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Du 15 mars 2012 à aujourd'hui

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Syrie : La révolution a un an, la traque des journalistes continue. Deux journalistes turcs et leurs accompagnateurs kidnappés en Syrie. Reporters sans frontières est soulagée par l’annonce de la libération, ce 12 mai 2012, des deux journalistes turcs, Adem Özköse, correspondant pour le quotidien Milat et le magazine Gerçek Hayat, ainsi que le cameraman Hamit Coşkun, arrêtés il y a deux mois dans la région d’Idleb (Nord-ouest), proche de la frontière turque, alors qu’ils réalisaient un documentaire.

D’après le chef de la diplomatie turque Ahmet Davutoglu, la République islamique d’Iran a servi de médiateur. Enlevés par une milice progouvernementale, ils avaient ensuite été remis aux services de renseignements syriens. L’ONG islamiste turque IHH avait annoncé, le 5 mai dernier, avoir réussi à leur rendre visite à Damas, où les deux journalistes étaient détenus. Turgut Alp Boyraz, chef du service étranger à Milat, avait par ailleurs affirmé que ses collègues avaient pu téléphoner à leurs familles, le même jour, pour la première fois depuis leur enlèvement.

Lire en turc / Türkçe. Vague d’arrestations à l’approche de l’anniversaire du soulèvement populaire. A l’approche de l’anniversaire du soulèvement populaire, les autorités syriennes ont procédé à de nouvelles arrestations. De nombreux journalistes et blogueurs font partie des personnes arrêtées. Le 15 mars 2012, Rudy Othman, avocat et blogueur, a été arrêté à Damas, rue Hamra. C’est la troisième fois qu’il est arrêté depuis le début de la contestation. Le même jour, le blogueur et militant Jamal Al-Omar a été arrêté à la frontière libano-syrienne, alors qu’il revenait de Beyrouth. La veille, le blogueur Mohamed Abu Hajar avait été arrêté à Tartous, du fait de ses écrits sur son blog “Mazaj”. Le journaliste Ahmed Salal, arrêté le 12 février dernier, a été quant à lui relâché le 18 mars. Par ailleurs, huit personnes, sur les seize arrêtées le 16 février dernier dans la rafle qui a visé le Syrian Center for Media, sont toujours incarcérées, parmi lesquelles, Mazen Darwish, directeur du Centre.

Syrie : Quand Assad tombera… Détecter et désactiver le logiciel malveillant pro-syrien “X-treme RAT” sur votre ordinateur. Il y a quelques semaines, nous avons appris l'existence d'un cheval de Troie baptisé “Darkcomet RAT” ayant infecté des ordinateurs appartenant à des activistes syriens et conçu pour capturer l'activité de la webcam, désactiver les paramètres de notification de plusieurs logiciels antivirus, pour enregistrer l'activité du clavier, voler les mots de passe notamment — ainsi que pour envoyer ces informations sensibles à une adresse située dans l'espace des adresses IP syriennes.

Les documents et les recommandations de Symantec sont disponibles ici. Entretemps, nous avons été informés de l'existence d'un nouveau logiciel malveillant, connu sous le nom “Xtreme RAT”, et chargé de renvoyer des données à la même adresse dans l'espace des adresses IP syriennes et dont la diffusion semble être antérieure à celle du cheval de Troie “Darkcomet RAT”. Des rapports indiquent que le cheval de Troie se propage par le biais de programmes de courrier électronique et de messagerie instantanée. 1. 2. 3. 4. Syrie : Un an plus tard, salutations de Beyrouth.

Ce billet fait partie de notre dossier sur le soulèvement en Syrie 2011-2012 Le 15 mars 2012, la révolution syrienne a marqué son premier anniversaire avec la même détermination qui avait accompagné son début. De nombreux activistes, tout autour du monde, se sont réunis pour une marche internationale contre le “dictateur syrien” tandis que des manifestations étaient organisées dans de nombreuses villes autour du monde en soutien à la cause syrienne. En dépit de récentes limitations à la liberté d'expression, le Liban et sa capitale, Beyrouth, voisins de la Syrie, ne sont pas restés à l'écart.

