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Du 23 avril au 25 août

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Répression sanglante en Syrie: condamnation unanime à l'étranger. De Washington à Moscou, en passant par l'ONU, les chancelleries ont réagi vivement, parfois avec indignation, après la dispersion à balles réelles par les forces de l'ordre syriennes d'importantes manifestations dans plusieurs villes du pays. Au moins 82 personnes ont été tuées et des centaines d'autres ont été blessées lors de ces défilés qui ont rassemblé des dizaines de milliers de manifestants. Il s'agissait de l'une des plus importantes mobilisations depuis le début le 15 mars du mouvement de contestation sans précédent contre le régime du président Bachar el-Assad, arrivé au pouvoir en 2000 à la mort de son père Hafez el-Assad. La France a critiqué à deux reprises le régime de Damas.

Le ministre des Affaires étrangères Alain Juppé a condamné "la répression aveugle et brutale" lors de manifestations et appelé les autorités syriennes "à renoncer à l'usage de la violence". M. Belga. Opération meurtrière des forces de l'ordre, au moins 25 morts. L'armée est en entrée en action à Deraa, la ville agricole du sud où a commencé la contestation en février. Les soldats avançaient et tiraient dans toutes les directions, y compris à l'arme lourde, aidés par des snipers postés sur le toit de bâtiments officiels. Cette offensive a fait au moins 25 morts, selon le récit de deux opposants avec lesquels l'AFP a pu établir un contact. Pendant cette opération, la frontière avec la Jordanie toute proche a été partiellement fermée.

Dans le Nord, les forces de sécurité sont intervenues dans la banlieue de Damas et à Douma, une ville plus au nord, empêchant les gens de sortir de chez eux, ne fut-ce pour acheter du pain. Démonstration de force après les espoirs Le pouvoir syrien a voulu faire une démontration de force, il anéantit les quelques espoirs qu'il avait pu donner en répondant à la première revendication des activistes: abolir la loi sur l'état d'urgence. F. L'ONU "réfléchit" à envoyer une mission dans le pays. Rupert Colville, porte-parole de Navi Pillay, haut-commissaire aux droits de l'homme, a toutefois précisé que rien n'était encore décidé, l'offre syrienne ayant été formulée jeudi dernier, à la veille de manifestations réprimées dans le sang et lors desquelles au moins 82 personnes ont été tuées.

"Lors d'une rencontre avec le haut-commissaire la semaine passée, l'ambassadeur syrien a invité le Haut-commissariat à envoyer une mission en Syrie à certaines conditions", a expliqué Rupert Colville. "Nous sommes impatients de pouvoir visiter et d'évaluer de façon indépendante la situation sur le terrain", a-t-il déclaré. "Nous y réfléchissons", a ajouté le porte-parole mais il a précisé que si l'ONU devait envoyer une mission, "les conditions devaient être acceptables". Pas d'accord au Conseil de sécurité, malgré 450 victimes. Un projet de déclaration présenté par la Grande-Bretagne, la France, l'Allemagne et le Portugal circulait depuis lundi au Conseil de sécurité. Les quatre pays y condamnaient la violence du régime de Bachar el-Assad contre les manifestants et lançaient un appel à la retenue. Mais mercredi, lors d'une réunion spéciale à huis clos du Conseil de sécurité sur la Syrie, la Chine et la Russie ont bloqué la déclaration, l'ambassadeur adjoint de la Russie à l'ONU, Alexandre Pankine, mettant en garde contre une "ingérence extérieure" qui pourrait causer "une guerre civile".

Alexandre Pankine a encore ajouté qu'il souhaitait "une vraie enquête" et que "les coupables soient traduits en justice" en Syrie. "Ces émeutes (...) masquent des intentions cachées" L'ambassadeur de Syrie auprès de l'ONU, Bachar Jaafari, a rejeté toute idée d'enquête internationale. Plus de 230 démission dans le parti au pouvoir "Les services de sécurité ont démoli les valeurs sur lesquelles nous avons grandi.

