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Du 20 août au 5 novembre 2011

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Les blindés de l'armée à Homs avant une visite de l'ONU. A Homs (centre), "plusieurs blindés de l'armée ont pris position à l'aube à Khalidyieh et des renforts des services de sécurité sont arrivés à Baba Omrou et Inchaat à bord de neuf véhicules", a affirmé à l'AFP le président de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) Rami Abdel Rahmane.

Cette incursion intervient deux jours après que le président Bachar al-Assad a assuré au secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon que les opérations militaires contre les contestataires avaient pris fin. A Lattaquié (ouest), les forces de sécurité perquisitionnaient le quartier de Qniniss, où l'armée est intervenue massivement cette semaine, a indiqué l'OSDH.

Ces opérations interviennent au lendemain de manifestations qui se sont soldées par la mort de 34 personnes, selon l'OSDH, basé en Grande-Bretagne. Belga. Bachar al-Assad ne partira pas et annonce des élections. "En nous abstenant de réagir, nous leur disons que leurs propos sont sans valeur", a dit Bachar al-Assad. Selon lui, de "tels propos ne doivent pas être tenus à l'égard d'un président qui a été choisi par le peuple syrien et qui n'a pas été installé par l'Occident, un président qui n'est pas fabriqué aux États-Unis". Jeudi, le président américain Barack Obama, comme ses alliés occidentaux, a pour la première fois appelé explicitement Bachar al-Assad à partir et a renforcé les sanctions contre son régime après cinq mois d'une brutale et sanglante répression de la contestation en Syrie. Lors de cette entrevue, le président syrien a également annoncé que des élections législatives se tiendraient au début de l'année 2012.

D'autres partis que le Baas, le parti au pouvoir, pourront se présenter au scrutin qui sera organisé en février, a-t-il affirmé. PIAB avec agences. Répression en Syrie : La communauté internationale doit agir pour empêcher le régime syrien d’écraser l’opposition dans le sang et la terreur. Vu l’interdiction opposée à la présence de journalistes ou d’observateurs étrangers, les seuls témoignages de cette répression proviennent des récits courageusement transmis par les militants syriens des droits de l’homme ainsi que par des dizaines de milliers de civils qui se sont réfugiés au Liban ou en Turquie. Les services de sécurité syriens et les milices paramilitaires du parti Baas intensifient leur répression méthodique et implacable, tandis que le régime tente le tout pour le tout dans sa campagne de restauration de « l’ordre ». Le parti Baas recourt d’abord et avant tout aux moyens policiers et militaires pour écraser une révolte qui s’est emparée de la plupart des villes de province.

Mais, pour parfaire la reprise en mains et assurer le maintien du Baas au pouvoir, le régime syrien recourt à d’autres moyens plus subtils, à commencer par l’agitation de deux épouvantails : celui de l’islamisme et celui de la guerre civile interconfessionnelle et interethnique. Session spéciale du Conseil des droits de l'homme de l'ONU. La demande de session spéciale du Conseil, une procédure peu fréquente, a été déposée par 23 pays membres, dont les quatre pays arabes du Conseil, l'Arabie saoudite, la Jordanie, le Qatar et le Koweit. Silencieux au début de la crise, trois de ces pays - Qatar, Arabie Saoudite et Koweit - ont, depuis, rappelé leur ambassadeur à Damas. Un projet de résolution, dont l'AFP a obtenu copie "condamne avec force les persistantes et graves violations des droits de l'homme de la part des autorités syriennes" et les appelle "à cesser immédiatement tous les actes de violence contre la population".

Le texte demande également "l'envoi urgent d'une commission d'enquête indépendante" sur place pour "mener des investigations sur les violations des droits de l'homme en Syrie depuis le mois de mars" et "identifier les auteurs pour s'assurer qu'ils puissent être tenus responsables". SYRIE • "Kadhafi est tombé. Bachar, c'est ton tour !" The National 23 août 2011 | Partager : "Les nouvelles venues de Libye inspirent les opposants syriens", titre le quotidien émirati. Le 22 août, à l'annonce de la prise de contrôle d'une bonne partie de Tripoli par la rébellion libyenne, des milliers de Syriens ont de nouveau manifesté pour réclamer le départ du président Bachar El-Assad. La répression s'est poursuivie, faisant 10 victimes dans la seule journée de lundi et portant, selon une estimation des Nations unies, à 2 200 le nombre de morts depuis le début de la contestation, à la mi-mars.