Des activistes ont fait face aux obstacles et décidé de faire quelque chose de différent. Beirut Walls (les Murs de Beyrouth) [en arabe] explique la position des activistes du Liban dans un billet intitulé ” La révolution syrienne, un an plus tard, salutations de Beyrouth”: منذ عام والشعب السوري يصرخ “الموت ولا المذلة”، “حرية حرية حرية”. عام والسوريون يبدعون بشعاراتهم. Tandis que @taniaelk dit : Assassinat de deux journalistes indépendants à la frontière syro-turque. Reporters sans frontières condamne la mort de deux journalistes freelance, tués lors d’une attaque des forces syriennes, le 26 mars 2012, à Darkush, à la frontière syro-turque, contre une cinquantaine de personnes tentant de passer en Syrie.

Juste après une offensive militaire, les deux journalistes freelance agés entre 28 et 32 ans, seraient revenus sur le lieu de l’attaque pour récupérer leur équipement. Visés par un véhicule de l’armée syrienne, ils ont tous les deux été tués par balles. Nous dénonçons un double assassinat ciblé. L’un deux, Walid Blidi, est de nationalité britannique d’origine algérienne. La nationalité de son confrère, Nassim Terreri, reste à déterminer. Un troisième journaliste aurait été bléssé lors de l’attaque. Les journalistes projetaient de tourner un documentaire dans la ville d’Idleb, un des bastions de la contestation, en proie à une violente répression par les forces loyalistes de Bachar Al-Assad. Deux journalistes tués à la frontière avec la Turquie. "Reporters sans frontières condamne la mort de deux journalistes freelance, tués lors d'une attaque des forces syriennes, le 26 mars 2012, à Darkush, à la frontière syro-turque, contre une cinquantaine de personnes tentant de passer en Syrie", indique l'ONG dans un communiqué.

"Juste après une offensive militaire, les deux journalistes freelance âgés entre 28 et 32 ans, seraient revenus sur le lieu de l'attaque pour récupérer leur équipement. Visés par un véhicule de l'armée syrienne, ils ont tous les deux été tués par balles", ajoute RSF qui dénonce un "double assassinat ciblé". Selon l'association, "l'un deux, Walid Blidi, est de nationalité britannique d'origine algérienne". RSF indique que la nationalité de son confrère, Nassim Terreri, reste à déterminer.

"Un troisième journaliste aurait été blessé lors de l'attaque", ajoute-t-elle. A Londres, le Foreign Office a indiqué qu'il enquêtait sur l'affaire. Figures de la résistance syrienne en danger. Arrestation du citoyen-journaliste Ali Mahmoud Othman et de l’activiste Noura Al-Jizawi : la vie de ces deux figures de la résistance syrienne est en danger Reporters sans frontières est profondément choquée par l’arrestation, par les autorités syriennes, du citoyen-journaliste, Ali Mahmoud Othman, et de l’activiste, Noura Al-Jizawi, le 28 mars 2012. L’organisation est particulièrement inquiète pour leur vie. “Les citoyens-journalistes dont les seuls crimes sont d’avoir témoigné, filmé et photographié les violences d’un régime qui s’enferme dans une folie meurtrière, sont traqués, arrêtés, torturés, voire assassinés. Figures emblématiques de la résistance, ils bravent tous les dangers pour empêcher le black-out de l’information sur l’horreur de la répression en Syrie.

Nous tiendrons pour responsables les autorités syriennes de ce qui pourrait leur arriver”, a déclaré Reporters sans frontières. Rudy Othman, arrêté le 15 mars dernier, a été relâché. Version arabe : Syrie : Ali Mahmoud Othman, les “Yeux de Baba Amr”, arrêté. Ce billet fait partie du dossier de Global Voices sur le soulèvement en Syrie 2011/12. Le vidéo-activiste Ali Mahmoud Othman, chef du bureau de presse de Bab Amr, a été capturé par les autorités syriennes. Ses amis et collègues le croient soumis à une torture impitoyable. Sa détention met en danger tous les militants du bureau et est un coup très sévère au journalisme citoyen en Syrie. Othman, à l'origine un marchand de légumes, documentait l'agitation à Homs depuis les débuts de la révolution syrienne. Selon Mónica G.Prieto, correspondante du site d'information espagnol Periodismo Humano, “il ne voulait pas partir tant qu'il resterait un seul individu dans le quartier, il refusait toutes les propositions de partir”.