Au moins 453 tués. Plus de 80 morts lors des manifestations. Le Comité des martyrs de la Révolution du 15 mars, un groupe de militants formé pour recenser les victimes du mouvement de contestation, a publié une liste nominative de 82 personnes tuées par les tirs des forces de sécurité, dont des enfants et personnes âgées, selon un communiqué parvenu à l'AFP. Il a affirmé procéder à des vérifications notamment à Lattaquié, principal port syrien à 350 km au nord-ouest de Damas, où "le bilan pourrait être très élevé". Un autre groupe de militants des droits de l'Homme fait état de 92 morts dans un communiqué mis en ligne sur internet. Des centaines de personnes ont aussi été blessées lors de ces défilés qui ont rassemblé des dizaines de milliers de manifestants à travers le pays, après l'appel d'opposants via le réseau Facebook pour une journée du "Vendredi saint" malgré la levée la veille de l'état d'urgence en vigueur depuis près de 50 ans.

M. L'armée s'attaque aux foyers de la contestation, tirs d'obus à Homs. Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a exhorté mercredi le président syrien Bachar el-Assad à renoncer à la force et à entendre les appels à la liberté de la population. Tôt mercredi, des tirs d'obus et d'armes automatiques ont été entendus à Homs, à 160 kilomètres au nord de Damas, en provenance des alentours du quartier résidentiel de Baba Amr et des villages voisins, a affirmé Najati Tayara, un militant des droits de l'Homme. Quelque 100 000 habitants, pour la plupart des villageois et des bédouins, habitent cette zone et sont la cible depuis trois jours d'une "opération sécuritaire", a-t-il indiqué. Des forces armées ont procédé dans cette région agricole à "des opérations de ratissage à la recherche d'armes". "Cette opération a terrifié les habitants et les agents de sécurité ont procédé à des vols", a dit Najati Tayara.

"Un blindé est posté depuis mardi soir sur la place où sont organisées les manifestations à Banias", a-t-il souligné. "Nous allons nous battre jusqu'au bout. L'opposition ne doit pas répéter le scénario libyen, dit Moscou. "Nous sommes très inquiets du fait que le processus de réconciliation, le processus d'un début de dialogue (...) est ralenti par l'intention de certains participants à ce processus d'attirer des forces étrangères pour soutenir leurs actions" en Syrie, a déclaré Sergueï Lavrov lors d'une visite au Kazakhstan. La Russie espère que "le scénario libyen, avec des acteurs étrangers s'ingérant dans la situation (syrienne), y compris en recourant à la force, ne va pas se répéter". Le régime syrien, sourd aux protestations internationales, a intensifié jeudi la répression de la révolte en prenant le contrôle de nouveaux villages et en procédant à des centaines d'arrestations, alors que des militants appelaient à des manifestations vendredi.

Furieuse après la récente intervention militaire internationale en Libye, la Russie refuse de coopérer avec l'Occident pour faire davantage pression sur la Syrie, afin de préserver ses relations avec ce pays. Appel à manifester, B. al-Assad confiant en une fin proche. Le président Bachar al-Assad a affirmé, dans des déclarations publiées par le journal Al-Watan, que la crise était "en passe d'être terminée", les autorités attribuant les troubles à des "salafistes, des "gangs criminels" ou à "des groupes terroristes armés", dont certains liés à l'étranger.

Face à la poursuite de la répression qui a fait depuis le 15 mars au moins 850 morts selon des ONG et l'ONU, et entraîné plus de 8000 arrestations et la fuite de milliers de Syriens, les Etats-Unis et l'Union européenne ont déclaré envisager de nouvelles sanctions contre le régime. Dans la capitale syrienne, plutôt épargnée par les grandes manifestations contre le régime, les écoles et les commerces sont restés ouverts, et les transports publics roulaient normalement. "Qui oserait observer la grève générale et risquer ainsi de perdre son commerce ou d'être visé par les autorités ?

", a fait valoir un homme d'affaires ayant requis l'anonymat. Bachar al-Assad croit en une fin proche de la crise. Au moins huit civils ont été tués mercredi dans la localité syrienne de Tall Kalakh (ouest) assiégée par l'armée depuis plusieurs jours, ont indiqué à l'AFP deux militants des droits de l'Homme. Ils ont fait état de bombardements sur la ville et de tirs à l'arme automatique, ajoutant que de nombreux blessés gisaient dans la rue sans pouvoir être évacués. De son côté, le président Bachar al-Assad a affirmé, dans des déclarations publiées par le journal Al-Watan, que la crise était "en passe d'être terminée", les autorités attribuant les troubles à des "salafistes", des "gangs criminels" ou à "des groupes terroristes armés", dont certains liés à l'étranger.

