit-in relativement pacifique devant le parlement dans la capitale Rabat pour exprimer leur solidarité aux Egyptiens dans leurs manifestations pour la démocratie : Rassemblement dans la capitale marocaine Rabat, le 9 février 2011 en signe de solidarité avec les manifestants égyptiens. Photo de l'auteur Nabila Taj. Il n'empêche qu'on parle sur Internet d'un ‘20 février 2011, Mouvement pour la Dignité‘ [en arabe], Les réactions au ‘Mouvement pour la Dignité’ parcourent tout le spectre.

Le blogueur Shiftybox prédit l'échec : Maroc: début de manifestations à Casablanca et Rabat. Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées dans le centre de Casablanca, principale ville du pays, peu avant le départ de la manifestation, selon un journaliste de l'AFP. "Liberté, dignité, justice", scandaient des manifestants, tandis que des groupes de gauche demandaient "moins de pouvoirs à la monarchie".

"Le roi doit régner et non gouverner" ou "le peuple veut une nouvelle Constitution", proclamaient des banderoles. A Rabat, plus de cent personnes ont commencé à se réunir sous une pluie fine. Dans la foulée des événements de Tunisie et d'Egypte, de jeunes Marocains avaient lancé sur Facebook le mouvement "du 20 février", appelant à manifester pacifiquement pour réclamer une nouvelle Constitution limitant les pouvoirs du roi et plus de justice sociale. L'appel a rapidement rassemblé des milliers de sympathisants. L'organisation de la jeunesse du mouvement islamiste Justice et bienfaisance a elle aussi appelé à manifester "pacifiquement" dimanche. Belga. Maroc: incidents après des manifestations pacifiques.

A Marrakech, haut-lieu du tourisme marocain, un groupe de 150 à 200 personnes étrangères à la manifestation ont attaqué et pillé des magasins et lancé des pierres contre un édifice public ainsi qu'un établissement de restauration rapide MacDonalds, selon un collaborateur de l'AFP sur place. L'incident s'est produit après la dispersion de la manifestation qui avait rassemblé environ 1500 personnes. Des incidents similaires se sont produits à Larache. Des jeunes gens s'en sont pris à des édifices publics, notamment un poste de gendarmerie et un poste de douane, selon plusieurs témoins.

Dans les deux cas, les forces de l'ordre ne sont pas intervenues, selon les mêmes sources. Voitures incendiées à Al Hoceima Des villageois venus des alentours d'Al Hoceima ont jeté des pierres contre un poste de police et "incendié cinq voitures" après la fin d'une manifestation en faveur de réformes politiques, qui s'était déroulée pacifiquement, a indiqué un témoin, joint par téléphone. Ju. Maroc: 5 morts, 128 blessés dans des troubles après les manifestations. "Les corps calcinés de cinq personnes ont été retrouvés à l'intérieur de l'une des agences bancaires incendiées par les fauteurs de troubles dans la ville d'Al Hoceima" au nord du pays, a indiqué le ministre de l'Intérieur Taib Cherkaoui, dans une déclaration à la presse.

Une enquête est en cours, a ajouté le ministre, précisant que 120 personnes avaient été interpellées suite aux troubles dans une demi-douzaine de villes marocaines. Des mineurs interpellés ont été remis à leurs familles. Des milliers personnes ont manifesté dimanche dans de nombreuses villes du Maroc pour réclamer des réformes politiques et une limitation des pouvoirs du Roi, répondant à un appel lancé à l'origine par des jeunes sur Facebook et repris par différentes ONG et organisations. Mais des troubles ont éclaté après la fin des manifestations dans les villes de Tanger, Tétouan, Larache, Al-Hoceima, dans le nord, Marrakech et Guelmin dans le sud ainsi qu'à Sefrou (centre). Vers des réformes accélérées ?