Ali Mahmoud Othman à Baba Amr, Homs. La vidéo ci-après montre Othman, affectueusement appelé les “yeux de Baba Amr,” parler au monde des souffrances de la population de Baba Amr. Les journalistes citoyens syriens documentent le soulèvement au péril de leurs vies. Syrie : L’activiste Rima Dali arrêtée à Damas pour une bannière demandant la fin du massacre. MISE A JOUR DU 10 avril 2012 : Pour protester contre la détention de Rima et celle de tous les Syriens emprisonnés depuis le début de la répression brutale du régime contre toute forme d'opposition, des internautes on ouvert une page Facebook appelée “Arrêtez la tuerie. Nous voulons construire un pays pour tous les Syriens” , où ils appellent les habitants de Damas à se rassembler devant le Parlement mardi 10 avril à 18h heure locale (l'heure à laquelle Rima a déployé une bannière demandant de mettre fin aux massacres ) : “Arrêtez la tuerie. Nous voulons construire une Syrie pour tous les Syriens” Voici les mots écrits sur une bannière que Rima Dali a déployée devant le Parlement syrien à Damas, le dimanche 8 avril.

Des militants affirment qu'elle a été arrêtée immédiatement après. D'autres militants ont dénoncé son arrestation, ainsi que celle de Saffana Baqleh, qui se trouvait avec Rima au moment de son arrestation. Un journaliste libanais tué à la frontière libano-syrienne. Reporters sans frontières a appris avec une profonde tristesse la mort d’Ali Chaabane, cameraman pour la chaine libanaise Al-Jadeed, tué par balle à la frontière libano-syrienne, dans l’après-midi du 9 avril 2012. Le journaliste était en mission avec deux collègues lorsque leur voiture a été la cible de tirs nourris. “L’organisation adresse ses sincères condoléances à la famille, aux proches et aux collègues d’Ali Chaabane. Elle condamne avec fermeté cet acte qui, de toute apparence, était délibéré. Il est inacceptable que des journalistes soient la cible de telles violences. Les auteurs de ce crime doivent être traduits en justice au plus vite”, a déclaré Reporters sans frontières. Les deux autres membres de l’équipe de télévision, Hussein Khreiss et Abed Khayyat, ont été blessés lors de l’attentat.

“Hussein Khreiss et Abed Khayyat ont échappé à la mort par miracle. Enterré aujourd’hui à Mayfadoun, au Sud-Liban, Ali Chaabane était âgé de 32 ans et sur le point de se marier. Syrie : Safana Baqleh, la “Harpiste de la liberté”, arrêtée à Damas. Quand Rima Dali a été arrêtée le 9 avril à Damas pour avoir déployé une bannière où l'on pouvait lire “Arrêtez la tuerie. Nous voulons construire un pays pour tous les Syriens“, Safana Baqleh a été la première personne qui s'est précipitée pour la défendre et essayer d’empêcher la police de l'enlever. Elle a été également arrêtée pour cette tentative, ainsi que d'autres personnes qui assistaient à cette manifestation pacifique devant le Parlement syrien. Rima Dali a été libérée le 10 avril, mais Safana est toujours en détention, comme Hussam Dahna, Ali Zain et Assem Hamsho. Safana Baqleh, 30 ans, est musicienne. Elle joue de la harpe et est connue sous le surnom “la harpe de la liberté”.

Lettres de Syrie (1) Jeune syrienne vivant dans son pays, Joumana MAAROUF a donné son accord à la publication par "Un Oeil sur la Syrie" des lettres quotidiennes qu'elle a pris l'habitude d'adresser à l'une de ses amies pour lui faire partager de loin son quotidien, ses difficultés, ses doutes et ses émotions. 10 mars 2012 Bonsoir, ma chère amie. Voilà, l’hiver est sur le point de finir. Ce qu’il a pu être long et rude ! C’était peut-être l’hiver le plus dur qu’ait connu la Syrie. Est-ce que je t’ai dit que mon travail n’était plus en banlieue, mais en plein Damas ? Je t’écrirai demain, si toutefois j’ai internet et l’électricité. La révolution syrienne. 14 mars 2012 Bonjour. Demain c’est la fête des enseignants.

