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L'édition traditionnelle est-elle encore viable face à l'autoédition ? L'année 2012 marque la poursuite de la montée de l'autoédition et, par la même occasion, des débats qui s'ensuivent. Suite au succès d'auteurs autoédités, un mouvement protestataire, de plus en plus appuyé, dénonce l'inutilité des groupes éditoriaux. Outre-Atlantique, le phénomène est répandu. Les auteurs autoédités trouvent dans ce système une alternative à l'édition traditionnelle qui aurait pu les refuser, ou qu'ils pensent trop industrielle. D'autres voient là l'avenir de l'édition. Ce qui est certain, c'est qu'au lieu d'accepter la cohabitation de deux systèmes différents, l'autoédition génère un débat quant à la valeur ajoutée d'une maison d'édition traditionnelle. De la façon dont les éditeurs devraient "enfin" se rendre utiles Pour l'exemple, J.A.

En offrant un meilleur pourcentage de droits d'auteur aux écrivains. Le point de vue d'Hachette « « L'auto-édition » est un terme impropre. Le refus d'un / de ce système éditorial entre soi (écrivain) et l'autre (lecteur) Pour approfondir. OPDS Catalog 1.0. The Open Publication Distribution System (OPDS) Catalog format is a syndication format for electronic publications based on Atom and HTTP.

OPDS Catalogs enable the aggregation, distribution, discovery, and acquisition of electronic publications. OPDS Catalogs use existing or emergent open standards and conventions, with a priority on simplicity. The Open Publication Distribution System (OPDS) Catalog format is a syndication format for electronic publications based on Atom [RFC4287] and HTTP [RFC2616]. OPDS Catalogs enable available electronic publications to be: discovered, using optional search or a range of optional browsing techniquesacquired, using direct downloads, lending, or vending An OPDS Catalog is a set of one or more Atom Feeds, which are themselves listings of Atom Entries.

OPDS Catalogs may be aggregated and combined into larger OPDS Catalogs. Some sections of this specification are illustrated with fragments of a non-normative RELAX NG Compact schema [RNC]. Acquisition Feed. Robert Darnton, historien à Harvard : “Le livre numérique ne tuera pas le papier, au contraire” - Le fil livres. Eteins ton livre, il est tard. XEnvoyer cet article par e-mail Eteins ton livre, il est tard Nouveau !

Pas le temps de lire cet article ? Classez le dans vos favoris en cliquant sur l’étoile. Vous pourrez le lire ultérieurement (ordinateur, tablette, mobile) en cliquant sur « votre compte » Fermer Feuilleton Bientôt cette injonction entrera dans le dictionnaire de la vie quotidienne des parents Le livre va-t-il mourir ? Non, le livre ne mourra pas, tant qu’il y aura encore, sur terre, une frange de population attirée par cet objet incongru : un texte long. 1/ Les gros lecteurs se refugient dans les livres en papier ? Normal, ce qu’ils veulent, c’est lire. 2/ les vieux boudent les livres électroniques ?

Minoritairement encore mais déjà significativement, ils ont commencé à acquérir des liseuses pour une raison simple : c’est enfin un produit qui pense à eux, qui permet de grossir les caractères ! 3/Tous les ebooks se ressemblent, au fond. 4/ on lit moins qu’avant. 5/ Le livre en papier va disparaitre ? Papier vs numérique (OWNI) Pour certains, la cause est entendue : en changeant de support, nous avons perdu de notre capacité à nous plonger dans de longs textes. Un point de vue trop simpliste, comme en témoignent les analyses présentées dans ce texte. Nouveau support, nouvelle culture Lit-on de la même manière sur le support papier que sur le support électronique ? Le débat commence à être ancien : on pourrait le faire remonter aux critiques de Socrate à l’encontre de l’écriture à une époque où la transmission du savoir se faisait uniquement de manière orale.

Il n’est pas sûr que ce texte parvienne à réconcilier les tenants de chaque position. . « Google nous rend-il stupide ? « À chaque fois qu’apparaît un nouveau média, une nouvelle façon de distribuer le savoir et l’information, il se trouve quelqu’un pour crier à l’abêtissement des masses », attaque Luc Debraine dans Le Temps. Nos références culturelles changent À en croire l’inventeur Daniel Hillis, ce n’est pas Google qui nous rend stupide. Chaîne du livre numérique.