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De janvier 2011 au 14 mars 2012

Facebook Twitter

Syrie. La Syrie resserre à son tour son contrôle du Web. FRANCE 24 - La Syrie rétablit l'accès à Facebook et à YouTube. Publié le : 09/02/2011 - 16:58Modifié le : 09/02/2011 - 17:49 Les Syriens ont enfin accès à Facebook et à YouTube. Près de trois ans après avoir bloqué l'accès à ces deux plateformes, les autorités syriennes jouent la carte de l'apaisement. Une ouverture relative : l'œil de Damas veille sur le Net. Facebook est de retour en Syrie et la Maison Blanche s'en réjouit. Mais le réseau star du web social, souvent cité pour son rôle supposé important dans les événements en Tunisie et en Egypte, n’est pas le seul à être de nouveau accessible en Syrie. Deux gestes symboliques que les Syriens ont découvert par eux-mêmes.

C’est notamment le cas pour Elaph, le plus important journal en ligne du monde arabe, ou encore Asharq al-Awsat, l’un des quotidiens arabophones les plus réputés. Moins de censure pour plus de contrôle Plusieurs commentateurs estiment que la décision des autorités damascènes envers Facebook et YouTube est un geste d’apaisement envers la population. Des milliers de Syriens sous les tirs de gaz lacrymogène. Deux journalistes de l'agence Reuters ont disparu en Syrie. Algérie : Sit-in pour le journaliste Khaled Sid Mohand, détenu en Syrie.

Un reporter franco-algérien détenu en Syrie depuis le 9 avril. Plus de 100 000 personnes à Hama pour les funérailles des victimes. Vendredi, les forces de sécurité ont tiré pour disperser des dizaines de milliers de manifestants anti-régime à Hama. On parle d'au moins 48 civils tués. Internet reconnecté Le réseau n'avait pas fonctionné vendredi dans la plupart des régions syriennes, notamment dans la capitale et à Lattaquié (nord-ouest), alors que des manifestations contre le régime étaient prévues durant la journée de vendredi. Les deux tiers du réseau internet syrien ont été mis hors d'usage vendredi pendant une demie-heure, a indiqué vendredi le site américain Renesys spécialisé dans la surveillance du web. "Les réseaux qui ne sont pas accessibles sont essentiellement tous ceux dont les préfixes ont été réservés au réseau de téléphonie cellulaire SyriaTel, ainsi que ceux de plus petits fournisseurs d'accès à internet, comme Sawa, INET et Runnet", a-t-il indiqué.

Belga et AFP. SYRIE • Le cyberdissident en guerre contre Damas. Chahine, de son pseudo, est un opposant redoutable au régime d'Assad. Il est désormais recherché par les autorités syriennes pour être l'un des cyberdissidents à l'origine de la diffusion d'informations sur le début de la révolte à Deraa.

Journaliste célèbre à Damas, c'est lui qui avait pressenti que les premiers mouvements d'insurrection dans "cette ville ignorée de tous", comme il dit, n'allaient pas y rester confinés. "Avec mes amis, nous avions décidé de transmettre les informations sur ce qui se passait à Deraa. Nous avions commencé à mettre en place des cellules chargées d'effectuer des contacts avec les médias en liaison avec Damas. Dès le début des événements, personne n'avait soupçonné qu'ils auraient une telle répercussion et qu'ils allaient faire boule de neige comme cela avait eu lieu en Egypte ou en Tunisie", dit-il.