Le choc des slogans. 15 mars 2012 Bonsoir ! Il m’a fallu beaucoup de temps, ce matin, pour me décider à aller au travail. Quand on dit que les démonstrations de soutien ne sont pas spontanées, c’est vrai. Plus de peur à partir d'aujourd'hui ! 18 mars 2012 Bonsoir. Damas est longtemps restée silencieuse. Malgré le cessez-de-feu, quatre journalistes-citoyens trouvent la mort. Reporters sans frontières a appris la mort de quatre journalistes-citoyens en Syrie : Ahmed Abdallah Fakhriyeh, samedi 14 avril 2012 à Dmeir, Samir Shalab Al-Sham Abu Mohamed, à Homs, le même jour, Alaa Al-Din Hassan Al-Douri, retrouvé mort le mardi 17 avril 2012 dans la province de Hama, et Khaled Mahmoud Kabbisho, à Idleb, le même jour.

Il reste toutefois encore difficile de confirmer les informations que nous avons obtenues sur l’identité et les circonstances de la mort de ces quatre militants de l’information. “Les violences en Syrie continuent de faire chaque jour des morts par dizaines. Parmi eux, les journalistes et les citoyens-journalistes paient encore un lourd tribut. Le régime, en bafouant tous ses engagements internationaux, montre qu’il est loin de mettre fin à sa brutale répression. Samir Shalab Al-Sham a été blessé le même jour, lors de la déflagration d’un obus tombé sur l’immeuble duquel il filmait le bombardement de deux quartiers de Homs par l’armée syrienne. 19 organisations condamnent la poursuite de la détention de Mazen Darwish.

Poursuite de la détention au secret de Mazen Darwish et d’autres militants des droits de l’homme et comparution de certains membres du SCM devant un tribunal militaire Le 23 avril 2012. Les organisations soussignées condamnent fermement la poursuite de la détention au secret de M. Mazen Darwish, président du Centre syrien des médias et de la liberté d’expression (SCM) et de quatre de ses collègues, plus de 65 jours après leur arrestation, en violation de la loi syrienne et du droit international. Les organisations expriment également leur extrême inquiétude face à la procédure pénale engagée par le procureur militaire de Damas à l’encontre de sept militants des droits de l’homme qui travaillaient avec le SCM ainsi que d’une personne qui visitait les locaux du centre au moment de l’arrestation. Le 22 avril 2012, trois des détenus maintenus au secret, MM. À ce jour, il n’a pas été possible d’obtenir des informations sur le sort de MM. Comité kurde pour les droits de l’Homme (Rased)

Le président Obama annonce des sanctions contre des entités iraniennes et syriennes impliquées dans la surveillance en ligne et la traque des dissidents. Reporters sans frontières salue l’annonce faite, le 23 avril 2012, par le président Barack Obama, de la signature d’un décret exécutif autorisant de nouvelles sanctions contre ceux qui fournissent aux gouvernements iranien et syrien des outils technologiques destinés à surveiller, suivre à la trace et avoir recours à la violence contre (leurs) ressortissants".

Des pénalités financières et une interdiction d’entrée sur le territoire américain sont prévues. Cette décision intervient alors que la Syrie et l’Iran utilisent le traçage des téléphones portables et la surveillance d’Internet pour traquer les dissidents et militants des droits de l’homme et de l’information. Le président américain a déclaré que “ces technologies devraient exister pour donner aux citoyens davantage de pouvoir, pas pour les réprimer”. Reporters sans frontières publie chaque année la liste des Ennemis d’Internet.

