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Du 13 mai au 24 juin 2011

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Europe-Syrie • Carton rouge pour Kadhafi, carte blanche à el-Assad. Alors qu'elle s'est montrée déterminée à mettre un terme aux violences faites par Mouammar Kadhafi contre le peuple libyen, l'Europe reste silencieuse face à la terreur exercée en Syrie par Bachar el-Assad. Et les sanctions entrées en vigueur le 10 mai contre son régime viennent démontrer un peu plus la faiblesse de l'UE, écrit le quotidien slovaque SME. 12 mai 2011 | Partager : C’est sans doute à un manque de moyens que l’on peut attribuer le refus des alliés occidentaux d’intervenir dans le soulèvement en Syrie comme ils l’ont fait à Libye. Or, la répression des manifestations par le régime d’el-Assad n’est guère plus humaine ou acceptable que les agissements de Kadhafi, qui continue d’ailleurs de chercher à écraser ses propres serfs rebelles.Toutefois, il serait beaucoup plus complexe d’intervenir en Syrie, et compte tenu de l’emplacement stratégique du pays, littéralement au beau milieu du nid de frelons du Moyen-Orient, les conséquences seraient incalculables.

5 personnes tuées vendredi par des tirs des forces de sécurité. Deux personnes ont été tuées vendredi dans le quartier de Qaboun, à Damas, après la prière. A la sortie de la mosquée Abou Bakr, les fidèles ont été frappés avec des bâtons puis il y a eu des tirs, a précisé le militant. A Homs (centre), trois personnes ont été tuées vendredi, selon le militant. Près de Dera, une femme succombe à ses blessures Une femme a succombé à ses blessures vendredi dans la localité de Hara, près de Deraa, à 100 km au sud de Damas. Elle avait été blessée quelques jours auparavant lors d'un assaut de l'armée contre cette localité, a indiqué le militant. Selon lui, "la situation est tragique" dans les régions investies récemment par l'armée syrienne. Le régime a promis vendredi d'ouvrir "un dialogue national" incluant l'opposition alors que les forces de l'ordre et l'armée ont été déployées dans les principaux foyers de la contestation qui a commencé le 15 mars.

Les arrestations de militants continuent. 3 morts dans la région de Homs par tirs des forces de sécurité. Un militant des droits de l'Homme avait affirmé un peu plus tôt que cinq personnes avaient été tuées vendredi dans le pays par des tirs des forces de sécurité déployées massivement, en dépit de consignes de ne pas ouvrir le feu sur les manifestants. Deux personnes ont été tuées vendredi dans le quartier de Qaboun, à Damas, après la prière. A la sortie de la mosquée Abou Bakr, les fidèles ont été frappés avec des bâtons puis il y a eu des tirs, a précisé le militant. A Homs (centre), trois personnes ont été tuées vendredi, selon le militant. Une femme a succombé à ses blessures vendredi dans la localité de Hara, près de Deraa, à 100 km au sud de Damas. Elle avait été blessée quelques jours auparavant lors d'un assaut de l'armée contre cette localité, a indiqué le militant.

Selon lui, "la situation est tragique" dans les régions investies récemment par l'armée syrienne. Au moins 7 personnes tuées par des tirs de l'armée. "Au moins sept personnes, dont deux femmes, ont été tuées par les forces de sécurité qui bombardent indistinctement quatre quartiers de la localité", a dit le militant à l'AFP citant des témoins. Il a affirmé que le nombre de victimes pourrait être plus important, précisant que sept avaient jusqu'ici été identifiées. Ce bilan comprend celui de trois morts annoncé auparavant par un habitant de Tall Kalakh qui avait dit à l'AFP que l'armée s'était déployée en force dans la localité faisant état de nombreux blessés ne pouvant être évacués. Par ailleurs, une Syrienne a été tuée et cinq personnes blessées -une Libanaise, un soldat libanais et trois Syriens- au poste-frontière d'Al-Boqayaa dans le nord du Liban par des tirs syriens, selon une source des services de sécurité libanais.