Face à la poursuite de la répression qui a fait depuis le 15 mars au moins 850 morts selon des ONG et l'ONU, et entraîné plus de 8000 arrestations et la fuite de milliers de Syriens, les Etats-Unis et l'Union européenne ont déclaré envisager de nouvelles sanctions contre le régime. Une grève générale nécessaire ? Les Etats-Unis vont prendre des mesures contre le président. Les Etats-Unis ont finalement décidé de sanctionner le président syrien, Bachar al-Assad.

Jusqu'à présent les mesures américaines ne concernaient que des dirigeants du régime. Six autres des principaux chefs du régime ont aussi été visés par ces nouvelles mesures, des sanctions pour leur rôle dans la répression sanglante de la révolte en Syrie. L'appel à la grève générale a été peu suivi, mercredi. Face à la répression sanglante du régime, la majorité des Syriens n'ont pas suivi l'appel à la grève générale. Les écoles et les commerces sont restés ouverts dans une grande partie du pays. Des militants des droits de l'homme ont annoncé que huit civils ont été tués, mercredi, à Tall Kalakh. Cette ville de l'ouest de la Syrie, assiégée depuis plusieurs jours, a été bombardée par l'armée. Depuis le début du mouvement de contestation en Syrie, le 15 mars, au moins 850 personnes sont mortes, selon des ONG et l'ONU. Barack Obama va expliquer le plan d'aide aux pays arabes Nicolas Willems. Funérailles au lendemain de la mort de 44 manifestants.

Des funérailles étaient prévues dans plusieurs villes, selon un militant, au lendemain de la mort de 44 personnes ayant péri sous les balles des forces de sécurité selon un dernier bilan fourni par un militant. "Les autorités syriennes continuent de faire un usage excessif de la force et (d'utiliser) des balles réelles pour faire face aux manifestations dans différentes régions du pays", a déclaré à l'AFP par téléphone Ammar al-Qourabi, chef de l'Organisation nationale des droits de l'Homme en Syrie.

Selon lui, 26 personnes ont été tuées dans la province d'Idlib (ouest) et 13 à Homs (centre). Deux autres ont péri dans la ville de Deir Ezzor (est), une à Daraya, banlieue de Damas, une à Lattaquié (ouest) et une autre à Hama (centre). Un soldat et quatre adolescents font partie des victimes, dont deux âgés de 12 et 16 ans qui ont été tués à Homs, a-t-il précisé. Des militants avaient fait état vendredi d'un bilan de 34 morts et des dizaines de blessés. L'Union européenne décide de sanctionner Bachar al-Assad. Les ministres européens des Affaires étrangères se sont décidés lundi à sanctionner le président syrien en personne au moment où le bilan de la répression du mouvement de contestation qui ébranle son régime depuis la mi-mars dépasse les 900 morts, selon l'ONU et des ONG.

Le nom de Bachar al-Assad devrait être publié mardi aux côtés de ceux de neuf autres responsables syriens au Journal officiel de l'UE, s'ajoutant à une première liste de 13 figures clé du régime syrien, dont un frère du président et plusieurs cousins, frappés depuis le 10 mai d'interdictions de visa en Europe et de gels d'avoirs. Les 27 avaient alors également décrété un embargo sur les armes et suspendu l'aide au développement européenne. Lundi, ils ont également appelé la Banque européenne d'investissement (BEI) à "ne pas approuver des opérations de financement en Syrie pour le moment". Le régime "doit prendre le chemin des réformes, pas de la répression", a estimé le chef de la diplomatie britannique, William Hague.