Syrie : La “confession” de l’activiste Ali Mahmoud Othman à la télévision. Lettres de Syrie (3) L’embauche d’Edith Bouvier, journaliste blessée à Homs, promesse oubliée du Figaro. Un sixième citoyen-journaliste tué par le régime depuis le début de 2012. Lettres de Syrie (4) Condamné à mort pour avoir donné une interview sur Al-Jazeera. Vladimir Poutine, prédateur international, en visite à Paris. La « communauté de la caméra syrienne » pleure son martyr Bassel Chehadeh | Neo Arabia. MÉDIAS • Une nouvelle chaîne panarabe à capitaux syro-iraniens. Un journaliste brésilien entré légalement en Syrie et détenu pendant six jours. Un journaliste kurde syrien menacé au Kurdistan irakien par le PKK. Syria YouTube Uploader Films Own Death - Died To Bring You The Truth 6-16-12 Shot by Assad in Homs. Attaque d’une chaîne privée pro-gouvernementale, trois personnes tuées.

Trente-trois citoyens journalistes et professionnels de l’information tués depuis mars 2011. La liste des citoyens-journalistes assassinés et arrêtés s’allonge chaque jour. Syrie: Campagne #FreeHussein pour la libération d’un blogueur. #DeadTweet. Deux journalistes européens libérés, un blogueur syrien en grève de la faim. Cinq journalistes turcs blessés à Alep, nouveau théâtre de violences contre la presse. Exactions en série contre les médias officiels. Transfert du dossier de Mazen Darwish à une cour militaire d’exception. Disparition d’une équipe de télévision pro-régime : profonde inquiétude de Reporters sans frontières. Ola Abbas : « Les médias sont complices des massacres » Un journaliste d'une télévision iranienne enlevé par les rebelles.

Attaques contre les médias pro-régime : lettre ouverte à l'opposition. Enlèvements, libérations, assassinats : les journalistes au coeur de la guerre. Une journaliste japonaise tuée à Alep ; deux reporters de la chaîne Al-Hurra portés disparus. Un dixième journaliste tué depuis le début du conflit, le cinquième en quinze jours. Bachar adore poser avec les journalistes. Un caméraman turc capturé par des soldats syriens apparaît à la télé. Les journalistes étrangers, cibles des forces de sécurité syriennes ?

Caricatures, sketches : l’art syrien suit le rythme de la révolution | Rue89 Culture. A Visa pour l’image : « Je ne veux pas que des mômes prennent des risques pour la gloire » | Vu de Visa. Paroles de jeunes photographes | Vu de Visa. Le cercle infernal des journalistes disparus. A Sanaa, exactions en série contre les professionnels des médias. Un journaliste de Press TV tué à Damas. Un cameraman d’Al-Ikhbariya tué, l’hécatombe se poursuit parmi les citoyens-journalistes. GB: un homme inculpé de détention illégale de journalistes en Syrie. La blogueuse syrienne Rima Marrouch décroche le Prix Anna Lindh du Journalisme. La sécurité des émetteurs de l’information toujours aussi alarmante.

Cinq enlèvements, quatre preuves de vie. Où est Bashar Fahmi Al-Kadumi ? Preuves de vie, assassinats et arrestations : le quotidien des acteurs de l’information syriens. Pris pour cibles par l’armée régulière, l’Armée syrienne libre et les forces du PYD, les acteurs de l’information pris en étau. Les communications ont-elles été coupées à Damas ? INTERNET • La Syrie coupée du monde numérique. Les Syriens désormais privés d'internet et de téléphone. La Syrie coupée d’Internet, black-out des communications. La Syrie à nouveau connectée à Internet. Condamne les assassinats ciblés de journalistes et le recours aux aveux forcés. Une journaliste ukrainienne menacée d'exécution par des rebelles.

Appel international pour la libération d’une journaliste ukrainienne menacée de mort. Après trois jours, les télécommunications sont rétablies. Une vidéo d’une manifestation en Syrie, malgré la coupure d’Internet. Un coup “dramatique” contre l’information en Syrie. Internet et les communications sont coupés en Syrie. Un présentateur de la télévision officielle exécuté par ses ravisseurs. La liste des citoyens-journalistes assassinés et arrêtés s’allonge chaque jour. Ali Ferzat, le caricaturiste syrien aux mains brisées, plus engagé que jamais. Un journaliste-citoyen kurde de Syrie retrouvé mort après son enlèvement. Les autorités syriennes doivent faire la lumière sur le sort de Mazen Darwish et de ses collègues du SCM.