Ces violences sont survenues alors que le mouvement de contestation en Syrie, débuté le 15 mars, entre dans son troisième mois. Belga. Fosse commune à Deraa, les proches des opposants traqués. "L'armée a autorisé aujourd'hui des habitants à sortir de leur maison pour deux heures par jour", a indiqué Ammar Qurabi, de l'Organisation nationale pour les droits de l'Homme en Syrie, joint par téléphone en Egypte. "Ils ont découvert une fosse commune dans la Vieille ville mais les autorités ont aussitôt mis en place un périmètre autour de la zone pour empêcher les habitants de chercher les corps, promettant que certains seraient remis plus tard", a-t-il ajouté. Son affirmation ne pouvait être vérifiée lundi de manière indépendante, les autorités empêchant les journalistes de se déplacer librement à travers le pays. M. Qurabi a ajouté qu'il ignorait le nombre de personnes enterrées dans la fosse commune. L'armée avait investi Deraa, située à 100 km au sud de Damas, le 25 avril pour mater la contestation, avant d'entamer son retrait le 5 mai.

M. Selon lui, de nombreux corps étaient également maintenus dans des camions réfrigérés à l'hôpital, en attendant qu'ils soient enterrés. Appel à la grève générale, poursuite de la répression. "Mercredi sera une journée de grève générale en Syrie", affirme un communiqué publié sur la page Facebook de "Syrian Revolution 2011", moteur du mouvement de contestation lancé à la mi-mars contre le régime du président Bachar al-Assad.

"Ce sera une journée de punition pour le régime", ajoute le texte. "Faisons de ce mercredi un vendredi (jour habituel de manifestations), avec des manifestations massives, pas d'école, pas d'université, pas de commerces ou de restaurants ouverts et même pas de taxis". L'appel à la grève survient alors que des informations ont fait état de dizaines de corps et de blessés gisant dans les rues de la ville de Tall Kalakh (ouest) assiégée par l'armée depuis plusieurs jours. "Ca ressemble à une ville fantôme ici, je peux voir un corps gisant à l'entrée de la localité et il y a des dizaines de blessés que nous ne pouvons évacuer", a déclaré mardi matin un habitant sunnite joint par téléphone. "C'est un massacre", a-t-il ajouté.

Belga. Appel à manifester, B. al-Assad confiant en une fin proche. Le président Bachar al-Assad a affirmé, dans des déclarations publiées par le journal Al-Watan, que la crise était "en passe d'être terminée", les autorités attribuant les troubles à des "salafistes, des "gangs criminels" ou à "des groupes terroristes armés", dont certains liés à l'étranger. Face à la poursuite de la répression qui a fait depuis le 15 mars au moins 850 morts selon des ONG et l'ONU, et entraîné plus de 8000 arrestations et la fuite de milliers de Syriens, les Etats-Unis et l'Union européenne ont déclaré envisager de nouvelles sanctions contre le régime. Dans la capitale syrienne, plutôt épargnée par les grandes manifestations contre le régime, les écoles et les commerces sont restés ouverts, et les transports publics roulaient normalement.

"Qui oserait observer la grève générale et risquer ainsi de perdre son commerce ou d'être visé par les autorités ? ", a fait valoir un homme d'affaires ayant requis l'anonymat. Bachar al-Assad croit en une fin proche de la crise. Au moins huit civils ont été tués mercredi dans la localité syrienne de Tall Kalakh (ouest) assiégée par l'armée depuis plusieurs jours, ont indiqué à l'AFP deux militants des droits de l'Homme. Ils ont fait état de bombardements sur la ville et de tirs à l'arme automatique, ajoutant que de nombreux blessés gisaient dans la rue sans pouvoir être évacués. De son côté, le président Bachar al-Assad a affirmé, dans des déclarations publiées par le journal Al-Watan, que la crise était "en passe d'être terminée", les autorités attribuant les troubles à des "salafistes", des "gangs criminels" ou à "des groupes terroristes armés", dont certains liés à l'étranger.

Face à la poursuite de la répression qui a fait depuis le 15 mars au moins 850 morts selon des ONG et l'ONU, et entraîné plus de 8000 arrestations et la fuite de milliers de Syriens, les Etats-Unis et l'Union européenne ont déclaré envisager de nouvelles sanctions contre le régime. Une grève générale nécessaire ? Les Etats-Unis vont prendre des mesures contre le président. Les Etats-Unis ont finalement décidé de sanctionner le président syrien, Bachar al-Assad. Jusqu'à présent les mesures américaines ne concernaient que des dirigeants du régime. Six autres des principaux chefs du régime ont aussi été visés par ces nouvelles mesures, des sanctions pour leur rôle dans la répression sanglante de la révolte en Syrie.