MAROC • Le changement oui, mais avec le roi. La marche du 20 février a bien eu lieu, dans plusieurs villes marocaines et les participants venaient de tous bords. Le roi a pris tous les observateurs à contre-pied, souligne le site Maghreb émergent. 21 février 2011 | Partager : Ceux qui avaient prédit une interdiction des marches prévues dans plusieurs grandes villes du Maroc, dont Casablanca, Tanger et Rabat, se sont trompés. Des milliers de Marocains ont répondu à l'appel des jeunes ''du 20 février'' et ont marché dans les villes de Rabat, Casablanca, Tanger, Marrakech, Nador Nador, Agadir, Tétouan, Al Hoceima pour réclamer des réformes politiques en profondeur, dont une limitation des pouvoirs du roi. Mouvement du 20 frévrier 2011. Des manifestations poussent le Maroc à accélérer les réformes. Video Mapping the Protests in Morocco #FEB20 (Cartographie vidéo) - MAMFAKINCH. Maroc : Le Roi met en place le Conseil Economique et Social · Global Voices.

Ce billet fait partie du dossier de Global Voices sur les manifestations de 2011 au Maroc. Au retour de sa visite en France, le Roi du Maroc Mohammed VI s'est rendu au palais royal de Casablanca pour annoncer l'installation d'un Conseil Economique et Social, lundi 21 février 2011. Manifestation de solidarité avec le peuple marocain à Paris. Photo de sebastien rabany, copyright Demotix (20/02/2011). Il a expliqué : Si Nous donnons le coup d’envoi de ce Conseil aujourd’hui, c’est parce que Nous nous sommes constamment refusé à céder à la démagogie et à l’improvisation dans Notre action visant à consolider notre modèle singulier de démocratie et de développement. Le chapitre 9 de la constitution de 1996 du royaume du Maroc avait en fait déjà stipulé l'existence de ce Conseil : Pourtant, ce n'est qu'en octobre 2008 que le roi Mohammed VI a initié la mise en place du conseil, comme le précise son adresse aux deux chambres du Parlement marocain à l'époque :

#FEB20 vidéo accablante contre les "baltagias" marocains - MAMFAKINCH. Maroc: le Roi va faire des réformes, selon un syndicaliste. Cette rencontre informelle, selon la presse marocaine, s'est déroulée dimanche entre cinq représentants syndicaux et ce conseiller du Roi, Mohammed Moatassim, au domicile de celui-ci à Rabat. Le conseiller "nous a annoncé que le Roi est décidé à amorcer des réformes politiques, économiques et sociales et a précisé que le Maroc ne peut rester indifférent à ce qui se passe autour de lui", a indiqué à l'AFP Abderrahmane Azzouzi, secrétaire général de la Fédération démocratique du travail. Maroc: le roi crée un nouvel organisme chargé des droits de l'Homme. La création du Conseil national des droits de l'Homme (CNDH) met fin au mandat du Conseil consultatif des droits de l'Homme (CCDH), créé en 1990 par le roi Hassan II. Cette annonce intervient après les manifestations du 20 février au Maroc, qui avaient rassemblé des dizaines de milliers de personnes pour réclamer notamment des progrès sur les droits de l'Homme.

Le nouveau conseil sera composé de personnalités représentant les pouvoirs publics, les ONG, les partis politiques ainsi que de personnalités indépendantes, selon une source gouvernementale. Il sera présidé par Driss El Yazami, un militant des droits de l'Homme, qui présidait jusqu'à présent le Conseil de la communauté marocaine à l'étranger. M. Yazami, 59 ans, a milité dans les rangs de l'extrême gauche marocaine des années 1970 avant de s'exiler en France. Parmi ses prérogatives, le conseil pourra demander à la justice l'ouverture d'enquêtes pour violation des droits de l'Homme, a indiqué M. Maroc: appel sur Facebook à de nouvelles manifestations le 20 mars. MAROC • "La seule file démocratique est celle des péages sur l’autoroute" De la monarchie à la lutte contre la corruption, un chanteur, un cinéaste et un dramaturge livrent leur analyse de la contestation, de leur travail et de la vie au pays, dans les pages du quotidien suisse Le Temps.

