Tout est prêt pour un printemps centrasiatique. Un homme est mort… pour quatre SMS. Le décès, le 8 mai, d'un homme emprisonné pour crime de lèse-majesté jette une cruelle lumière sur l'iniquité et l'anachronisme de cette loi, déplore le politologue Pavin Chachavalpongpun.
Abroger ce texte grandirait le pays. 11 mai 2012 | Partager : Amphon "Akong" Tangnoppakul, condamné à vingt ans de réclusion, est mort le 8 mai à l'âge de 61 ans. Son décès est une grande claque pour les ultraroyalistes, qui se sont servis d'une loi draconienne sur le crime de lèse-majesté pour contrôler les divergences d'opinions politiques dans la société.
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