L'appel à la grève générale a été peu suivi, mercredi. Face à la répression sanglante du régime, la majorité des Syriens n'ont pas suivi l'appel à la grève générale. Les écoles et les commerces sont restés ouverts dans une grande partie du pays. Des militants des droits de l'homme ont annoncé que huit civils ont été tués, mercredi, à Tall Kalakh. Depuis le début du mouvement de contestation en Syrie, le 15 mars, au moins 850 personnes sont mortes, selon des ONG et l'ONU. Par ailleurs, la journaliste d'Al-Jazira, Dorothy Parvez, disparue en Syrie et détenue en Iran, a été libérée. Barack Obama va expliquer le plan d'aide aux pays arabes. Les forces de sécurité ont tué au moins 34 personnes. Dix personnes, dont un enfant, ont été tuées par les forces de sécurité qui ont tiré sur les manifestants à Homs, l'un des foyers de la contestation assiégé depuis une dizaine de jours par l'armée, selon un militant. Sept civils sont morts dans la localité de Maaret al-Naamane près d'Idlib, deux dans la région de Deraa, berceau de la contestation, un à Daraya, une banlieue de Damas, et un autre a Lattaquié, le principal port du pays.

Les restrictions imposées aux médias étrangers par le régime de Bachar al-Assad empêchent toute vérification indépendante. D'autres militants des droits de l'Homme ont également indiqué que les autorités ont tiré sur la foule à Banias (nord-ouest). Des milliers de personnes manifestaient vendredi pour la liberté et l'unité nationale à l'appel de l'opposition, y compris près d'Alep et à Damas, les deux premières villes du pays jusque-là globalement épargnées par les manifestations. Belga. L'appel à manifester suivi dans plusieurs villes. Dans les environs d'Alep, deuxième ville du pays située dans une région kurde du nord de la Syrie, des centaines d'opposants scandaient "non à la violence, oui au dialogue" et "nous ne sommes pas islamistes ni salafistes, nous voulons la liberté", a raconté par téléphone Radif Mustapha, dirigeant d'une organisation kurde de défense des droits de l'Homme.

"Personne n'appelle à la chute du régime", a-t-il ajouté, tandis qu'en arrière-fond on entendait la rue lancer "azadi, azadi" (liberté en kurde). A Banias, dans le nord-ouest du pays, de nombreux hommes marchaient torse nu pour montrer qu'ils n'étaient pas armés, contrairement aux accusations du régime, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme. Les manifestants -hommes, femmes et enfants- scandaient des slogans hostiles au régime et en faveur des libertés, réclamant notamment la levée du siège de villes syriennes, selon la même source. Belga. Funérailles au lendemain de la mort de 44 manifestants. Des funérailles étaient prévues dans plusieurs villes, selon un militant, au lendemain de la mort de 44 personnes ayant péri sous les balles des forces de sécurité selon un dernier bilan fourni par un militant.

"Les autorités syriennes continuent de faire un usage excessif de la force et (d'utiliser) des balles réelles pour faire face aux manifestations dans différentes régions du pays", a déclaré à l'AFP par téléphone Ammar al-Qourabi, chef de l'Organisation nationale des droits de l'Homme en Syrie. Selon lui, 26 personnes ont été tuées dans la province d'Idlib (ouest) et 13 à Homs (centre). Deux autres ont péri dans la ville de Deir Ezzor (est), une à Daraya, banlieue de Damas, une à Lattaquié (ouest) et une autre à Hama (centre).

Un soldat et quatre adolescents font partie des victimes, dont deux âgés de 12 et 16 ans qui ont été tués à Homs, a-t-il précisé. Des militants avaient fait état vendredi d'un bilan de 34 morts et des dizaines de blessés. 44 morts vendredi dans les manifestations anti-régime. "Les autorités syriennes continuent de faire un usage excessif de la force et (d'utiliser) des balles réelles pour faire face aux manifestations dans différentes régions du pays", a déclaré à l'AFP par téléphone Ammar al-Qourabi, chef de l'Organisation nationale des droits de l'Homme en Syrie.

