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Aesthetes, