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Azerbaïdjan

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Azerbaijan: Egypt Events Linked to Youth Activist Arrest - Opposition. L'Eurovision aidera-t-il les droits de l'homme ? Bakou menace l'OTAN. Un journaliste en ligne condamné à un an et demi de prison. « Nous sommes soulagés de savoir Ramin Bayramov en liberté, a déclaré Reporters sans frontières.

Un journaliste en ligne condamné à un an et demi de prison

Il aura cependant passé un an derrière les barreaux pour avoir exprimé des opinions critiques à l’égard des autorités. Une journaliste d’investigation victime d’une campagne de diffamation. Azerbaïdjan: une journaliste d’investigation défie le régime après avoir reçu des menaces de chantage. Selon Freedom House, la situation de la liberté d'expression en Azerbaïdjan [en anglais] demeure “désastreuse”, dans la mesure où les autorités continuent “de mettre en prison des journalistes et des blogueurs qui expriment des opinions différentes”.

Azerbaïdjan: une journaliste d’investigation défie le régime après avoir reçu des menaces de chantage

Quoiqu'il en soit, il y a d'autres façons de faire taire la presse et les journalistes d'investigation, comme l'a découvert à ses dépens encore ce mois-ci une voix dissidente qui n'hésite pas à s'attaquer au gouvernement. Khadija Ismaïlova, une journaliste qui travaille avec l'antenne de Radio Free Europe à Bakou et qui a souvent révélé le haut niveau de corruption qui régnait dans l'ancienne république soviétique particulièrement riche en pétrole, a reçu un courrier anonyme.

A l'intérieur, il y avait une note, accompagnée de photographies prises par une caméra cachée, qui la menaçait de diffuser une vidéo de nature intime et personnelle si elle ne mettait pas un terme à ses activités journalistiques. [...] Chacun a sa propre vie privée. Quatre arrestations suite au soulèvement de Guba. Le 18 juillet 2012, la cour d’appel de Bakou, présidée par Etibar Huseynov, a rejeté l’appel de Vugar Gonagov et Zaur Guliyev, respectivement directeur et rédacteur en chef de Khayal TV, détenus arbitrairement depuis le 13 mars dernier.

Quatre arrestations suite au soulèvement de Guba

Elle confirme ainsi la décision de la cour de Nizami, datée du 11 juillet 2012, de prolonger de deux mois de leur détention. La prochaine audience devrait se tenir le 17 septembre. Le même jour, la cour d’appel, présidée par Mirpasha Huseynov, a rejeté la plainte déposée par les deux journalistes contre les policiers afin que soit reconnu le fait qu’ils aient été arrêtés et qu’il ne s’agissait pas d’une “mesure préventive”. Vugar Gonagov et Zaur Guliyev sont accusés de “destruction intentionnelle de propriété” et d’avoir “organisé un désordre public”, en vertu des articles 186 et 233 du code prénal. 27.03.2012 - Les journalistes arrêtés à Guba, emprisonnés pour deux mois.

Les journalistes arrêtés à Guba, emprisonnés pour deux mois. Le 18 juillet 2012, la cour d’appel de Bakou, présidée par Etibar Huseynov, a rejeté l’appel de Vugar Gonagov et Zaur Guliyev, respectivement directeur et rédacteur en chef de Khayal TV, détenus arbitrairement depuis le 13 mars dernier.

Les journalistes arrêtés à Guba, emprisonnés pour deux mois

Elle confirme ainsi la décision de la cour de Nizami, datée du 11 juillet 2012, de prolonger de deux mois de leur détention. La prochaine audience devrait se tenir le 17 septembre. Le même jour, la cour d’appel, présidée par Mirpasha Huseynov, a rejeté la plainte déposée par les deux journalistes contre les policiers afin que soit reconnu le fait qu’ils aient été arrêtés et qu’il ne s’agissait pas d’une “mesure préventive”. Vugar Gonagov et Zaur Guliyev sont accusés de “destruction intentionnelle de propriété” et d’avoir “organisé un désordre public”, en vertu des articles 186 et 233 du code prénal. 27.03.2012 - Les journalistes arrêtés à Guba, emprisonnés pour deux mois. Un journaliste indépendant sauvagement agressé. Mise à jour - 19.04.2012 : Le Groupe international de partenariat pour l’Azerbaïdjan (IPGA) a adressé un courrier au président Ilham Aliev au sujet de la violente agression subie la veille par le journaliste indépendant Idrak Abbasov.

