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Du 16 janvier au 21 août 2012

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Japon: des appartements construits avec du béton irradié de Fukushima. Des niveaux de radiation allant jusqu'à 1,24 microsievert par heure ont été relevés dans ce bâtiment situé dans la ville de Nihonmatsu, à 55 kilomètres du site atomique, ont indiqué les autorités de la ville.

Japon: des appartements construits avec du béton irradié de Fukushima

Selon les médias locaux, douze familles vivent dans ces appartements. L'immeuble de trois étages, achevé en juillet, a été construit avec du béton fabriqué à partir de gravier collecté en avril dans une carrière proche de la centrale Fukushima Daiichi, soit un mois à peine après l'accident provoqué par un tsunami géant le 11 mars. Le porte-parole du gouvernement, Osamu Fujimura, a indiqué qu'une personne vivant dans ce bâtiment s'expose à un taux de radiation d'environ 10 millisieverts par an, soit la moitié du niveau fixé par les autorités pour décréter une évacuation.

"Mais nous voulons poursuivre l'enquête sur les carrières situées dans la zone interdite et vérifier si des cas similaires ont pu se produire", a-t-il dit lors d'une conférence de presse. Belga. Nucléaire au Japon : « L'Etat est un traître pour les travailleurs » Une femme manifeste contre le nucléaire.

Nucléaire au Japon : « L'Etat est un traître pour les travailleurs »

Sur la banderole : « Maman que se passe-t-il ? » (Thierry Ribault) Nasubi est engagé depuis 1986 dans la défense des droits des travailleurs journaliers, notamment dans les « yoseba », grands marchés de main-d’œuvre temporaire largement sous contrôle des yakuzas, que l’on trouve à Tokyo (San’ya), à Osaka (Kamagasaki) ou encore à Yokohama (Kotobuki). En juillet 2011, Nasubi a publié sous ce nom d’emprunt, un « Manuel de sécurité à l’usage des travailleurs du nucléaire ». Nous l’avons rencontré le 11 décembre 2011 à Tokyo, peu avant le départ d’une manifestation antinucléaire, devant les bâtiments du ministère de l’Economie, du Commerce et de l’Industrie.

Thierry Ribault : Comment est né votre engagement et en quoi consiste-t-il ? Fukushima : premières photos de l’intérieur d’un réacteur. « La Fissure », un webdocu sur le Japon de l'après-Fukushima. Un homme pêche près d’une maison renversée, presqu’ïle d’Oshika (Annabelle Lourenço) Annabelle Lourenço est photographe et Cyprien Nozières réalisateur-animateur.

« La Fissure », un webdocu sur le Japon de l'après-Fukushima

Indépendants tous les deux, avec des moyens limités, ils sont partis au Japon, témoigner de l’état du pays après la catastrophe du 11 mars. Fukushima : il se bat pour ne pas laisser mourir ses vaches irradiées. Masami Yonezawa à Tokyo (Alissa Descotes-Toyosaki) (De Tokyo) En ce vendredi 27 janvier, une fanfare joue devant la tente antinucléaire de Kasumigaseki.

Fukushima : il se bat pour ne pas laisser mourir ses vaches irradiées

Il y a deux jours, un ordre d’expulsion a été envoyé par le ministère de l’Economie, mais personne n’y croit vraiment. Alors que l’heure de pointe approche et que les fonctionnaires du ministère investissent le carrefour en même temps que 600 activistes antinucléaires, on entend une voix qui crie à s’en arracher les poumons : « Ce combat contre le nucléaire, il faut le mener de front ! Je ne tolèrerai pas qu’on règle le problème en tuant mes vaches ! On aperçoit un petit van noir couvert de banderoles avec un haut-parleur qui tourne autour du rond-point. Brusque montée de la température dans le réacteur 2. Courrier international 7 février 2012 | Partager : "La température à l'intérieur de la cuve du réacteur numéro 2 [accidenté de la centrale de Fukushima Daiichi depuis le séisme et le tsunami du 11 mars 2011] a brusquement augmenté de près de trente degré ces derniers jours pour atteindre 73,3º lundi 6 février", relate le Yomiuri Shimbun.