Sept morts, 150 arrestations dans la banlieue de Damas. Quatre personnes ont été tuées à Homs et deux manifestants ont trouvé la mort à Talbiseh (au nord de Homs) par des tirs des fores de sécurité mercredi, selon la Coordination des comités locaux (LCC), qui regroupe des activistes sur le terrain. Par ailleurs, un homme de 28 ans, arrêté il y a une semaine à Khan Shehoun, (ouest), est décédé sous la torture mercredi, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). En outre, selon la LCC, à Palmyre (245 km à l'est de Damas), une personne a été blessée lors d'imposantes funérailles d'un jeune tué il y a quelques jours. Par ailleurs, les forces militaires et sécuritaires ont bouclé Harasta mardi et ont arrêté 120 personnes et 37 autres mercredi matin.

Située à 10 km au nord-est de la capitale, cette ville industrielle est le théâtre de manifestations depuis le début de la contestation à la mi-mars. Hebdo n° 1086 du 25 août 2011. Après la victoire, d’autres combats La prise de la place Verte, à Tripoli, que les insurgés ont aussitôt rebaptisée place des Martyrs, ressemble un peu à la prise de la Bastille. On s’attendait à une résistance acharnée de la garde de Kadhafi, il n’en a rien été. De même, le 14 juillet 1789, on s’attendait à trouver à la Bastille nombre de prisonniers victimes du despotisme et une forte garnison pour combattre, mais le lieu était à peine défendu et quasi vide… Nul doute que la prise de Tripoli restera une date clé, tout autant que le renversement du régime de Moubarak.

Comme le note The Atlantic, la chute de Kadhafi est une victoire pour les Libyens – une grande majorité d’entre eux en avaient assez du guide et de ses fils –, et c’est également un succès pour Sarkozy, Cameron et aussi Obama, qui a su aider les rebelles sans engager trop les Etats-Unis. Mais, comme pour la révolution de 1789, le plus difficile est la suite. Les sbires d'Assad écrasent les mains d'un caricaturiste syrien | Rue89. Ali Farzat hospitalisé après son passage à tabac (prise par un de ses amis pour Neo Arabia/Rue89).

Depuis le début de la révolution syrienne, ses caricatures arrachent des sourires ironiques aux protestataires qui les échangent et les commentent sur leurs pages Facebook. Enlevé à l’aube ce jeudi 25 août sur une place centrale de Damas, Ali Farzat, dessinateur mondialement connu, a été retrouvé tabassé au bord de la route. La veille encore, l’une de ses proches amies disait avec soulagement : « Ils n’ont pas cherché à atteindre Ali » soulignant l’arbitraire des services de sécurité syriens qui ont arrêté et menacé nombre d’intellectuels et artistes opposants dans le pays. Son cartable et ses dessins volés Ali Farzat a été attaqué dans sa voiture par des hommes cagoulés dans l’une des zones les plus surveillées de Damas, à quelques dizaines de mètres du bâtiment de la radio-télévision syrienne et de l’état-major des forces de sécurité.

Dessin récent de Ali Farzat. Plein écran ▣ Les Syriens vont devoir se serrer la ceinture, dit le gouverneur de la Banque centrale. "Nous allons être confrontés à de plus en plus de difficultés à cause des sanctions et des évènements. Il va falloir se serrer la ceinture", a prévenu Adib Mayaleh. "Le premier secteur frappé c'est le tourisme dont les recettes ont baissé de 90% et le citoyen sera le premier touché. Les transports, les importations, l'industrie tout va être de plus en plus perturbé et le chômage et la pauvreté vont s'accroître", a-t-il précisé.

