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Galaxie mystico-nazie

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Les Nazis, c'est horrible, mais les Mystico-Nazis, c'est "pulp".

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Esotérisme. FICTIONS. PROLONGEMENTS. ORGANISATIONS. Background historique mystico-nazi. Anthroposophie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'anthroposophie est un courant de pensée et de spiritualité créé au début du XXe siècle par Rudolf Steiner. Selon lui il s'agit d'une « science de l'esprit », une tentative d'étudier, d'éprouver et de décrire des phénomènes spirituels avec la même précision et clarté avec lesquelles la science étudie et décrit le monde physique. Cette démarche n'est toutefois pas reconnue comme une science, elle se fonde sur les premiers travaux philosophiques de Rudolf Steiner, dont les premiers ouvrages (Une théorie de la connaissance chez Goethe, Vérité et science, La philosophie de la liberté) sont consacrés à l'élaboration de son concept, qu'il rattache en particulier à Goethe, mais aussi à toute la tradition idéaliste allemande.

Les principes de l'anthroposophie ont été appliqués dans divers domaines, comme dans les écoles Steiner, l'agriculture biodynamique, la médecine anthroposophique. Étymologie[modifier | modifier le code] 1. 2. 3. 4. 5. 6. Schwartz-Bostunicht. Théosophie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Emblème de la société théosophique. Les cinq symboles visibles dans le sceau sont l'Étoile de David, l'Ânkh, la Sauvastika, l'Ouroboros et, au-dessus du sceau, le signe Aum. Autour du sceau sont écrits les mots : « Il n'y a pas de religion supérieure à la Vérité ».

Le terme théosophie fait référence à un système philosophique ésotérique à travers lequel l'être humain tente de connaître « le Divin » et les mystères de la Vérité. La « théosophie antique » est à distinguer de la « théosophie moderne » ou « théosophisme »[1] se référant à la Société théosophique. Théosophie antique[modifier | modifier le code] La théosophie (theosophia — en grec : theos, divin et sophia, sagesse) a été fondée par des auteurs de l'Antiquité. Pour Porphyre, le theosophos est « un être idéal unissant en lui-même la qualité d'un philosophe, d'un artiste et d'un prêtre du plus haut niveau »[2]. Théosophie moderne / Théosophisme[modifier | modifier le code] Rose-Croix. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Temple de la Rose-Croix, gravure du Speculum Sophicum Rhodostauroticum (Miroir de la sagesse des Rose-Croix) de Teophilus Schweighardt Constantiens (pseudonyme de Daniel Mögling), 1618. La Rose-Croix est un ordre hermétiste chrétien légendaire dont les premières mentions remontent au début du XVIIe siècle en Allemagne.

L'existence de l'ordre, et celle de son fondateur Christian Rosenkreutz, sont sujettes à controverse. Quoi qu'il en soit, à partir du XVIIIe siècle et jusqu'à aujourd'hui, de nombreux mouvements se sont réclamés de l'ordre de la Rose-Croix, ou se sont référés à la « tradition rosicrucienne » ou à l'« héritage de Christian Rose-Croix ». Leurs membres sont appelés « les rosicruciens ». Comme archétype de société secrète, immémoriale et toute-puissante, les rose-croix apparaissent dans la littérature ésotérisante[1], souvent comme successeurs des chevaliers du Graal et des Templiers. Introduction[modifier | modifier le code] Franc-maçonnerie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le mot franc-maçonnerie désigne un ensemble de phénomènes historiques et sociaux très divers formant un espace de sociabilité[1] qui recrute ses membres par cooptation[2] et pratique des rites initiatiques faisant référence à un secret maçonnique et à l'art de bâtir.

Difficilement traçable historiquement, elle semble apparaître en 1598 en Écosse[3] (Statuts Schaw), puis en Angleterre au XVIIe siècle. Elle se décrit, suivant les époques, les pays et les formes, comme une « association essentiellement philosophique et philanthropique », comme un « système de morale illustré par des symboles » ou comme un « ordre initiatique ». Organisée en obédiences depuis 1717 à Londres, la franc-maçonnerie dite spéculative – c'est-à-dire philosophique – fait référence aux rites des Anciens Devoirs de la maçonnerie dite opérative formée par les corporations de bâtisseurs qui édifièrent, entre autres, les cathédrales[4]. Histoire[modifier | modifier le code]

Franc-maçonnerie. Artur Dinter. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Dinter. Artur Dinter Artur Dinter (Mulhouse, 1876 ̶ Offenburg, Bade, 1948) était un écrivain, philosophe et homme politique allemand. Adepte d’abord du scientisme, il se fit ensuite le propagandiste d’un christianisme aryen (le Geistchristentum), fondant à cette fin une nouvelle église allemande unitaire, la Deutsche Volkskirche. Pour donner un fondement métaphysique à son virulent antisémitisme, il conçut une cosmogonie teintée de gnose et de néo-platonisme, où les Juifs endossaient le rôle de vecteurs d’esprits impurs et néfastes, appliqués à falsifier le message du Christ et à contrecarrer les efforts de purification des Aryens.