Brusque montée de la température dans le réacteur 2

Les raisons de cette hausse sont inconnues. Fukushima : le refroidissement du réacteur 2 ne fonctionne pas. Une brusque montée des températures dans la cuve du réacteur 2 de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima met le Japon en émoi.

Fukushima : le refroidissement du réacteur 2 ne fonctionne pas

Selon Tepco, la température a gagné près de 30 degrés depuis le 1er février et a atteint 73,3°C ce lundi. Cette mauvaise nouvelle signifie que l’injection d’eau pour refroidir le réacteur ne fonctionne pas comme prévu. Le village de Kawauchi rappelle ses habitants. Le Japon, onze mois après le tsunami. Tepco confirme la stabilisation du site de Fukushima (vidéo) Revêtus de combinaisons blanches, gants et masques intégraux, les reporters ont été conduits vers le complexe atomique endommagé à partir de J-Village, un ex-site sportif à la frontière de la zone interdite transformé en centre de préparation pour les travailleurs.

Tepco confirme la stabilisation du site de Fukushima (vidéo)

Après avoir traversé des villes désertées, le groupe a pénétré dans l'enceinte de la centrale, le niveau de radioactivité s'élevant au fur et à mesure pour atteindre 15 microsieverts par heure à la porte du site, puis 40 microsieverts par heure à l'entrée du centre de gestion de crise, contre 0,05 à 0,15 microsievert par heure en un lieu non contaminé. Les niveaux peuvent atteindre 1500 microsieverts par heure à proximité du réacteur 3, le plus endommagé des six que compte la centrale ravagée par le tsunami du 11 mars 2011. Il a en outre confirmé l'état d'arrêt à froid des réacteurs. "Notre principal défi désormais est d'extraire le combustible des réacteurs. Japon : Une affiche contre le nucléaire sème le trouble. Ce billet fait partie de notre dossier sur le séisme au Japon.

Japon : Une affiche contre le nucléaire sème le trouble

Une affiche contre l’énergie nucléaire créée par Makoto Wada, un illustrateur japonais, a déclenché des débats sur l'impact de l'art visuel. Le 11 mars 2011, le plus grand tremblement de terre de son histoire a frappé le Japon, et le tsunami qui a suivi a provoqué des dégâts irréversibles sur la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi. Dans le processus de stabilisation de l'usine, une grande quantité de matières radioactives a été déversée vers les régions voisines. L'affiche représente une mère et un garçon près d'une centrale nucléaire (une image en haute qualité de l'affiche peut être vue sur le site officiel).

Des particules jaunes avec des visages effrayants tombent d'un ciel sombre, et la mère serre le garçon dans ses bras afin de le protéger contre tout mal. Le poster a été initialement dessiné pour une exposition d'affiches contre le nucléaire [en japonais] qui s'est tenue à Tokyo pendant 10 jours en novembre 2011.

和田誠さんの反原発ポスター。 Fukushima: un plancher au fond de la mer pour fixer les éléments radioactifs. "Nous avons relevé d'importantes densités d'éléments radioactifs dans le sol sous la mer en bordure de la centrale", a reconnu Tepco dans un document expliquant le chantier.

Fukushima: un plancher au fond de la mer pour fixer les éléments radioactifs

Les préparatifs des travaux ont débuté mercredi après des essais de structure de fixation des éléments radioactifs effectués en laboratoire depuis décembre et une étude en mer conduite par la suite. La structure en couche, d'une aire de 73 000 mètres carrés, équivalente à celle de 10 terrains de football, sera répartie en deux espaces sous-marin, en face des réacteurs 1 à 4 et devant les 5 et 6 légèrement à l'écart.