L'opposition réunie en Turquie prépare une déclaration commune. Cette déclaration sera publié jeudi soir ou vendredi matin, à la clôture du congrès dans cette cité balnéaire sur la Méditerranée. Une conférence de presse est aussi prévue à la fin du "congrès pour un changement en Syrie". Quelques 300 opposants syriens, majoritairement réfugiés à l'extérieur, se sont pour la première fois retrouvés aussi nombreux. Ils représentent un large spectre des forces politiques qui luttent contre le pouvoir de Damas afin de soutenir la révolte à l'intérieur du pays.

L'objectif de la réunion, selon les organisateurs, est de mettre au point "une feuille de route" pour une transition démocratique et pacifique en Syrie. Plusieurs commissions ont été mises en place pour coordonner l'action contre le régime du président Bachar al-Assad, notamment afin de trouver les moyens de venir en aide aux membres de la contestation en Syrie, financièrement ou du point de vue logistique (assistance juridique, renforcement des sites sociaux sur internet en faveur de la révolte).

Les forces de l'ordre tirent sur les manifestants à Hama, 34 morts. "Il s'agit de la plus grande manifestation à Hama depuis le début du mouvement de contestation", à la mi-mars, a déclaré à l'AFP Rami Abdel-Rahmane, le directeur de cette association basée à Londres. Il a fait état de "tirs intensifs" des services de sécurité sur les manifestants. Il a indiqué que des personnes avaient été blessées sans pouvoir en donner le nombre. A 15h30 GMT (17h30, heure belge), une dépêche de l'agence AFP faisait état d'au moins 34 morts. Des témoins sur place parlent de forces de l'ordre et de tireurs postés sur les toits qui tirent à l'arme automatique sur la foule. En 1982, une répression terrible avait fait 20 000 morts dans cette ville, lorsque les Frères musulmans s'étaient soulevés contre le régime de Hafez al-Assad, père du président Bachar al-Assad.

Des manifestations dans plusieurs autres villes du pays ont réuni vendredi des milliers de personnes, selon des militants. Les Nations unies se disent alarmées et évoquent un bilan de 1000 morts Ju. A Bruxelles, l'opposition syrienne réclame la fin de la répression. L'opposition syrienne appelle à augmenter la pression sur Bachar al-Assad. "Il y a un besoin de davantage de pression sur le régime", ont estimé lors d'un point presse les organisateurs de la "Coalition nationale de soutien à la révolution syrienne", une conférence qui a réuni samedi et dimanche plus de 200 personnes issues de la diaspora syrienne à l'étranger. "Il est très important d'imposer l'isolation diplomatique au régime syrien, et de ne pas lui permettre d'être représenté dans les instances internationales", ont-ils ajouté.

L'UE et les Etats-Unis notamment ont imposé ces dernières semaines des sanctions visant Bachar al-Assad et ses proches. La création par le président syrien d'un organisme chargé de lancer le "dialogue national" a été dénoncée comme "une farce". "On ne peut pas parler actuellement de dialogue national", alors que la répression bat son plein en Syrie, ont-ils estimé. La conférence a été organisée dans la foulée de celle qui s'est déroulée mercredi dernier à Antalya en Turquie. 28 tués en 24 heures, la communauté internationale sollicitée. Répression en Syrie : l'amour au temps de la torture.

Confusion à Paris où l'ambassadrice de Syrie en France dément avoir démissionné. La Syrie s'embourbe dans la violence, sans grandes réactions. Londres et Paris déposent une résolution à l'Onu. L'ONU exhorte Damas à cesser ses attaques contre son peuple. TURQUIE • Les portes restent ouvertes aux réfugiés syriens. R. Gates parle de "massacres" et conteste la "légitimité" du régime. Des hélicoptères tirent sur les manifestants, au moins 25 morts. L'armée repasse à l'offensive, "crise humanitaire" selon Washington. La blogueuse syrienne "enlevée" était... un étudiant américain - Monde. Syrie : la blogueuse lesbienne était un hétéro américain. L'arrivée des réfugiés syriens en Turquie s'intensifie. La blogueuse syrienne "enlevée" à Damas était en fait un Américain. L'exode des réfugiés syriens se poursuit en Turquie. Le pouvoir tente une offensive médiatique, la répression continue. La Turquie créerait une zone tampon en Syrie en cas de guerre civile.