Selon lui, 26 personnes ont été tuées dans la province d'Idlib (ouest) et 13 à Homs (centre). Deux autres ont péri dans la ville de Deir Ezzor (est), une à Daraya, banlieue de Damas, une à Lattaquié (ouest) et une autre à Hama (centre). Quatre adolescents font partie des victimes, dont deux âgés de 12 et 16 ans qui ont été tués à Homs, a-t-il précisé. Des militants avaient fait état vendredi d'un bilan de 34 morts et des dizaines de blessés.

La répression du mouvement de contestation contre le régime, lancé le 15 mars, a fait au moins 850 morts et entraîné plus de 8000 arrestations, selon des organisations de défense des droits de l'Homme et l'ONU. Belga. Al-Qaïda soutient les révoltes arabes et prône la charia en Egypte. Dans ce message audio de 49 minutes enregistré, selon l'organe médiatique d'Al-Qaïda Al-Sahab, avant la mort de Ben Laden le 2 mai dans un raid américain, Ayman al-Zawahiri s'adresse tour à tour aux populations de Libye, de Syrie et d'Egypte. Selon SITE, Ayman al-Zawahiri met en garde les Libyens contre les frappes de l'Otan, affirmant que l'Alliance atlantique cherche à "remplacer" le colonel Mouammar Kadhafi avec "son propre régime tyrannique". Il appelle également les musulmans d'Afrique du Nord à se joindre à la lutte contre Mouammar Kadhafi et à trouver des armes.

Par ailleurs, il fustige l'armée égyptienne, au pouvoir depuis la chute du président Hosni Moubarak le 11 février sous la pression de la rue, pour ne pas avoir aidé les Egyptiens résidant en Libye. Ayman al-Zawahiri déplore que bien que la Constitution égyptienne soit basée sur la charia, en pratique, le pays soit régi par des "lois faites par des hommes".

Belga. Nouvelle journée de funérailles, dans un climat toujours tendu. Ces nouvelles obsèques devaient être l'occasion d'une nouvelle mobilisation de l'opposition à Homs, troisième ville du pays désormais en pointe de la contestation, alors que les pressions internationales se faisaient plus insistantes sur le président Bachar al-Assad pour qu'il renonce à la répression. Le régime continue d'attribuer ces violences à des "groupes terroristes" ou à des "gangs armés", mais pour les militants des droits de l'Homme, les tirs des forces de sécurité, y compris sur une foule en deuil comme samedi à Homs, sont le signe que le gouvernement est en train de perdre sa crédibilité. "Leur répression féroce a échoué parce que le mur de la peur s'est écroulé malgré les arrestations massives et la torture", a assuré un militant joint par téléphone.

"Et personne ne croit plus une minute à leurs propos sur un dialogue national parce que le gouvernement ne va pas au coeur du problème. La colère monte dans les rues parce que les gens ne savent pas où on va. L'Union européenne décide de sanctionner Bachar al-Assad. SYRIE • Syrienne, gay et anti-Assad... à Damas. Au moins 8 manifestants tués, dont 4 en banlieue de Damas. Bachar al-Assad n'est pas à l'abri d'un revirement de l'armée. Plusieurs blessés dans la région de Homs où les chars affluent. L'armée encercle la région de Homs, 11 morts dimanche. Moi, Hamza, 13 ans, syrien, torturé et exécuté par le régime. Bachar al-Assad décrète une amnistie générale. RÉPRESSION • La machine à tuer de Bachar El-Assad. SYRIE • Bachar El-Assad entre offre d'amnistie et répression. L'opposition réunie en Turquie prépare une déclaration commune. Les forces de l'ordre tirent sur les manifestants à Hama, 34 morts.