"Certains journalistes avaient même peur de couvrir ce qui se passait. SYRIE • Le blogueuse Amina Abdallah enlevée à Damas. Opposants et pro-régime se livrent une guerre sur internet. "Un grand nombre de sites web et de pages Facebook ont été attaqués par les partisans" du régime, affirme Ahed al-Hindi, qui se présente comme le coordinateur des programmes arabes pour Cyberdissidents.org. Les réseaux sociaux jouent un rôle de premier plan dans la mobilisation depuis le début du soulèvement populaire le 15 mars, dont la répression a fait plus de 1300 morts selon différentes ONG. Dans son dernier discours, le 20 juin, le président Bachar al-Assad avait rendu hommage aux jeunes de "l'armée électronique syrienne", qui, selon Ahed al-Hindi, "a des commentaires pro-Assad sur beaucoup de sites hostiles au régime, dont des menaces de mort et des insultes". Cette "armée électronique" dispose d'une page Facebook qui détaille "les dernières attaques" menées par ses membres.

"L'armée électronique rassemble un grand nombre de pirates électroniques pro-régime qui attaquent à la fois la page d'un activiste donné. Les opposants s'organisent pour contrer les attaques. Faut-il croire les chiffres de la rébellion en Syrie? Que se passe-t-il réellement en Syrie ? Impossible de le savoir, la presse internationale étant interdite d’entrée sur le territoire depuis le début de la révolte contre le président Bachar Al-Assad. Les journalistes locaux sont contraints de se taire, parfois via des arrestations. Dès lors, les seules informations qui filtrent sont celles fournies à la presse par l’agence officielle Sana ou par la rébellion, via des vidéos YouTube ou encore via l’Observatoire syrien des droits de l’homme.

Le directeur de cette ONG, Rami Abdul Rahman, vit à Londres, d’où il récolte et centralise les informations envoyées par son réseau, 200 Syriens, amis ou amis d’amis. Ils communiquent via Skype, Facebook, Twitter ou téléphone à numéros masqués, comme il l’expliquait au Point début juillet. C’est essentiellement via cette ONG que des bilans de morts et de blessés sont diffusés par la presse internationale.

Ce qui pousse dès lors à s’interroger sur la fiabilité des informations transmises. J. Le site de la Défense syrienne piraté. Ce lundi matin le site internet du ministère de la Défense syrien a visiblement été piraté ce matin. Le site aurait été piraté et son contenu remplacé par des messages condamnant le gouvernement en place. Quelques heures plus tard, le site était devenu inaccessible. Selon CNN, ce piratage serait l’œuvre du groupe Anonymous, déjà très actif ces derniers temps.

A la place du contenu habituel, la page d’accueil était remplie de vidéos d’amateurs filmant dans la rue la répression syrienne ou dénonçant ouvertement les exactions du président Al-Assad. Deux déclarations étaient également présentes sur le site. "Au peuple syrien : le monde entier se dresse avec vous face au régime brutal de Bashar Al-Assad. La seconde déclaration était destinée aux militaires : "Aux militaires syriens : vous êtes chargés de protéger le peuple syrien.

Ces deux annonces sont signées "Anonymous". S.D. avec CNN. Les sbires d'Assad écrasent les mains d'un caricaturiste syrien | Rue89. Ali Farzat hospitalisé après son passage à tabac (prise par un de ses amis pour Neo Arabia/Rue89). Depuis le début de la révolution syrienne, ses caricatures arrachent des sourires ironiques aux protestataires qui les échangent et les commentent sur leurs pages Facebook.

Enlevé à l’aube ce jeudi 25 août sur une place centrale de Damas, Ali Farzat, dessinateur mondialement connu, a été retrouvé tabassé au bord de la route. La veille encore, l’une de ses proches amies disait avec soulagement : « Ils n’ont pas cherché à atteindre Ali » soulignant l’arbitraire des services de sécurité syriens qui ont arrêté et menacé nombre d’intellectuels et artistes opposants dans le pays. Son cartable et ses dessins volés Ali Farzat a été attaqué dans sa voiture par des hommes cagoulés dans l’une des zones les plus surveillées de Damas, à quelques dizaines de mètres du bâtiment de la radio-télévision syrienne et de l’état-major des forces de sécurité.