Biographie[modifier | modifier le code] Artur Dinter naquit à Mulhouse (Alsace) d’un père inspecteur des douanes et de son épouse Berta Hoffmann, tous deux originaires de Silésie, et reçut le baptême catholique. Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code] Mysticisme nazi. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le mysticisme nazi (ou l'ésotérisme nazi) est une appellation qui sert à désigner de manière globale un ensemble de doctrines florissantes en Allemagne avant ou pendant le régime nazi et mêlant le pangermanisme et l'aryanisme à des doctrines ésotériques.

Elles s'inspirent de théories développées en Allemagne à partir du début du XIXe siècle (Ariosophie, l'Armanisme, la Théozoologie, l'Armanen-Orden, l'Artgemeinschaft, etc…). Ce courant quasi-religieux consiste en fait en la combinaison du pangermanisme et racisme allemand avec l'occultisme, l'ésotérisme, et le paranormal et une philosophie de l'histoire qui est un messianisme sécularisé. Le nazisme ne se veut pas seulement une idéologie politique, mais aussi une vision globale du monde.

Ses racines plongent en effet pour une bonne part sur un ensemble de mythes raciaux et occultistes (mythes du Nouvel âge, ou de l’âge du verseau) développés à la fin du XIXe siècle et au début XXe siècle. Occultisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’occultisme désigne l'ensemble des courants de pensées décrivant la nature et l'origine suprasensible de l'homme et de l'univers. Par exemple, l'astrologie parle des influences astrales, le néo-occultisme traite avec Papus des « facultés occultes de l'Homme » et des « forces invisibles de la Nature[1] ». Le terme « occultisme » désigne plus généralement, en philosophie, le corps de doctrines et de pratiques liées aux occultistes, par exemple la radiesthésie, les tables tournantes, les cartomanciennes.

L'expression « sciences occultes » remonterait au titre d'un livre d'Eusèbe de Salverte, en 1829 (Des sciences occultes)[2]. Le mot « occultisme » en français ferait son apparition en 1842[3]. Dès 1884 l'occultiste Joséphin Péladan entend par « occultisme » : « l'ensemble des sciences occultes »[4]. En anglais, occultism date de 1881. Tentative de Définition[modifier | modifier le code] Qualités et vertus occultes[modifier | modifier le code] Adolf Hitler. Adolf Hitler ([ˈadɔlf ˈhɪtlɐ][n 1] Écouter) est un idéologue et homme d'État allemand, né le 20 avril 1889 à Braunau am Inn en Autriche-Hongrie (aujourd'hui en Autriche et toujours ville-frontière avec l’Allemagne) et mort par suicide le 30 avril 1945 à Berlin.

Fondateur et figure centrale du nazisme, il prend le pouvoir en Allemagne en 1933 et instaure une dictature totalitaire, impérialiste, antisémite, raciste et xénophobe désignée sous le nom de Troisième Reich. Dans les années 1920, dans un climat de violence politique, il occupe avec le parti nazi une place croissante dans la vie publique allemande, se présentant à la présidentielle contre Hindenburg et jusqu'à devenir chancelier le 30 janvier 1933, pendant la Grande Dépression. Son régime met très rapidement en place les premiers camps de concentration destinés à la répression des opposants politiques (notamment socialistes, communistes et syndicalistes). Origine du nom Hitler fut baptisé Adolphus Hitler[6].

Jeunes années Août 1914. Erik Jan Hanussen. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Origines[modifier | modifier le code] Bien que Hanussen ait prétendu être un aristocrate danois, il était en fait un Juif tchèque, né Hermann Steinschneider. Hanussen père, Siegfried Steinschneider (1858, Prostějov - 1910) était acteur et gardien d'une synagogue, et marié à Julie Kohn Antonie à Vienne, en Autriche. Carrière[modifier | modifier le code] Hanussen devint célèbre grâce à ses représentations à la Scala de Berlin où il accomplissait des performances d'hypnose et où il lisait dans les pensées des spectateurs. De nombreuses légendes abondent quant aux rencontres entre Hanussen et Adolf Hitler. En 1943, l’institution américaine Office of Strategic Services, dans le cadre de la rédaction d'un profil psychologique d'Hitler écrivait : « Durant le début des années 1920, Hitler reçut des leçons régulières de rhétorique et de psychologie de la foule d'un homme nommé Hamissen qui était aussi un astrologue et diseur de bonne aventure.

Voyance. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La boutique d'une voyante à Boston Historique[modifier | modifier le code] La voyance est une forme de divination dont on trouve l'existence dans les civilisations les plus anciennes. On trouve la mention de « voyants » (rishi) dans les textes védiques les plus anciens[2],[3]. Chez les Grecs, la possibilité de prédire l'avenir provient de l'idée que les dieux, de préférence quand on les priait, accordaient régulièrement des révélations par l'intermédiaire d'augures. Mantique[modifier | modifier le code] Dans l'ancien testament de la Bible, une loi hébraïque interdit aux tribus d'Israël de faire usage de la divination (Deutéronome 18.10-12[5]) "Qu'on ne trouve chez toi personne qui fasse passer par le feu son fils ou sa fille, qui s'adonne à la divination, aux augures, aux superstitions et aux enchantements, qui ait recours aux charmes, qui consulte les évocateurs et les sorciers, et qui interroge les morts.

