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Dubescascuasportousante. La bigorexie, ou la dépendance au sport. Grégory Capra - Coach sportif La bigorexie est une conduite addictive liée au sport.
Une personne qui en souffre affirme ne plus pouvoir se passer de sport, et se sentir mal si elle est obligée de ne pas pratiquer. 1. Bigorexie : quelle est l'explication de ce symptôme compulsif ? La bigorexie peut toucher les sportifs amateurs comme les professionnels. On pourrait l'expliquer de manière chimique : le sport entraîne une libération d'endorphines, source d'un bien-être physique.
Mais cela ne peut suffire pour tout expliquer. Ce n'est pas forcément évident, puisque tout le monde peut ressentir le plaisir de la libération d'endorphines, tout le monde apprécie d'augmenter son estime de soi, et personne ne peut affirmer être totalement comblé affectivement ni se sentir magnifiquement beau dans sa tête ou dans le regard des autres ! Article - Dossier : corps, sport et dépendance. Publishing - Le Monde de l'intelligence - Le Monde de l'enfance. Loin des clichés, la pratique d’une activité physique intensive ou chronique à de nombreux effets bénéfiques sur notre matière grise.
Le sport nous rendrait euphoriques, éloignerait la dépression, créerait de nouveaux neurones dans certaines parties du cerveau, améliorerait nos capacités cognitives, et nous protégerait des maladies neurodégénératives. Revue de détail. Par Gauthier Andujar "Mens sana in corpore sano. " Un esprit sain dans un corps sain, disait Juvénal au début du IIe siècle de notre ère. La pratique régulière d'activités physiques agirait comme les antidépresseurs de nouvelles génération. Avant, au milieu, et à la fin de l’étude, l’intensité du trouble clinique de l’humeur de chaque participant a été mesurée par une version française de l’inventaire de dépression de Beck (Beck Depression Inventory, BDI-II) qui évalue la sévérité des symptômes dépressifs.
Elles ont des fonctions euphorisantes et feraient en sorte que ce stress ne soit pas trop traumatisant pour l’individu. Les effets psychologiques du sport. Lorsqu’il est pratiqué de façon compulsive, le sport peut mener à une dépendance que l’on appelle bigorexie.
Celle-ci est provoquée par un ensemble de facteurs d’ordre physiologique et psychologique différents pour chacun. Parmi les éléments déclencheurs de ce trouble, on retrouve les endorphines, les hormones responsables de la sensation d’euphorie et de bien-être ressentie après l’exercice. Comme il arrive avec la drogue, certains en deviennent dépendants au point de vouloir retrouver cette sensation le plus fréquemment possible. Des études tendent à démontrer que près du tiers des athlètes professionnels souffrent d’une forme plus ou moins sévère de bigorexie.
En effet, certains individus peuvent en arriver à développer un souci de la performance exagéré ou encore un besoin de combler un manque affectif par l’activité physique. La bigorexie et ses conséquences négatives - Une dépendance au sport : la Bigorexie. Mercredi 19 janvier 3 19 /01 /Jan 15:56 Il est de notoriété publique que le sport est bon pour la santé, il est même conseillé de le pratiquer régulièrement.
Alors pourquoi la bigorexie est-elle inquiétante ? Comme nous l'avons vu la bigorexie entraîne plusieurs conséquences sur la personne atteinte. Nous allons parler ici seulement des conséquences négatives qui sont, bien que nombreuses, assez négligeables en comparaison avec ce qu'apporte le sport comme bienfaits à l'organisme.
La plupart de ces conséquences sont entrainées par une trop grande quantité de dopamine dans le cerveau. Syndrome de Parkinson : c'est une maladie neurologique chronique affectant le système nerveux central responsable de troubles essentiellement moteurs d'évolution progressive Schizophrénie : psychose délirante chronique caractérisée par un autisme, une dissociation, un délire paranoïaque et générant une perturbation du rapport au monde extérieur Il y a également d'autres conséquences beaucoup plus. La bigorexie - Records sportifs surpassés, conséquences éventuelles engendrées! Endorphine, l'hormone du plaisir sportif.
Les endorphines, ou endomorphines, sont libérées par le cerveau, et plus précisément par l'hypothalamus et l'hypophyse dans les situations de stress, qu'il soit psychologique ou physique, mais de façon plus significative pendant et après la pratique du sport, notamment de la course à pied.
C'est un médicament anti-stress naturel à utiliser sans modération. Cette morphine endogène (produite par l'organisme) possède une structure moléculaire proche de celle des opiacées. Une fois sécrétée, elle se disperse dans le système nerveux central, les tissus de l'organisme et le sang et produit des effets bénéfiques contre angoisse, anxiété et dépression. Beta-endorphin. Page_presentation_autres_addictions_comportementales. Une dépendance au sport : la Bigorexie. Bigorexie, lorsque le sport devient addiction. Fous de sport : une addiction ? : Les news m de l'émission E=M6. Aujourd'hui 1 français sur 4 fait du sport au moins une fois par semaine.
Si pratiquer un sport est nécessaire à une bonne hygiène de vie, pour certain cela vire à l'obsession. Pourquoi? Voici toutes les réponses. Après une séance importante de sport, il est fréquent que l'on ressente une sensation de plaisir extrême. En effet, après un entraînement intensif, notre cerveau sécrète de l'endorphine, une hormone de plaisir. Mais il ne suffit pas de courir quelques mètres pour se sentir bien! Et certains sportifs deviennent addicts au sport ou plus précisément à cet état de bien être qu'ils connaissent après la pratique du sport. Fatigue, douleurs, problèmes cardio vasculaires, pourquoi certains sportifs vont-ils au delà de leurs limites ? Voici donc quelques conseils pour doser votre activité sportive. Addiction et dépendance : la bigorexie ou la dépendance au sport. Liens généraux sur la dépendance et l'isolement psy.