SYRIE • L'incroyable silence du monde arabe. MOYEN-ORIENT • La Turquie demande l'arrêt immédiat des violences en Syrie. Au moins 19 morts dans des manifestations. Syriens réfugiés en Turquie : "En Syrie, on veut nous tuer" La Turquie commence à aider les Syriens massés à sa frontière. L'UE prête à renforcer ses sanctions contre la Syrie. Manifestations anti-Assad dans plusieurs villes après le discours. SYRIE • Bachar El-Assad recalé. Plus de 1500 réfugiés syriens sont entrés en Turquie en 24 heures. Onze morts lors de manifestations, l'UE "révoltée" Les chars syriens font fuir les populations vers la Turquie. Des chars entrent dans un nouveau village proche de la Turquie.

Syrie : "Manifester la nuit, pour fatiguer les forces de sécurité" SYRIE • Embarrassant BHL. L'ambassadeur US défie le régime lors des manifestations à Hama. MOYEN-ORIENT • Epreuve de force entre la Syrie et l'Occident. L'ONU condamne fermement les attaques d'ambassades. Quatre civils tués, nouvelles manifestations vendredi. Opposants réunis à Istanbul, H. Clinton en demi-teinte face à Damas. Le multipartisme autorisé, encore des arrestations. L'armée syrienne tue près de 100 civils à Hama, ville rebelle. La communauté internationale s'inquiète du net regain de violence. L'Europe appelle l'ONU à se prononcer sur les violences. Répression en Syrie : La communauté internationale doit agir pour empêcher le régime syrien d’écraser l’opposition dans le sang et la terreur. SYRIE • L'indifférence coupable de l'Europe.

Les chars assiègent plusieurs villes touchées par la contestation. Accord à l'Onu sur un texte condamnant la Syrie où la répression continue. Début des manifestations, opérations de l'armée à Hama. Au moins quatre manifestants tués par les forces de sécurité. Le secrétaire général de l'ONU met la pression sur Bachar el-Assad. La Ligue arabe appelle à cesser "immédiatement" les violences. Le régime syrien de plus en plus isolé, l'ambassadeur saoudien rappelé. Le site de la Défense syrienne piraté. La répression continue, la Turquie hausse le ton. Le président Assad reconnaît des "erreurs" mais ne change rien. Bruxelles: manifestation pour réclamer la condamnation du régime syrien. Mobilisation massive, 16 morts dans des manifestations.

Américains, Britanniques et Saoudiens exigent la fin des violences. Guy Verhofstadt plaide pour un blocus pétrolier. Barack Obama exige la démission du président Assad. La communauté internationale demande le départ du Président. Les blindés de l'armée à Homs avant une visite de l'ONU. Bachar al-Assad ne partira pas et annonce des élections. L'ONU analyse la situation en Syrie. Session spéciale du Conseil des droits de l'homme de l'ONU. SYRIE • "Kadhafi est tombé. Bachar, c'est ton tour !" Hebdo n° 1086 du 25 août 2011. Le sang coule au lendemain de l'appel au départ d'Assad, 23 morts. B. al-Assad affirme que les opérations ont cessé, l'ONU se réunit.

Syrie : Manifestations anti et pro-Bachar à travers le monde. Pluie de critiques sur le régime après la mort de 54 personnes. La révolution frémit à Damas : "Incroyable, ils n'ont plus peur" Un journaliste arrivé clandestinement à Hama témoigne. L'ONU s'apprête à réagir face à la répression. L'armée tire sur les manifestants, 136 civils tués. SYRIE • Le casse-tête américain. Manifestation monstre à Hama, 8 civils tués. L'UE dénonce une répression "révoltante" et renforce ses sanctions. LIBAN • Le calvaire des réfugiés kurdes syriens. TURQUIE • Des chars syriens à la frontière. SYRIE • Mauvais canular sur la Toile. Près de 10 000 réfugiés syriens sont en Turquie. Des chars de l'armée aux entrées de Khan Cheikhoun.

Le régime reste déterminé à mater la contestation dans le sang. SYRIE • Londres et Paris accentuent la pression sur Bachar El-Assad. SYRIE • Le cyberdissident en guerre contre Damas. L'opposition appelle à la grève générale.