background preloader

Vie politique sous la République

Facebook Twitter

République romaine. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

République romaine

République romaineRes Publica Romana(la) 509 av. J. -C. – 27 av. Les Institutions romaines sous la République (M. Tillard) L'organisation censitaire : La cité romaine, comme l'Italie toute entière, est un tout cohérent et fortement structuré : c'est une société qui tend à s'organiser en classes et ordres bien structurés et juridiquement reconnus.

Les Institutions romaines sous la République (M. Tillard)

Mais c'est aussi une société profondément inégalitaire. Les centuries : Le census est fondamental : opération quinquennale depuis 443 av. Institutions de la République romaine. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Institutions de la République romaine

Les institutions de la République romaine ne sont pas toutes fondées dès l'établissement du régime républicain. Le développement des différentes assemblées et magistratures a été progressif et hétérogène, elles sont créées au fil du temps et selon les besoins. Il faut attendre 180 av. J. -C. pour que soit définie par la loi une organisation partielle des magistratures, qui entérine la succession et la hiérarchisation de certaines d'entre elles[1]. Liste de lois romaines. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Liste de lois romaines

Généralités[modifier | modifier le code] Définition d'une loi romaine[modifier | modifier le code] Quelques lois générales[modifier | modifier le code] The Roman Law Library (Lingua Franco-Gallica) Organigramme_république_romaine. La séparation des pouvoirs  <p class="video_texte"> L'utilisation de javascript est obligatoire sur cette page pour voir l'animation.

La séparation des pouvoirs 

</p> Élaborée par Locke (1632-1704) et Montesquieu (1689-1755), la théorie de la séparation des pouvoirs vise à séparer les différentes fonctions de l’État, afin de limiter l’arbitraire et d’empêcher les abus liés à l’exercice de missions souveraines. Si cette théorie est souvent invoquée dans les régimes démocratiques, elle a été plus ou moins rigoureusement mise en pratique. Tite-Live : Ab urbe condita. 3-72 LIVRE PREMIER SOMMAIRE. - Descente d'Énée en Italie; ses exploits.— Règne d'Ascagne à Albe, et des Silvius ses successeurs. — La fille de Numitor, surprise par Mars, devient mère de Romulus et de Remus. — Meurtre d'Amulius. — Fondation de Rome. — Établissement du sénat. — Guerre contre les Sabins.— Consécration de dépouilles opimes à Jupiter-Feretrien. — Division du peuple en curies. — Défaite des Fidenates et des Véiens. — Apothéose de Romulus. — Numa Pompilius institue les cérémonies religieuses; élève un temple à Janus; fait la paix avec tous les peuples voisins, et ferme, le premier, les portes de ce temple.

Tite-Live : Ab urbe condita

A la faveur des entretiens nocturnes qu'il feint d'avoir avec la nymphe Égérie, il inspire à ce peuple farouche des sentiments religieux. — Tullus Hostilius porte la guette chez les Albains. — Combat des Horaces et des Curiaces. — Horace absous. — Supplice de Vettius Suffetius. — Ruine d'Albe; incorporation de ses habitants dans Rome. 759-788 partim NOTES SUR LE LIVRE I. Cicéron : de republica : livre II  Liber Secundus I.

Cicéron : de republica : livre II 

Ut omnes igitur vidit incensos cupiditate audiendi, ingressus est sic loqui Scipio: Catonis hoc senis est, quem, ut scitis, unice dilexi maximeque sum admiratus cuique vel patris utriusque iudicio vel etiam meo studio me totum ab adulescentia dedidi; cuius me numquam satiare potuit oratio; tantus erat in homine usus rei publicae, quam et domi et militiae cum optime, tum etiam diutissime gesserat, et modus in dicendo et gravitate mixtus lepos et summum vel discendi studium vel docendi et orationi vita admodum congruens. II. Hoc cum omnes adprobavissent, Quod habemus, inquit, institutae rei publicae tam clarum ac tam omnibus notum exordium quam huius urbis condendae principium profectum a Romulo?

LES CONFLITS POLITIQUES ET SOCIAUX

Les institutions romaines : les patriciens. Entrée dans le site - index des institutions Ce mot dérive de pater, qui dans les premiers temps signifie toujours un patricien et dans les temps postérieurs de la république se rencontre souvent chez les auteurs romains dans le sens de sénateur.

les institutions romaines : les patriciens

Les patricii signifie donc ceux qui font partie des patres "rex patres eos (senatores) voluit nominari, patriciosque eorum liberos". Cicéron et Denys font l’erreur de supposer que les patricii sont seulement la descendance des patres dans le sens de sénateurs et qu’ils leur sont nécessairement liés par le sang. Patres et patricii sont à l'origine des mots identiques. Les mots patres et patricii ont exactement la même signification et certains anciens croient que l'on donne le nom de patres à cette classe particulière de la population romaine du fait qu'ils sont pères des familles ; d'autres disent qu’on les a appelé ainsi pour leur âge ; ou parce qu'ils distribuent la terre aux citoyens plus pauvres, comme les pères le font avec leurs enfants.

Institutions romaines : le Sénat. Origine du sénat et nombre de sénateurs Dans toutes les républiques de l'antiquité le gouvernement se divise entre un sénat et une assemblée populaire.

Institutions romaines : le Sénat

Quand il y a un roi à la tête de l’Etat, comme à Sparte, le roi possède un peu plus que l’exécutif. Dans l'antiquité, on considère toujours un sénat comme une assemblée des anciens : c’est en fait la signification du senatus romain comme de la gerousia spartiate. Ses membres sont élus parmi les nobles de la nation. Institutions romaines : matrimonium, connubium, nuptiae. MATRIMONIUM.

Institutions romaines : matrimonium, connubium, nuptiae

On appelle le mariage romain Justae Nuptiae, Justum Matrimonium, Legitimum Matrimonium, quand il est conforme au Jus Civile ou à la loi romaine. Un mariage était Cum conventione uxoris in manum viri, ou sans cette conventio. Dans les deux cas il doit y avoir connubium entre les parties et consentement : l’homme doit également être pubes, et la femme viri potens. Cursus honorum. Expression latine signifiant suite des honneurs ou carrière des honneurs et désignant, à Rome, l'ordre dans lequel devait s'effectuer la carrière publique et les conditions exigées pour en recevoir les magistratures. 1. Des origines au début du iie siècle avant J. -C. Il s'établit très tôt et spontanément une hiérarchie des valeurs et des dignités parmi les magistratures, les plus anciennes et les plus influentes l'emportant sur les autres ; l'usage se forma de commencer une carrière par les plus humbles pour l'achever par les plus brillantes.

Toutefois, jusqu'à la fin du iiie siècle avant J. Marielle de Franchis -