Un journaliste indépendant sauvagement agressé

Lire la lettre (en anglais) : IPGA Letter on Abbasov attack 18.04.2012 - Un journaliste indépendant sauvagement agressé Reporters sans frontières condamne très fermement la violente agression dont a été victime le journaliste indépendant Idrak Abbasov, le 18 avril 2012. Importantes manifestations contre le régime. Le calvaire de Zaur Guliyev continue. Reporters sans frontières s’insurge contre les traitements inhumains et dégradants dont Zaur Guliyev, rédacteur en chef de la chaîne de télévision Khayal TV, a fait l’objet de la part des agents de la division contre le crime organisé du ministère de l’Intérieur, depuis le 14 mars 2012.

Le calvaire de Zaur Guliyev continue

L'opposition se mobilise en vue de l'Eurovision. Un concours dé-mo-cra-ti-que ! Un mot pour la liberté de la presse ? « Le 26 mai 2012, les regards de plus de 100 millions de téléspectateurs convergeront sur Bakou, la capitale de l’Azerbaïdjan, où se tiendra la finale du concours Eurovision de la chanson.

Un mot pour la liberté de la presse ?

A cette occasion, le public européen découvrira largement ce beau pays et l’hospitalité de ses habitants. Mais il est une autre réalité que les autorités auront tout fait pour masquer : celle d’un régime répressif et brutal, qui ne recule devant rien pour faire taire les quelques journalistes menant des investigations sensibles ou critiques », a déclaré Reporters sans frontières.

Azerbaïdjan : “L’effet Eurovision” ne met pas fin aux arrestations. [Liens en anglais sauf indications contraire] Aujourd'hui samedi 26 mai aura lieu la finale du concours de chansons Eurovision, qui se tient cette année en Azerbaïdjan.

Azerbaïdjan : “L’effet Eurovision” ne met pas fin aux arrestations

La police de Bakou, la capitale, a interpellé des dizaines de manifestants qui protestaient contre les atteintes aux droits de l'Homme courantes dans cette ancienne république de l'Union Soviétique riche en pétrole. Selon certaines sources, le nombre de personnes détenues est supérieur à 30, selon d'autres, il atteindrait jusqu'à 60-70 personnes. Quel que soit le chiffre exact, une chose est claire. Si l'Eurovision a déjà été un enjeu politique par le passé, avec des votes par blocs régionaux et des rivalités régionales comme avec l'Arménie, qui ont détérioré le bon esprit du concours, les controverses autour de cette finale atteignent de nouveaux sommets de virulence. "Liberté d'expression en Azerbaidjan! Liberté d'expression en Azerbaïdjan. "Cette photo reflète la situation en Azerbaïdjan ! " Nouvelle arrestation d’un journaliste critique. Le 13 juin 2012, en fin de journée, Mehman Huseynov a été remis en liberté provisoire par le tribunal du district de Sabayil (Bakou).

Nouvelle arrestation d’un journaliste critique

Le journaliste a été placé sous contrôle judiciaire et reste poursuivi. Les charges retenues contre lui sont même plus sévères que celles initialement mentionnées : mis en examen pour « hooliganisme et résistance à un représentant des autorités (…) » (article 221.2.2 du code pénal), il risque désormais jusqu’à cinq ans d’emprisonnement. 13.06.2012 - Nouvelle arrestation d’un journaliste critique Reporters sans frontières dénonce l’arrestation du photojournaliste Mehman Huseynov, connu pour sa couverture des violences policières et son activisme en faveur de la liberté de l’information. Le jeune membre de l’Institute for Reporters’ Freedom and Safety (IRFS) est également actif sur les réseaux sociaux. Un journaliste accusé de “haute trahison” risque la réclusion à perpétuité. Reporters sans frontières exprime sa colère face à l’escalade en cours dans le harcèlement judiciaire subi par le défenseur des droits de l’homme et rédacteur en chef du journal Tolishi Sado (la voix des Talysh), Hilal Mammedov, arrêté le 21 juin 2012 et qui risque aujourd’hui la réclusion à perpétuité.