Dessin récent de Ali Farzat. Plein écran ▣ Usage systématique de la torture par les services de sécurité. Alors que l’attention médiatique s’est détournée de la Syrie du fait de la bataille de Tripoli, Reporters sans frontières condamne avec la plus grande fermeté les pratiques inchangées des forces de sécurité syriennes. Les tortures infligées au célèbre caricaturiste Ali Ferzat, enlevé le 25 août 2011 à Damas, ainsi qu’à la journaliste Hanadi Zahlout au cours de sa détention, sont emblématiques du traitement réservé à ceux qui s’opposent à la propagande du régime et expriment tout avis contraire au sien.

Le 25 août dernier à 4 h 30 du matin, des individus masqués appartenant aux services de sécurité syriens ont enlevé Ali Ferzat, place des Omeyyades, dans le centre de la capitale, alors qu’il rentrait chez lui, en voiture, depuis son bureau. Pendant plusieurs heures, il a vécu un véritable enfer. Violemment frappé, sa main gauche, qui lui sert à dessiner, a été cassée. Ses tortionnaires lui ont brûlé le corps avec des mégots de cigarette. SYRIE • Ali Farzat, ou le crime de dessiner. L'agression du célèbre caricaturiste, qui fait suite à l'assassinat d'un chanteur contestataire, montre, si besoin était, que la violence est le seul mode de communication du pouvoir syrien. 26 août 2011 | Partager : Le 25 août, l'un des artistes les plus en vue de Syrie, le dessinateur de presse mondialement connu Ali Farzat, a été violemment agressé en plein jour.

Au vu de ce genre d'incidents, on se demande si le gouvernement du Président Bachar Assad a conscience de l'impact de ses actes. Farzat a fait savoir ces dernières semaines qu'il n'était pas d'accord avec le régime, mais il est loin d'être considéré comme un ennemi traditionnel des autorités de Damas. Considéré des années durant comme l'un des plus grands dessinateurs de presse du monde arabe, Farzat a encore renforcé sa stature il y a dix ans, juste après l'accession au pouvoir d'Assad. SYRIE • Ali Farzat, le caricaturiste aux mains brisées.

The Daily Star 26 août 2011 | Partager : Le visage tuméfié d'Ali Farzat s'affiche à la une de nombreux quotidiens du Proche-Orient. Le quotidien libanais consacre un éditorial au caricaturiste syrien, passé à tabac le 25 août par des membres des forces de sécurité qui, entre autres sévices, lui ont brisé les mains. Farzat ne comptait pourtant pas parmi les adversaires traditionnels du régime. Mais il avait récemment publié une caricature de Bachar El-Assad en train de faire ses valises avec Kadhafi : sans doute le dessin de trop, suppose le journal.

Ali Ferzat self-portrait today. That's the spirit! Pleas. Solidarité avec Ali Farzat. Trois soldats insoumis tués. KheOps, l'activiste qui aidait les Syriens à surfer librement. Des journalistes en Syrie, la fin du huis-clos sur les atrocités. Depuis quelques semaines, de plus en plus de journalistes accèdent à la Syrie, comme ceux de France 2 ou de i-Télé ces derniers jours.

Finies les images amateurs contestées par le régime de Bachar el-Assad : cette fois, les reporters rapportent et diffusent ce qu’ils voient. La révolution syrienne, qui a débuté en mars, aurait fait au moins 4 000 morts, selon l’ONU, le double selon les comités de manifestations. Filmés et datés par les manifestants eux-mêmes, les mouvements sont systématiquement contestés par le régime. Qui dément toute cruauté. Le fait que des reporters puissent désormais en témoigner aide à accréditer l’horreur de la répression, même si cela ne permet pas de vérifier le nombre des victimes. . « Le régime dit qu’il n’y a pas de bombardements, on en a filmé, par exemple. Brandir sa pancarte de dos Un des premiers journalistes à entrer dans le pays a été une reporter française, Sofia Amara, dès le mois d’août, pour Arte. . « Le ciblage délibéré des enfants » Les récentes libérations ne mettent pas fin à la répression : une des figures de la blogosphère syrienne est arrêtée. Reporters sans frontières prend note de la libération de la blogueuse Razan Ghazzawi, le 18 décembre 2011, contre une caution de 15 000 livres syriennes (environ 300 dollars), deux semaines après son arrestation.

