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Fin de vie

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Euthanasie : pour ou contre ? What can we expect of health in old age? MCT/Contributor I am the founder and a director of DGI Clinical; I have consulted for Roche and received fees for speaking from Nutricia.

What can we expect of health in old age?

La loi Claeys-Leonetti sur la fin de vie définitivement adoptée. Les parlementaires ont définitivement adopté, mercredi, un texte instaurant un droit à la « sédation profonde et continue ».

La loi Claeys-Leonetti sur la fin de vie définitivement adoptée

LE MONDE | • Mis à jour le | Par François Béguin Le Parlement a définitivement adopté mercredi 27 janvier une proposition de loi PS-LR accordant de nouveaux droits aux personnes en fin de vie, plus de dix ans après la loi Leonetti de 2005. Adoptée à l’issue d’un long et houleux processus d’élaboration entamé en 2012, elle ne constitue ni l’avancée décisive espérée par les partisans d’un « droit à mourir » ni le statu quo défendu par les pro-vie. Ni euthanasie, ni suicide assistée Stricte traduction d’un engagement de campagne du candidat Hollande en 2012 qui promettait le droit à une « assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité », le texte n’autorise ni l’euthanasie ni le suicide assisté, au grand dam d’une partie des parlementaires de gauche.

Autre grande réforme sociétale du quinquennat Pour les patients atteints d’une « affection grave et incurable » L'euthanasie, c'est aujourd'hui  Aujourd'hui 27 janvier 2016 sera adoptée à l'Assemblée nationale puis au Sénat la proposition de loi créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie.

L'euthanasie, c'est aujourd'hui 

Ainsi s'achève le parcours sinueux d'une concertation nationale lancée le 17 juillet 2012 par François Hollande. Avec la loi créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie, notre société fait aujourd'hui le choix de légaliser une autre approche du mourir. Il convient désormais d'intégrer le modèle d'un "bien mourir" opposé à aux "mal mourir", figure emblématique de l'inacceptable et de l'insupportable ainsi fustigés. Il s'avère en fait plus avantageux d'ériger des symboles que de s'investir au quotidien pour qu'évoluent les mentalités et les pratiques contestées depuis plus de trente ans par ceux qui assument la responsabilité politique de l'humanité du soin jusqu'au terme de la vie.

Les postures compassionnelles et les résolutions incantatoires ont imposé leurs règles. Loi sur la fin de vie : le Sénat pose ses limites. Les sénateurs de droite ont limité le nouveau droit à la sédation en fin de vie pour éviter toute « ambiguïté ».

Loi sur la fin de vie : le Sénat pose ses limites

En pleine bataille sur l'affaire Vincent Lambert, ils ont également adopté un amendement qui sonne comme une réponse à la Cour européenne des droits de l'homme. Le Sénat réécrit la nouvelle loi sur la fin de vie. Le texte est «dénaturé» ou «vidé de son sens», dénoncent les uns, tandis que les autres saluent une «clarification». Les sénateurs ont décidé de mettre leur grain de sel dans ce texte du duo Alain Claeys (PS) et Jean Leonetti (Les Républicains), adopté à une très grande majorité à l'Assemblée nationale en mars. Mercredi, ils ont notamment voté deux amendements qui limitent la portée de cette évolution législative.

Loi sur la fin de vie, pari tenu pour le tandem Claeys-Leonetti. Ses deux corapporteurs sont parvenus à réunir droite et gauche autour d’un même texte.

Loi sur la fin de vie, pari tenu pour le tandem Claeys-Leonetti

Le pari était osé. Et pas gagné d’avance. Fin de vie : ce qui change pour les patients. « Dormir avant de mourir pour ne pas souffrir », résume Jean Leonetti, co-auteur de la proposition de loi.

Fin de vie : ce qui change pour les patients

Photo d’archives AFP François Hollande a réussi son pari. Après les débats sur le mariage pour tous qui avaient divisé l’Assemblée et le pays, le gouvernement est parvenu à faire adopter quasi unanimement un texte consensuel sur le délicat sujet de la fin de vie. Les députés ont adopté hier à une écrasante majorité, par 436 voix contre 34, et en dépassant le clivage gauche-droite, la proposition de loi d’Alain Claeys (PS) et Jean Leonetti (UMP) qui instaure un droit à une sédation profonde pour les malades en phase terminale. Endormissement final « Dormir avant de mourir pour ne pas souffrir ». Les patients atteints d’une affection grave et incurable pourront également y avoir recours s’ils décident d’arrêter leur traitement, choix qui risque d’entraîner leur décès à court terme.

Pas d’euthanasie La loi n’autorise ni l’euthanasie, ni le suicide assisté. Loi relative à la fin de vie: après la position du Sénat un autre appel à d'indispensables clarifications  FIN DE VIE - Les observations qui suivent ont été présentées à la commission des lois du Sénat au cours de mon audition le 18 mai 2015.

Loi relative à la fin de vie: après la position du Sénat un autre appel à d'indispensables clarifications 

Elles présentent, à partir des travaux du Groupe de concertation éthique & fin de vie, un commentaire des articles de la Proposition de loi créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie adoptée en première lecture à l'Assemblée Nationale le 17 mars 2015. Comme l'affirment les sénateurs, cette proposition de loi justifie désormais d'indispensables clarifications. Cette initiative de restitution publique des travaux d'un groupe universitaire de réflexion éthique intervient dans un contexte qui lui confère une pertinence : la présentation le 27 mai par la commission des Affaires sociales du Sénat des amendements qui seront discutés les 15 et 16 juin, ainsi que l'arrêt dans quelques jours, le 5 juin, de la Cour européenne des droits de l'homme concernant M. Vincent Lambert. Quelques observations d'ordre éthique « Art. Close. FS_Euthanasia_FRA.pdf.

Affaire Vincent Lambert.