Cela sonne comme un cri de guerre. Ou de Marsupilami. "Et pourtant ça ne veut rien dire", rigole Réda Allali, chanteur du groupe casablancais Hoba Hoba Spirit. La formation, née en 1998, est connue pour ses textes au vitriol, scandés sur une musique mêlant rock, reggae et rap. Son créneau: les maux du pays. Analphabétisme, masses endormies, terrorisme, chômage ou corruption, tout est passé au crible.

La ligne rouge ? La corruption, surtout, cause le désespoir du chanteur. Il a vécu deux décennies en Norvège. Pour le cinéaste, tout part de l'individu. Il reçoit au Centre d'études sociales, économiques et managériales qu'il dirige, planté sur les hauteurs de Rabat. Ancien journaliste, l'homme de lettres, 43 ans, estime avoir bien plus de liberté en tant qu'artiste. Maroc: le roi Mohammed va adresser un discours à la nation. Maroc: Mohammed VI annonce une "réforme constitutionnelle globale"

Mohammed VI est coincé!" par Farid Aïchoune - une vidéo Actu et Politique. MAROC • Des promesses révolutionnaires qui engagent le roi. Maroc: une manifestation à Casablanca fait des dizaines de blessés. Après la dispersion par la force d'un rassemblement pacifique pour revendiquer des réformes politiques, des dizaines de manifestants se sont réfugiés à l'intérieur du siège du Parti socialiste unifié (PSU), d'opposition de gauche. Vers 14h00 GMT, les forces de l'ordre ont tenté d'y donner l'assaut mais n'y sont pas parvenues face, notamment, à la résistance des manifestants. Des témoins, parmi lesquesl plusieurs journalistes dont un correspondant de l'AFP, ont vu que des dizaines de personnes avaient été blessées, certaines grièvement.

"J'ai vu une femme enceinte et des jeunes filles sauvagement tabassées par la police. C'était d'une rare violence", a dit Hassan Hamdani, de l'hebdomadaire indépendant Tel Quel, présent lors de l'assaut. Le préfet pointé du doigt après les promesses du roi Mohamed VI "C'est le préfet de Casablanca qui a donné l'ordre. Des témoins avaient alors fait état de violences et de premiers blessés. Maroc: des manifestants dispersés par la force à Casablanca. L'Italie interdit l'entrée dans ses eaux à un ferry marocain de personnes évacuées de Libye. Maroc: manifestations pour des changements et la justice sociale. Maroc: les journalistes des chaînes publiques réclament des changements.

Manifestation à Casablanca pour des réformes politiques. Syrie, Algérie, Maroc... Des concessions pour calmer la rue. La révolte arabe menacée de désenchantement. Maroc: Manifestations pour la démocratie dans plusieurs villes. Maroc: manifestations pour la démocratie dans plusieurs villes. Attentat à Marrakech: des menaces d'Aqmi contre le Maroc diffusées sur internet.

Attentat à Marrakech: 16 morts, l'ONU dénonce un acte "haineux" Attentat à Marrakech : "A qui profite le crime ?" Attentat de Marrakech: la vidéo de menaces d'Aqmi date de 2007. Maroc: le Roi Mohammed VI à Marrakech après l'attentat. MAROC • Mohammed VI à Marrakech sur les lieux de l'attentat. Attentat de Marrakech: les autorités "toujours sur la piste" Al Qaïda. Attentat de Marrakech: plusieurs personnes auditionnées puis relâchées. Attentat de Marrakech: le Maroc confirme détenir "l'exécutant" Aqmi nie toute implication dans l'attentat de Marrakech. Maroc: des milliers de manifestants pour la démocratie, contre le terrorisme. Attentat de Marrakech: interpellation de 3 nouveaux suspects. Maroc: la police disperse des manifestations à Rabat et Casablanca. Maroc: la police diperse une manifestation devant le parlement à Rabat. "Au Maroc, le pouvoir a signifié la fin de la récré"

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