“Nous nous réjouissons de cette libération mais nous appelons le régime syrien à abandonner les charges pesant contre Razan Ghazzawi. Les autorités doivent également libérer au plus vite les journalistes, blogueurs et dissidents emprisonnés pour s’être exprimés librement”, a déclaré l’organisation. La blogueuse est jugée pour “diffusion de fausses informations pouvant porter atteinte au moral de la nation”, “mise en danger du sentiment national et incitation aux dissensions confessionnelles”, et “création d’une organisation visant à modifier le statut économique et social de l’Etat”, des charges passibles de trois à quinze ans de prison. La date de la prochaine audience de son procès est à ce jour inconnue. La blogueuse Razan Ghazzawi risque la prison ferme 13.12.2011. La jeune blogueuse Razan Ghazzawi libérée sous caution. Razan Ghazzawi a été libérée contre une caution de 15 000 livres syriennes (environ 300 dollars), a annoncé le Centre syrien pour l'information et la liberté d'expression, qui appelle au retrait de toutes les charges contre la jeune femme, qui risque jusqu'à 15 années de prison.

L'organisation a également appelé à "la libération de tous les prisonniers d'opinion ainsi que de toutes les personnes incarcérées pour avoir participé à des manifestations pacifiques". Razzan Ghazawi avait été arrêtée le 4 décembre en partance pour Amman (Jordanie) où elle devait assister à une réunion centrée sur la liberté d'expression. Elle est poursuivie pour avoir voulu attenter au "sentiment national" et pour avoir mené des activités jugées subversives. Elle est connue pour son blog, Razaniyyat, sur lequel elle exprime ses sentiments sur le régime syrien.

Elle était très active sur Twitter, à l'image des milliers de jeunes, moteurs du "printemps arabe" en particulier à travers les réseaux sociaux. JOURNALISME • Mourir à Homs. Le grand reporter français Gilles Jacquier a été tué dans un bombardement en Syrie alors qu'il effectuait un reportage à Homs. L'Orient-Le Jour en profite pour rappeler combien les journalistes français ont été présents lors de la guerre du Liban, et salue cette profession de "vaillants anonymes". 12 janvier 2012 | Partager : Grand reporter, c’est un métier à part, discret, qui ne permet pas le vedettariat.

Sans être téméraire, Gilles Jacquier prenait des risques pour que nul n’ignore les tragédies qui se déroulent dans ce monde et les abus qui ont lieu loin des regards. Ces dernières années, il s’était déplacé sur tous les points chauds du globe, Kosovo, république démocratique du Congo, Algérie, Libye, Afghanistan. Dans ce dernier pays, il s’était intéressé à un angle qui n’a rien à voir avec les grands titres de l’actualité, mais tout à voir avec la guerre et la paix : les écoles. Pendant la guerre du Liban, à part les diplomates, on voyait bien peu d’étrangers. Gilles, Juvenal et Wissam, au cœur de l'actu de la semaine | Rattrapage d'actu. SYRIE • "Sans Internet, la révolution aurait été immédiatement écrasée" Le blogueur syrien Shakeeb Al-Jabri, en exil à Beyrouth, refuse la clandestinité.