Pour faire pression sur la Syrie et dénoncer la répression en cours qui a fait plus de 2.200 morts selon l'ONU, la communauté internationale et notamment les Etats-Unis ont annoncé récemment des sanctions commerciales très sévères. "L'embargo est une punition contre tous les Syriens et particulièrement les plus vulnérables. C'est du blabla quand ils (les Etats-Unis et les Européens), jurent qu'ils ne veulent pas punir le peuple. C'est le seul qui est touché, ce n'est pas le régime. Il souligne que son pays avait cependant envisagé une telle éventualité.

Ali Ferzat self-portrait today. That's the spirit! Pleas. SYRIE • Ali Farzat, ou le crime de dessiner. L'agression du célèbre caricaturiste, qui fait suite à l'assassinat d'un chanteur contestataire, montre, si besoin était, que la violence est le seul mode de communication du pouvoir syrien. 26 août 2011 | Partager : Le 25 août, l'un des artistes les plus en vue de Syrie, le dessinateur de presse mondialement connu Ali Farzat, a été violemment agressé en plein jour. Au vu de ce genre d'incidents, on se demande si le gouvernement du Président Bachar Assad a conscience de l'impact de ses actes.

Farzat a fait savoir ces dernières semaines qu'il n'était pas d'accord avec le régime, mais il est loin d'être considéré comme un ennemi traditionnel des autorités de Damas. Mais les derniers dessins de Farzat - dont l'un représentant le président faisant ses valises aux côtés de Muammar Kadhafi - n'étaient visiblement pas du tout du goût des autorités. La Turquie ne fait plus confiance au régime de Bachar al-Assad. La situation en Syrie "a désormais atteint un tel niveau que tout est trop infime et trop tardif. Nous n'avons plus confiance", a déclaré Abdullah Gül dans une interview exclusive accordée à l'agence turque pour ses quatre ans au pouvoir, faisant allusion aux mesures que le gouvernement syrien a annoncées pour tenter de calmer la contestation.

"Tout le monde devrait savoir que nous sommes aux côtés du peuple syrien (...) L'essentiel, c'est le peuple", a ajouté le président turc. "Aujourd'hui, il n'y a plus de place dans le monde pour des gouvernements autoritaires, pour des partis uniques, des régimes fermés. Pour sa part, le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan a averti que les responsables du régime syrien pourraient connaître le même sort que les dirigeants chassés du pouvoir en 2011 dans le monde arabe, dans une allocution télévisée. Dimanche, près de 150 Syriens résidant en Turquie se sont rassemblés dans le centre d'Istanbul pour manifester contre le régime du président Assad. Belga. SYRIE • L’intellectuel qui a déçu la révolution. Né en 1930, le poète syrien Ali Ahmed Saïd Esber, dit Adonis, est et restera l'un des plus grands poètes arabes du XXe siècle. C'est aussi un critique activement engagé dans la création d'une nouvelle vision de la culture.

Il est donc étrange d'entendre quelqu'un qui désire de façon obsessionnelle le prix Nobel déclarer que la culture à laquelle il appartient - la culture dont il est censé être le champion - est une culture morte. A deux reprises en effet au cours des dernières années Adonis a souligné que la culture arabe était "morte". Dans une interview accordée le 7 septembre 2007 à la chaîne Al-Arabiya, il affirmait par exemple : "Nous sommes un peuple en voie d'extinction. [...] Nous n'avons plus la capacité créative d'édifier une grande société humaine ni de participer à la construction du monde. " Peu après, ses compatriotes syriens se révoltaient contre un régime dictatorial impitoyable qui les étouffait depuis quatre décennies. Fin du Ramadan, sept personnes tuées par la sécurité. Les forces tirent sur les manifestants, un mort et des blessés.

