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Technologies Romaines

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Pourquoi le béton romain antique dure des millénaires, tandis que le nôtre s'effondre en quelques décennies. Technologie de la Rome antique. Cet article contient trop de lieux communs sans analyse ni source un travail inédit ou des déclarations non vérifiées(juin 2015). Vous pouvez aider en ajoutant des références ou en supprimant le contenu inédit. Voir la page de discussion pour plus de détails.

La technologie romaine est un des aspects les plus importants de la civilisation romaine. Cette technologie a été certainement la plus avancée de l'Antiquité. Elle a permis la croissance démographique de Rome, mais lui a aussi donné sa puissance économique et militaire. De très nombreuses techniques ont été oubliées après la chute de l'Empire romain suite aux grandes migrations. La technologie romaine est issue de redécouverte ou d'importation de nouvelles techniques dans des domaines aussi divers que l'ingénierie civile, la construction navale ou l'élaboration de matériaux.

Acquisition de nouvelles technologies[modifier | modifier le code] Influences étrangères[modifier | modifier le code] Moulin à eau Portail de la Rome antique. Ciment et béton romain haute performance, bâtiment durable et résistant – Institut Géopolymère. Le Mystère du Béton Romain Dévoilé Le Colisée, Rome, 2è s. ap. J. -C (gauche) Le Panthéon, Rome, 2è s. ap. J. Les experts en béton se demandent aujourd’hui comment faire un béton durable. Argile kaolinitique calcinée, en latin testaPierres volcaniques calcinées, en latin carbunculus Voir dans #D Les mortiers de pouzzolanes artificielles chez Vitruve: évolution historique et archirtecturale et #E À la recherche du Carbunculus .

En plus de ces ingrédients réactifs artificiels, les Romains ont employé un sable volcanique réactif naturel nommé harena fossicia à tort traduit comme le sable de fosse ou simplement le sable par des auteurs modernes. La technologie du béton romain était plus efficace que la construction traditionnelle avec la pierre de taille. Temps de construction pour les bâtiments en dôme faits en béton ou en pierre taillée Analyse des Ciments Romains à Haute Performance Voir l’analyse scientifique sur des ciments Romains dans Archéo-analogues.

Archaeological Analogues (Roman Cements) – Geopolymer Institute. Long-Term Stability of Geopolymeric Materials The task LONGTERM in the GEOCISTEM project dealt with the better understanding of long-term durability. It is difficult to predict extended durability on the basis of operating experience, laboratory experimentation and prototype testing. Two thousand years are generally accepted as a sufficient amount of time to permit decay of fission products that represent the most hazardous fraction in low-level rad-waste material. The present ongoing research involves geological, chemical and archaeological aspects by studying the durability of archaeological analogues and understanding their chemical make-up. Ancient Roman concrete structures like the Coliseo (2.000 years old) are still functioning today and thereby could provide historical documentation of the extended durability of geopolymeric cements.

A sampling of archaeological mortars and concretes dating back to the 3rd century BC and later was carried out in Rome and Ostia, Italy. Unités de mesure romaines. Mesures de longueur[modifier | modifier le code] Généralités[modifier | modifier le code] Les noms des plus petites mesures de longueur de l'antiquité romaine correspondent à des parties du corps humain.

Beaucoup d'entre elles ont un équivalent grec, par exemple le degré (gradus), correspond au pas simple des grecs, et le pas (passus) correspond au pas double des grecs[1] (le gradus est surtout utilisé en trigonométrie et géodésie[2]). L'unité de référence est le pied (pes)[3], dont un étalon était conservé dans le temple de Junon Moneta, d'où l'appellation parfois de pes monetalis[1]. Ce pied romain vaut environ 29,5 cm[1] (la valeur exacte varie suivant les historiens[4]), il est possible que sa valeur ait légèrement diminué au cours du temps[5]. Le pied romain se divise en 16 doigts, doigt (digitus) qui est la plus petite unité[3]. Le système traditionnel de mesures de longueur romaine est décrit dans le tableau suivant. La lieue gauloise[modifier | modifier le code] Constructions des aqueducs romains. Parmi les premiers problèmes à résoudre dans la construction d'un aqueduc, d'unconduit d'eau, fut le choix de la source, qui dépend non seulement de la qualité de l'eau, mais aussi de la puissance et de la régularité du débit, ainsi que et la position géographique, l'altitude, puisque l'écoulement ne pouvait être garanti que par la pente du conduit, la gravité étant la seule force permettant l'écoulement de l'eau.

Autrement dit, la source doit se trouvée raisonnablement plus haute que le point d'arrivée. Le Pont du Gard Un aqueduc commençait généralement par un bassin de collecte construit avec des digues. Pour les eaux souterraines, puits et tunnels sont creusés pour former un conduit. Les conduits privilégiés étaient souterrains, en creusant la roche. Dans quelques cas, un système de siphon inversé était mis en oeuvre, en accumulant une certaine quantité de pression, ce qui permet à l'eau de remonter une pente, après une pente descendante plus importante. Source : article wikipedia. Technique de la fresque.