Un journaliste accusé de “haute trahison” risque la réclusion à perpétuité

“Nous sommes absolument outrés par les nouveaux chefs d’inculpation retenus contre Hilal Mammedov, et par la gravité de la peine qu’il encourt. Ceci est une aberration totale qui témoigne de l’exacerbation des tensions entre les services secrets iraniens et azéris. Les enchères doivent cesser. Il est inadmissible que les journalistes et les activistes continuent d’être ainsi pris en tenaille. Nous demandons à ce que Hilal Mammedov soit relâché dans les plus brefs délais”, a déclaré Reporters sans frontières. Son dossier a été transféré au département du Parquet général en charge des “crimes graves”.

Le Nagorny Karabakh, une bombe à retardement pour l'Arménie et l'Azerbaïdjan. Seul le vent se fait entendre dans les champs de blé le long de la ligne de front, mais les soldats déployés dans le village de Mardakert savent bien que des tirs peuvent retentir à tout moment près de cette enclave séparatiste située en Azerbaïdjan, mais peuplée majoritairement d'Arméniens. A Mardakert, une trentaine de mètres seulement séparent les troupes arméniennes et azerbaïdjanaises depuis la signature d'un fragile cessez-le-feu en 1994, après une guerre entre l'Azerbaïdjan et l'Arménie pour le contrôle du Nagorny Karabakh qui a fait en six ans 30.000 morts et des centaines de milliers de réfugiés.

Bakou et Erevan multiplient les menaces d'une solution militaire, faute de pouvoir se mettre d'accord sur le statut de ce territoire montagneux, en dépit d'une médiation internationale, ce qui fait de ce conflit gelé l'un des plus dangereux au monde. Des échanges de tirs y ont régulièrement lieu, et une vingtaine de soldats y ont péri depuis fin 2011. Situation explosive. Arrestation d’un blogueur d’opposition : un an avant l’élection présidentielle, le tour de vis continue. Manifestants, à vos porte-monnaie ! Courrier international 21 novembre 2012 | Partager : A compter du 1er janvier, en Azerbaïdjan, les amendes pour participation à des manifestations non autorisées passeront de 7-13 manats (de 7 à 12 euros) à 500-1 000 manats (de 500 à 1 000 euros), alors que le salaire mensuel moyen est de 380 euros.

Avec cette mesure, les autorités affirment vouloir "préserver l'ordre public", rapporte Eurasianet. "A trois mois de l'élection présidentielle, le pouvoir veut contenir le mécontentement social”, commente le site. Et maintenir à la présidence la dynastie Aliev. Le président sortant, Ilham Aliev, fils de Gaïdar Aliev, président de 1993 à 2003, sera candidat à sa succession après deux mandats.

La parade consiste à transférer les protestations de rue vers le réseau social Facebook, qui compte 900 000 utilisateurs [sur 9 millions d'habitants] en Azerbaïdjan. Présidentielle dans un pays sous tension. Les habitants de la région sécessionniste s'apprêtent à élire leur cinquième président depuis la fin de la guerre contre l'Azerbaïdjan, en 1994. Mais quel qu'il soit, le nouvel élu ne semble pas être mesure de faire avancer le dossier brûlant du statut de l'enclave. Ni paix ni guerre. C'est dans ce contexte qu'aura lieu, le 19 juillet, l'élection présidentielle au Haut-Karabakh, région sécessionniste d'Azerbaïdjan, peuplée d'Arméniens et indépendante de facto depuis le cessez-le-feu de 1994.

Le 12 juillet, la visite à Stepanakert, capitale du Haut-Karabakh, des coprésidents français, américain et russe du Groupe de Minsk (créé en 1992 par l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe [OSCE] pour chercher une résolution pacifique et négociée de ce conflit ethno-territorial entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan) n'a pas permis d'avancer. L'Eurovision en Azerbaïdjan: répression ou chanson? Cette année, l'honneur revient à l'Azerbaïdjan d'organiser l'Eurovision suite à la victoire d'un duo Ell et Nikki l'an dernier en Allemagne. Ce pays caucasien de 9,2 millions d'habitants à majorité musulmane et riche en hydrocarbures a dépensé des millions de dollars pour embellir sa capitale et promet un show spectaculaire agrémenté de scènes de folklore traditionnel azerbaïdjanais. L'Eurovision est une formidable vitrine pour le pays organisateur. Des millions de téléspectateurs vont suivre ce concours mettant en lice les représentants de 42 pays européens.

Les délégations et la presse sont déjà sur place.