background preloader

E-reputation

Facebook Twitter

Faux avis : des agences d'e-réputation industrialisent la pratique. Etude : comment les entreprises envisagent l'e-réputation. Que ce soit pour les particuliers ou les entreprises, le concept d’e-réputation commence à rentrer dans les mœurs. C’est l’un des enseignements de la seconde édition de l’observatoire SAS / IDC des médias sociaux, reposant sur deux enquêtes réalisées auprès de 124 entreprises et 800 internautes.

Côté entreprises, préserver et sécuriser l’image de marque est l’une des premières priorités pour l’année 2011. Seules 9% des Directions Communication et Marketing (qui s’occupent généralement de ces thématiques dans les entreprises interrogées) estiment que c’est peu ou pas prioritaire. Pour les entreprises, il faut agir dans le domaine de l’e-réputation pour diminuer le risque pesant sur l’attractivité des produits et des services (à 78%) et l’impact potentiel sur le chiffre d’affaires (à 34%). La notion de marque employeur est également mise en avant, 45% des entreprises jugeant qu’il est important de s’occuper de leur e-réputation afin de ne pas faire peser de risque sur le recrutement.

Sensibles à leur e-reputation, les marques ne sont pas bien outillées - e-marketing.fr. Comment les directeurs marketing gèrent l'e-réputation. Deux tiers des internautes utilisent les médias sociaux pour émettre des avis, négatifs ou positifs, sur les entreprises. Aux yeux des 124 directeurs maketing de grandes entreprises interrogés pour l’observatoire des médias sociaux, ce sont les blogs (68 % des réponses) qui impactent le plus l’e-réputation des entreprises. Les réseaux sociaux (Facebook, Twitter), viennent en seconde position, avec 34 % des réponses. Selon l’enquête Médias sociaux et e-réputation réalisée par SAS, leader mondial des solutions de business analytics et le cabinet d'études et de conseil sur l'informatique et des télécommunications, IDC, plus de la moitié des entreprises (52 %) ont déjà lancé des initiatives d’interactions clients sur les réseaux sociaux l’an dernier.

La plupart du temps pour anticiper et éviter les risques de “dérapage”. Ces programmes ont représenté près de 7 % des budgets Digital Marketing des entreprises l’an passé en 2010. La distribution et les assurances sont de bons élèves. E-Réputation : pourquoi Mango se tire-elle une balle dans le pied. Parfois je ne comprends rien à la communication de crise de certaines marques. Par exemple, je ne comprends rien à celle de Mango dans l'affaire qui l'oppose à la jeune créatrice Anne-Cécile Couetil. Pour mémoire, je vous renvoie par exemple aux excellents articles de Dom la ménagère et de Mademoizelle.com : Condamnée aux yeux de la justice après avoir attaqué Mango pour plagiat de sac à main, Anne-Cécile Couetil a reçu rapidement le soutien de la blogueuse Deedee et consœurs, avant de gagner le combat contre Mango sur le plan médiatique. Mango est une multinationale d'origine espagnole, qui fabrique et commercialise des vêtements et accessoires pour femme (et pour homme).

Certes, elle déploie ses activités dans plus de 100 pays, et la France ne représente qu'une parcelle de son chiffre d'affaires, mais tout de même : Pour vendre ses produits sur le territoire nationale, n'a t-elle pas besoin de Deedee ? Certes, certes... 6000 Euros. Mango, le temps a changé. Mango. Identité numérique et réputation à nouveau sur le devant de la scène. Grosse actualité ce matin avec le lancement par Swiss-Life d’une offre de protection de la e-réputation des particuliers : Reputation Squad lance en partenariat avec Swiss Life la première offre d’assurance e-réputation. Une offre avant-gardiste et dans l’ère du temps (72% des internautes ne saurait pas supprimer les contenus diffusés à leur insu sur le web). Autant je déteste le terme “e-réputation”, autant je suis persuadé qu’il y a bien un enjeu de société avec la gestion de l’identité numérique. Dans ma vision des choses, il n’y a pas de “e-réputation”, simplement une réputation qui se propage de façon naturelle (anarchique ?)

Par bouches à oreilles ou sur d’autres médias. Le web étant le média où les particuliers ont le plus de chance d’être visibles, en tout cas bien plus de chances qu’à la TV ou la radio. Google est également en embuscade sur ce créneau depuis un petit bout de temps. Tout ceci est très intéressant, mais il n’y a pas beaucoup d’argent à gagner dans l’immédiat. E-réputation, la fin d'un buzzword? Les réseaux sociaux influencent le recrutement.

E-reputation : le salarié peut-il être l’ambassadeur de l’entreprise. La semaine dernière l’AFCI a eu la gentillesse de m’inviter pour intervenir sur le thème : E-reputation : le salarié peut-il être l’ambassadeur de l’entreprise en compagnie de Pierre Milcent et Willem Gabilly d’IBM. Voici ma présentation sur ce thème. Vous trouverez à priori courant de la semaine des interviews, dont la mienne, sur la chaîne Youtube de l’AFCI. De même vous pouvez télécharger ici, la présentation de Pierre et Willem. Voici enfin ma présentation sans mes commentaires et concernant la video qui se trouve à l’intérieur, voici le lien. Préserver son e-réputation, Droit & Finance.