La mise en place de ce faux plancher, composé de ciment, argile et autres matériaux, devrait concrètement commencer avant la fin du mois pour s'achever en mai ou juin, a précisé Tokyo Electric Power (Tepco). Près d'un an après, les rejets ne sont pas stoppés bien qu'étant d'ampleur très nettement inférieure à celle constatée dans les premières semaines suivant la catastrophe. Belga. Nucléaire : « Les travailleurs de Fukushima, agresseurs et victimes » Un travailleur nucléaire (Yushi Saito) Dans le « Sonic club » d’Iwaki, à 50 km de la centrale de Fukushima Daiichi, Yushi Saito chante avec sa guitare.

Nucléaire : « Les travailleurs de Fukushima, agresseurs et victimes »

Il est habillé en pantalon bouffant d’ouvrier avec une serviette noire nouée autour de la tête. C’est un travailleur de la centrale accidentée et un habitant de Tomioka, une jolie ville balnéaire dont il ne reste plus rien : « La ville où je suis né a été complètement irradiée. La maison du gars là-bas a été emportée par le tsunami, les cerisiers en fleurs que nous regardions ensemble, la mer où nous jouions tous les deux, tout, tout, tout a été contaminé. » Près de Fukushima, la mairie d'un petit village sert toujours de refuge.

Janick Magne, candidate Europe Ecologie - Les Verts aux législatives 2012 pour les Français d’ex-URSS, d’Asie et d’Océanie, est allée à la rencontre des réfugiés de Fukushima. Katsutaka Idogawa ne décolère pas. Le maire de la petite ville de Futaba, commune de la zone interdite qui se trouve tout près de la centrale nucléaire accidentée, reçoit les visiteurs dans sa mairie provisoire. Il est installé dans une salle au rez-de-chaussée d’un lycée désaffecté, à Kazo, dans le banlieue nord de Tokyo, à 200 kilomètres de Fukushima. C’est là qu’il s’est réfugié il y a près d’un an déjà avec 1 300 de ses administrés, soit 20% des habitants de sa commune. Aujourd’hui, les deux tiers d’entre eux ont quitté le refuge, notamment ceux qui avaient des enfants. Ceux qui en avaient l’énergie et la possibilité ont cherché travail et logement ailleurs.

Mais le maire assure qu’il garde le contact avec tous les évacués, où qu’ils soient. Malgré le drame de Fukushima, cinq pays se lancent dans le nucléaire. "Nous nous attendons à ce que cette année le Vietnam, le Bangladesh, les Emirats arabes unis, la Turquie et le Belarus commencent à construire leurs premières centrales nucléaires", a déclaré Kwaku Aning, directeur adjoint de l'AIEA lors d'une conférence à New York. La Jordanie et l'Arabie saoudite pourraient suivre leur exemple en 2013, a-t-il ajouté.

Une soixantaine de pays ont pris contact avec l'AIEA depuis un an pour lui faire part de leur intention de se lancer dans un programme nucléaire, a précisé Geoffrey Shaw, directeur du bureau de l'AIEA aux Nations unies lors de la même réunion. Selon M. Aning, tous les pays qui envisagent de se doter de centrales nucléaires ont interrogé très précisément l'agence sur la sécurité, après l'accident survenu à la centrale japonaise de Fukushima en mars 2011. Ces pays "tirent tous des leçons de ce qui s'est passé à Fukushima", a-t-il assuré. Belga. Un an après Fukushima, la contamination est "chronique et pérenne" "Les rejets principaux se sont produits du 12 au 25 mars 2011, en une quinzaine d'épisodes dont les plus importants auraient eu lieu avant le 17 mars", résume l'IRSN dans son bilan.

Selon les estimations, encore provisoires, réalisées par l'Institut depuis la catastrophe, les rejets d'iodes radioactifs dans l'atmosphère ont atteint 408 millions de milliards de becquerels, un chiffre impressionnant mais qui reste dix fois inférieur à celui de l'explosion de la centrale de Tchernobyl (Ukraine) en 1986. Ces iodes ont une "période radioactive" très courte, autrement dit leur radioactivité décroît de moitié rapidement (de quelques heures à huit jours selon le type d'iode) et ils ont surtout représenté un risque pour l'environnement et la santé durant les premières semaines après l'accident.