Il explique à quel point, selon lui, la révolution syrienne repose sur les médias sociaux et les technologies liées à Internet. 25 janvier 2012 | Partager : NOW LEBANON : Plusieurs activistes connus du public ont fui le pays, car même au Liban ils ne sentent pas en sécurité. Vous êtes l’un des rares blogueurs syriens de Beyrouth à ne pas être entré dans la clandestinité. Pourquoi ? Jabri@LeShaque: Dès le début, je me suis dit que j’avais deux options : me faire mieux connaître ou me cacher. Quels sont vos plus gros problèmes en tant que blogueur et activiste syrien ? Comment vous assurez-vous de la crédibilité des informations ? Il y a aussi les groupes Facebook comme Akbar Shabab Souriya, dont les membres publient des informations de différentes pages. […] On n’est pas autorisé à débattre, mais on peut demander des détails pour confirmer ou démentir des informations. Des centaines de Syriens "couvrent" la révolte au péril de leur vie. SYRIE • L'œil du dessinateur Ali Farzat.

Les médias syriens inventent une interview de chercheur français. SYRIE • Mais qui a tué Gilles Jacquier ? 14 personnes dont un journaliste et une blogueuse arrêtées à Damas. USA: un journaliste américain Prix Pullitzer décède d'une crise d'asthme en Syrie. MÉDIAS • Disparition d'un prix Pulitzer en Syrie. Syrie : Razan Ghazzawi libérée. Assassinat du video blogueur syrien Rami Ahmad Al sayeed.

Chaîne de syriapioneer. Syrie : « Ça suffit, ce régime doit partir » Deux journalistes tués à Homs en Syrie, la France dit: "Ca suffit" Damas coupable d’avoir pris les journalistes au piège avec la population de Homs. La journaliste française blessée demande une évacuation "au plus vite" ‫نداء إستغاثة من الصحفيين المحاصرين مع أهالي الحي‬‎ La presse visée en Syrie. La journaliste américaine est morte en récupérant ses chaussures. Le journaliste Paul Conroy évacué au Liban, incertitudes sur Edith Bouvier.

Baba Amr "résiste", pas de nouvelles d'Edith Bouvier. SYRIE • Les activistes se sacrifient pour évacuer les journalistes occidentaux. E. Bouvier et W. Daniels en sécurité au Liban, Homs reprise par l'armée. Edith Bouvier et William Daniels rentrés en France après le cauchemar syrien. Les corps de Marie Colvin et de Rémi Ochlik identifiés à Damas. Les deux journalistes français enfin sortis de l’enfer de Homs. Damas: les corps des deux journalistes remis aux ambassades. MÉDIAS • Le correspondant de guerre n'est pas un héros. William Daniels, photographe. Le Prix du Net-citoyen 2012 décerné aux militants syriens. Deux journalistes turcs ont disparu en Syrie. Syrie : La campagne demandant de mettre fin à un an de massacres. Les autorités menacent les médias étrangers, les arrestations de journalistes et blogueurs se poursuivent.

Monde : La liste des manifestations “Contre le dictateur syrien” Le photographe britannique Paul Conroy dénonce "un massacre aveugle" Syrie : Hommages en ligne à la journaliste américaine Marie Colvin tuée à Homs. Deux journalistes français toujours bloqués dans l’enfer syrien. SYRIE • L'appel à l'aide d'Edith Bouvier. SYRIE • "Couvrir une guerre, dans l'espoir de témoigner" MÉDIAS • Deux journalistes tués en Syrie. Jeudi 23 Février 2012. Journalistes pris au piège dans l’enfer de Homs. Syrie : Le journaliste citoyen Rami Al Sayed tué à Homs.

Hommage au photoreporter Rémi Ochlik, tué en Syrie. Syrie : Choc et incrédulité après le meurtre de journalistes. Syrie : Razan Ghazzawi à nouveau arrêtée. Syrie : Razan Ghazzawi à nouveau arrêtée. Les Syriens pleurent Gilles Jacquier « martyr de la libre expression » | Neo Arabia. Un journaliste de France 2 tué à Homs. Un journaliste français d'"Envoyé spécial" tué à Homs, émotion à France 2. Un journaliste français tué en Syrie.