Les manifestants sont descendus dans la rue dans la région de Damas, de Hama (centre), de Deraa (sud), de Homs (centre), dans la ville d'Amouda (nord-est) et à Deir Ezzor (est), ont indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) et les Comités locaux de coordination (LCC), faisant état "d'une forte mobilisation" dans ces régions pour réclamer la chute du régime. "Un martyr est tombé sous les balles des forces de sécurité dans la localité d'Erbine, dans la région de Damas", et au moins trois personnes ont été blessées, a rapporté l'OSDH. Les forces de sécurité ont en outre tiré "pour disperser les manifestants et il y a eu des blessés dans la localité de Nawa dans la province de Deraa", a ajouté l'ONG. A Homs, plus au sud, des milliers de Syriens sont descendus dans la rue.

Cinq manifestants ont été blessés par les tirs des forces de sécurité. Par ailleurs, les communications téléphoniques ont été coupées dans plusieurs secteurs. L'UE décrète un embargo sur le pétrole syrien. L'UE impose un embargo sur les exportations pétrolières. Il y avait déjà les gels d'avoirs de 50 personnalités syriennes, l'embargo sur les armes et des interdictions de visas. Voici maintenant une mesure qui frappe le portefeuille syrien, ou plutôt "le coeur", comme l'a dit le ministre néerlandais des Affaires étrangères.

L'Union Européenne achète 95% du pétrole exporté par la Syrie: 150 000 barils de brut par jour, surtout vers l'Allemagne, l'Italie et la France. C'est donc un coup économique porté à la Syrie. Mais la réserve de devises étrangères du pays est encore très importante. Tellement importante qu'elle devrait permettre au régime d'encaisser le choc à défaut d'encaisser de nouvelles devises.

Le temps de trouver de nouveaux marchés pour son pétrole. Le régime poursuit sa répression quotidienne. Selon une ONG, 21 manifestants ne sont pas rentrés. Il faudra encore d'autres sanctions pour ébranler le régime de Bachar al-Assad. Michel Lagase. 12 morts dans des opérations sécuritaires dimanche. "Quatre personnes sont mortes à Karnaz, deux à Khan Cheikhoun, trois à Tahtaya et une à Jabala, ainsi qu'une femme à Saraqeb, par des tirs des forces de sécurité qui menaient des opérations", a déclaré Omar Idlebi, porte-parole des Comités locaux de coordination, un des mouvements animant la contestation contre le régime du président Bachar al-Assad.

Une personne a été également tuée par des tirs des forces de sécurité sur un bus dans la ville d'Idleb (nord-ouest). Damas accepte une visite du chef de la Ligue arabe Le secrétaire général de la Ligue arabe Nabil al-Arabi a annoncé dimanche que Damas acceptait qu'il effectue une visite en Syrie, où il compte se rendre dans la semaine pour tenter de trouver un règlement à la crise dans ce pays.

"J'ai été informé que la Syrie accueillait favorablement" une telle visite, qui aura lieu "probablement cette semaine", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse au siège de l'organisation panarabe au Caire. Avec Belga. SYRIE • L'émir du Qatar dénonce les violences en Syrie. La Syrie demande le report de la visite du chef de la Ligue arabe. SYRIE • La visite de la Ligue arabe repoussée sine die. SYRIE • Bain de sang à Homs, divisions au sein de l'armée.

Trois soldats insoumis tués. Déjà 2600 victimes de la répression selon l'ONU. Syrie : "Ils ont tué mon père et mon cousin de sang-froid" Les pays arabes lancent un appel à mettre fin à l'effusion du sang en Syrie. KheOps, l'activiste qui aidait les Syriens à surfer librement. La Turquie, qui évoque une "guerre civile", lâche Bachar al-Assad. La répression fait 12 morts, les manifestations se poursuivent. Le Conseil des droits de l'homme demande une action internationale en Syrie. B. Obama exhorte le Conseil de sécurité à condamner la Syrie.