Plus de 100 000 personnes à Hama pour les funérailles des victimes. L'opposition syrienne appelle à augmenter la pression sur Bachar al-Assad. La TV officielle affirme que 80 policiers ont été tués. SYRIE • Le cyberdissident en guerre contre Damas. Au moins 40 personnes fuyant la répression entrent en Turquie. La Syrie s'enfonce dans la spirale de la violence. SYRIE • Les forces de sécurité prises pour cible. SYRIE • Le blogueuse Amina Abdallah enlevée à Damas. La Syrie s'embourbe dans la violence, sans grandes réactions. Londres et Paris déposent une résolution à l'Onu. TURQUIE • Les portes restent ouvertes aux réfugiés syriens. L'ONU exhorte Damas à cesser ses attaques contre son peuple.

L'armée lance une opération à Jisr Al-Choughour. R. Gates parle de "massacres" et conteste la "légitimité" du régime. Des hélicoptères tirent sur les manifestants, au moins 25 morts. Syrie : des militaires désertent pour ne plus "tuer les civils" Le régime reste déterminé à mater la contestation dans le sang. L'armée repasse à l'offensive, "crise humanitaire" selon Washington. La blogueuse syrienne "enlevée" à Damas était en fait un Américain. Syrie : la blogueuse lesbienne était un hétéro américain. Un colonel confirme des désertions. L'exode des réfugiés syriens se poursuit en Turquie. SYRIE • Ville après ville, les chars poursuivent leur œuvre. Premières images de rebelles armés à Jisr al-Choughour. Le pouvoir tente une offensive médiatique, la répression continue. La Turquie créerait une zone tampon en Syrie en cas de guerre civile.

SYRIE • L'incroyable silence du monde arabe. MOYEN-ORIENT • La Turquie demande l'arrêt immédiat des violences en Syrie. L'armée pénètre avec des chars dans un village du nord-ouest. Au moins 19 morts dans des manifestations. Des opposants syriens forment un "Conseil national" face au régime.

La Turquie commence à aider les Syriens massés à sa frontière. Bachar al-Assad: "La Syrie face à complot, le pays dans un tournant" Manifestations anti-Assad dans plusieurs villes après le discours. Bachar al-Assad décrète une nouvelle amnistie générale. SYRIE • Bachar El-Assad recalé. SYRIE • Heurts meurtriers entre pro- et anti-Assad. TURQUIE • Des chars syriens à la frontière. Les chars syriens font fuir les populations vers la Turquie. Onze morts lors de manifestations, l'UE "révoltée"

Plus de 1500 réfugiés syriens sont entrés en Turquie en 24 heures. Arrestation de plus de 100 étudiants à Damas. Les partisans de Bachar al-Assad manifestent en nombre à Damas. Cinq manifestants tués, nouvelle amnistie décrétée par Assad. L'UE prête à renforcer ses sanctions contre la Syrie. 20 000 Syriens en colère aux funérailles d'une victime de la répression. Syriens réfugiés en Turquie : "En Syrie, on veut nous tuer" Près de 10 000 réfugiés syriens sont en Turquie. SYRIE • Mauvais canular sur la Toile. Des chars de l'armée aux entrées de Khan Cheikhoun. Ban Ki-moon demande au régime d'Assad "d'arrêter de tuer"

La blogueuse syrienne "enlevée" était... un étudiant américain - Monde. La répression du régime du président al-Assad continue. L'arrivée des réfugiés syriens en Turquie s'intensifie. Au moins 22 manifestants tués par les forces du régime. SYRIE • Londres et Paris accentuent la pression sur Bachar El-Assad. Répression en Syrie : l'amour au temps de la torture. Confusion à Paris où l'ambassadrice de Syrie en France dément avoir démissionné.

28 tués en 24 heures, la communauté internationale sollicitée. 53 civils tués dans la répression des manifestations vendredi. A Bruxelles, l'opposition syrienne réclame la fin de la répression. SYRIE • L’opposition réclame le départ du président Bachar El-Assad. Bachar al-Assad se prépare pour lancer le "dialogue national"

Un rapport réfute les accusations de torture sur un garçon de 13 ans. Hamza, 13 ans, torturé et tué: le visage de la révolte syrienne. 7 civils tués dans la région de Homs par les forces de sécurité. 2 civils tués à Rastan par les forces de sécurité. L'opposition appelle à la grève générale. Liban: "Les miliciens syriens tirent sur les femmes et les enfants" Fosse commune à Deraa, les proches des opposants traqués. L'opposition ne doit pas répéter le scénario libyen, dit Moscou.