"La contamination initiale liée à l'accident a fortement décru. Ca ne veut pas dire qu'il n'y en a plus, loin s'en faut. Fukushima: le Japon a succombé au "mythe de la sûreté" nucléaire. Lors d'une interview accordée à des journalistes étrangers à Tokyo, Yoshihiko Noda a reconnu que les autorités nippones avaient été flouées par "le mythe de la sûreté" de l'énergie nucléaire et n'étaient pas préparées à une catastrophe de l'envergure de celle survenue le 11 mars 2011. Il a toutefois écarté toute responsabilité criminelle dans l'accident provoqué par un tsunami géant qui a noyé les circuits d'alimentation électrique et provoqué la fusion du combustible nucléaire dans les réacteurs de la centrale Fukushima Daiichi. Des dizaines de milliers de riverains ont été forcés d'évacuer leur domicile pour échapper aux rejets radioactifs qui ont contaminé le sol et la mer dans un rayon de plusieurs dizaines de kilomètres.

"Evidemment, la responsabilité première au regard de la loi japonaise incombe à l'opérateur" de la centrale nucléaire accidentée, Tokyo Electric Power (Tepco), a dit Yoshihiko Noda. Tirer des enseignements de ce qui s'est passé. Au Japon, les vaches irradiées racontent Fukushima. Crane de vache morte de faim à l »entrée de la ferme, zone d’exclusion (Alissa Descotes-Toyosaki) (De Fukushima) Nous longeons les côtes ravagées de Minami-Soma sud qui, comme par temps de guerre, a été coupée en deux. Les terres à l’intérieur du périmètre de 20 km autour de la centrale ont été évacuées, celles au nord à partir du kilomètre 21 sont habitées. « Des fois, je me demande vraiment à quoi cela sert de revenir ici », marmonne Masami Yoshizawa. Comme tous les jours, cet éleveur de 330 vaches irradiées fait l’aller-retour entre sa ferme à Namie et son logement provisoire à Nihonmatsu pour ramener du fourrage. « Je ne le laisserai pas tuer mes vaches » Au barrage qui marque l’entrée dans la zone interdite, il passe avec un simple salut de la main.

. « Le gouvernement n’abandonnera pas sa décision d’euthanasier les animaux contaminés, et moi je ne le laisserai pas tuer mes vaches. » Fukushima: reportage dans la zone interdite autour de la centrale. Fukushima, un an après... Relisez notre chat. La "culture de collusion" du Japon a amplifié l'impact du tsunami. Samedi dernier, le Premier ministre japonais annonçait que personne en particulier ne pouvait être tenu responsable de l'accident nucléaire de Fukushima et que chacun devait "partager cette douleur". Pour Frédéric Charles, invité de Matin Première, Yoshihiko Noda "est en fait une marionnette entre les mains de la toute puissante bureaucratie dont la responsabilité dans Fukushima est largement engagée". Et d'expliquer cela par "une culture de collusion" au Japon, "un soutien aveugle au nucléaire incluant les politiciens, la bureaucratie, les opérateurs de centrales, les autorités de surveillance des centrales, les médias, les milieux scientifiques et les tribunaux.

Hebdo n° 1114 du 8 mars 2012. Comment, une image de “manga pour jeunes filles” pour illustrer le premier anniversaire du séisme ? Contamination radioactive : selon qui vous êtes… Fukushima: les autorités japonaises connaissaient le risque de fusion. Un document officiel, publié vendredi, indique qu'au cours d'une réunion en présence des principaux ministres organisée le 11 mars environ quatre heures après le déferlement de vagues géantes contre le site atomique, un participant non identifié a pour la première fois évoqué le risque de fusion.