Deux civils tués par les tirs des forces de sécurité en Syrie. Les sanctions renforcées de l'UE sont désormais effectives. Treize civils aurait été tués par les forces de sécurité. 4 déserteurs tués, l'armée se déploie à Homs et Idleb. ONU: Damas accuse les Occidentaux de vouloir démanteler la Syrie. SYRIE • L'armée fait la chasse aux déserteurs. DIPLOMATIE • Moscou pourrait accepter une résolution sur la Syrie à l'ONU. Rastane envahie par 250 chars, les heurts font 19 morts dans le pays.

La répression fait sept nouvelles victimes. L'opposition syrienne est unifiée en un Conseil national. Syrie, le crépuscule des Assad - latrois : programme du Jeudi 06 Octobre à 21:10. SYRIE • L'opposition s'unit à Istanbul, l'armée contrôle Rastan. Retard dans l'adoption d'une résolution au Conseil de sécurité. Onu: vetos russe et chinois à une résolution sur la Syrie. Le régime est passé aux "représailles" contre les chefs de l'opposition. Nouveaux morts, la Russie hausse un peu le ton. 5 morts lors des funérailles de l'opposant Mechaal Tamo. Onze civils tués dont sept à Homs dimanche.

Damas menace de rétorsions les pays qui reconnaîtront l'opposition. Le CNT libyen reconnaît le Conseil national syrien. Dix-neuf morts dans deux villes. SYRIE • Manifestation prorégime à Damas. 36 personnes tuées ce jeudi, plus de 3000 morts en six mois. 21 tués dans des opérations militaires et de sécurité à Homs. SYRIE • Ban Ki-moon dénonce les tueries. Au moins sept soldats tués dans des affrontements. L'opposition syrienne évoque une intervention armée internationale. La fin de Kadhafi vue de Syrie... | Chez Baudry. Trois morts en Syrie, des localités proches de Damas prises d'assaut. La répression fait trois nouvelles victimes civiles. L'ambassadeur des Etats-Unis quitte la Syrie pour des raisons de sécurité. SYRIE • L'ambassadeur américain quitte Damas. Six personnes tuées par les forces de sécurité. SYRIE • Médiation arabe entre Bachar El-Assad et l'opposition. Le Prix Sakharov à des militants du Printemps arabe.

Reportage à Homs sur le quotidien des opposants en Syrie. Les ministres arabes des Affaires étrangères dénoncent "les meurtres de civils" 47 soldats et membres des forces de sécurité tués par des déserteurs. « En Syrie, j'étais cyberactiviste. Je filmais la révolution » Affrontements meurtriers entre soldats dissidents et loyalistes. Assad: toute action occidentale provoquerait un "tremblement de terre" 47 soldats tués, le président Bachar al-Assad menace l'Occident. La Syrie refuse la médiation arabe, l'Otan exclut toute intervention. Accord avec la Ligue arabe sur un plan de résolution de la crise. Dix ouvriers tués par des hommes armés dans une usine à Homs.

La Syrie accepte "sans réserves" le plan arabe, nouvelles violences. 20 civils tués au lendemain de l'acceptation d'un plan de la Ligue arabe. SYRIE • Le régime accepte le plan de la Ligue arabe. SYRIE • Homs dans le sang au lendemain du plan arabe. Répression et mobilisation ne faiblissent pas. Libération de 553 personnes détenues dans le cadre de la contestation. Un plan arabe pour un arrêt des violences. Fin des violences en Syrie : Bachar al-Assad doit répondre ce lundi. Escalade de la répression, 36 civils tués. SYRIE • La Marie-Antoinette de Damas. Le régime continue à réprimer dans le sang. Bachar est appelé… à disparaître ! Plus de 187 enfants tués depuis le début de la répression en Syrie. SYRIE • Veto russe et chinois contre le projet de résolution à l'ONU.

L'armée pillonne Rastane, au moins 20 blessés. SYRIE • Nouvelles manifestations pour demander une "protection internationale" La Ligue arabe a-t-elle une solution pour résoudre la crise? SYRIE • Ali Farzat, le caricaturiste aux mains brisées. Usage systématique de la torture par les services de sécurité. L'ONU analyse la situation en Syrie. Désaccords dans l'opposition sur une structure politique unifiée.