" Un portrait de Nostradamus. Poème wotaniste. George L. Mosse. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. George Mosse lors d'une invitation à l'Université de Cambridge (1991). Il a exercé une forte influence sur les historiens du fascisme et du nazisme dans le monde anglo-saxon mais aussi en Italie et, plus tard, en Allemagne[1] mais le monde universitaire francophone l'a largement ignoré de son vivant[2]. Biographie[modifier | modifier le code] En 1933, il fuit en Suisse avant de s'installer en Angleterre avec sa famille en raison de la montée du national-socialisme. Il obtint un BS du Haverford College (Pennsylvanie) en 1941 et un PhD de Harvard en 1946. Un historien des mentalités et particulièrement du fascisme[modifier | modifier le code] Ses premiers travaux ont porté sur la Réforme et l'Angleterre du XVIe siècle. Historien des mentalités, il est en particulier à l'origine du concept de « brutalisation » appliqué aux sociétés qui sortent de la Guerre 1914-1918.

Dans son livre La révolution fasciste. Œuvres[modifier | modifier le code] Hermann Rauschning. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Hermann Rauschning en 1933. Hermann Rauschning (né à Thorn (aujourd'hui Toruń, en Pologne) le 7 août 1887 - mort à Portland, Oregon, le 8 février 1982) est un essayiste et homme politique allemand, membre du Parti national-socialiste des travailleurs allemands. Président du Sénat de Dantzig, il démissionne en 1935, et doit fuir l'Allemagne. Exilé en Suisse, en France, puis aux États-Unis, il devient un opposant au régime nazi, et écrit plusieurs ouvrages dans lesquels il cherche à avertir ses contemporains de la nature nihiliste du mouvement dirigé par Adolf Hitler.

Biographie[modifier | modifier le code] Descendant d'une famille de propriétaires terriens de Prusse-Orientale, appartenant à l'aristocratie militaire des Junkers, il intègre le corps des Cadets prussiens. Il fuit d'abord en 1936 en Suisse, émigre en France en 1938 et part l'année suivante au Royaume-Uni. Hitler m'a dit, une source discréditée[modifier | modifier le code] Pierre Ayçoberry. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pierre Ayçoberry, né le , décédé le , est un historien français, professeur émérite à l'université Strasbourg II, après avoir été maître-assistant à l'université Paris-X Nanterre. Ouvrages[modifier | modifier le code] L'Unité allemande (1800-1871), Paris, PUF, coll. « Que sais-je ? », 1972 ; plusieurs rééditions dont 1982 (ISBN 2-13-037238-4) ; 1992, 127 p.La Question nazie, Les interprétations du national-socialisme, 1922-1975, Seuil, coll. « Points Histoire », 1979, 314 p.

(ISBN 2-02-005145-1)Cologne entre Napoléon et Bismarck, la croissance d'une ville rhénane, Aubier-Montaigne, « Collection historique », 1981 (ISBN 2-7007-0261-1) ; rééd. 1992, 415 p.avec Marc Ferro (dir.), Une Histoire du Rhin, avec des contributions de Jean-Claude Ailleret, Nicole Belmont, Gérard Criqui et al., Paris, J. -P. Ramsay, 1981, 459 p. Liens externes[modifier | modifier le code] Alan Bullock. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Bullock. Sir Alan Bullock (, Trowbridge, Angleterre - , Oxford) est un historien britannique.

Il est notamment l'auteur d'une biographie de Hitler, Hitler: A Study in Tyranny, publiée en 1952 et basée sur des retranscriptions du procès de Nuremberg. Il est fait chevalier en 1972, puis créé pair à vie en 1976 en tant que Baron Bullock, de Leafield dans le comté d'Oxford. Ian Kershaw. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ian Kershaw en 2012. Sir Ian Kershaw, né le à Oldham, est un historien britannique connu pour ses travaux sur la Seconde Guerre mondiale, Adolf Hitler et le nazisme.

Il est l'auteur d'une biographie en deux tomes qui est une des principales références actuelles sur le dictateur allemand, ainsi que de l'ouvrage intitulé Hitler – Essai sur le charisme en politique, qui explique comment la dictature nazie a pu s'installer. Il en voit les causes primordiales dans Adolf Hitler lui-même, la forte xénophobie traditionnelle, une société déboussolée, des élites inconscientes et autoritaires, enfin le traumatisme de la Première Guerre mondiale et la guerre civile qui a suivi : l'une des avancées marquantes de son analyse du système hitlérien repose sur la notion de pouvoir charismatique. Éléments biographiques[modifier | modifier le code] Ian Kershaw fait ses études supérieures à Liverpool et par la suite au Merton College à Oxford.

Joachim Fest. Alfred Rosenberg. Hermann Göring. Richard Walther Darré. Heinrich Himmler. Heinrich Himmler. Nazism and occultism. Le Matin des magiciens. Louis Pauwels. Jacques Bergier.