Un an après, le Japon bouleversé... - un webdocumentaire de France 24. L'hommage du Japon aux victimes de la catastrophe du 11 mars 2011. Dans les villes et villages dévastés, les proches des quelque 19 000 morts et disparus se sont recueillis dans le chagrin et la douleur, au cours de cérémonies improvisées sur les lieux de la tragédie. Sortie du nucléaire. L'AIEA met en garde contre les centrales nucléaires vieillissantes. A la fin 2011, 5% des centrales étaient en activité depuis plus de 40 ans, 32% depuis plus de 30 ans, a également détaillé l'agence onusienne dans l'avant-projet de son rapport annuel sur la sûreté nucléaire, qui doit être finalisé et publié à la mi-2012. Après l'accident de la centrale japonaise de Fukushima il y a un an, "on attend de plus en plus des anciens réacteurs nucléaires qu'ils remplissent des objectifs de sûreté plus élevés, proches des modèles de réacteurs récents ou futures", selon ce document.

Greenpeace Belgique. Fukushima : plus qu'une catastrophe, un séisme culturel... Un an après Fukushima, 80% des Japonais ne veulent plus du nucléaire. Ne soyons plus des moutons ! Le 11 mars 2011 a commencé une nouvelle époque, estime l’écrivain Kenji Maruyama. Dans le désarroi, chacun ne doit se fier qu’à lui-même. Le Zapping Fukushima de Greenpeace. Fukushima : « Tout est fait pour qu’on ne quitte pas les zones contaminées » Du poisson douteux pour les écoliers cambodgiens. Fukushima: de l'eau radioactive a fui dans la mer. Tribune : sur Fukushima, l’incompétence inquiétante de NKM. Boire un verre de vin de Fukushima et mourir ? Rencontre avec un liquidateur de Fukushima : « C’est l’enfer » Les premiers débris de Fukushima arrivent en Alaska. Le redémarrage de réacteurs nucléaires en question. Fukushima réacteur 4, un danger au delà de tout ce qu'on a connu 08.03.2012.

Des “carpes vertes” contre le nucléaire. De Tchernobyl à Fukushima. Le Japon divisé à propos du futur de ses réacteurs nucléaires. Le Japon veut réduire de 20% sa consommation d'électricité cet été. TEPCO et le gouvernement japonais continuent d'entraver la couverture des freelance pour la 3ème visite de Fukuchima-Daichi. Fukushima: l'ex-Premier ministre reconnaît la responsabilité de l'Etat. Tremblements de terre en 2011 : une infographie édifiante. Inquiétudes sur l'approvisionnement en énergie. Danger mondial : les combustibles usés de Fukushima. Le retour imposé du nucléaire. Japon: 1er redémarrage d'un réacteur depuis l'accident de Fukushima. Japon : 150 000 personnes bloquent la résidence du 1er ministre contre le redémarrage du nucléaire. L'Espagne et le Japon prolongent la vie de leurs centrales nucléaires.

L'accident nucléaire de Fukushima a été "un désastre créé par l'homme" Fukushima, une négligence humaine. Fukushima : acharnement judiciaire contre un journaliste freelance. Fukushima: une foule antinucléaire montée à Tokyo pour exiger un Japon "propre" Oé Kenzaburo, écrivain japonais et Prix Nobel de littérature. Fukushima: les riverains seront indemnisés du prix de leur maison. Fukushima: le gouvernement et Tepco mis en cause par le rapport d'enquête. Les ouvriers de Fukushima "invités" à truquer leurs dosimètres. Le Japon, traumatisé par le nucléaire, commémore la bombe d'Hiroshima.

Energie populaire contre énergie nucléaire. Des papillons mutants ont été découverts près de Fukushima. L’effet Fukushima : Greens Japan, le premier parti écologiste nippon. Redémarrage de réacteurs : le combat des stars et des surfeurs japonais. « Récits de Fukushima » : huit petits films, témoignages poignants. Un an après la catastrophe. Tsunami : 20 000 morts - Fukushima Daiichi : zéro mort.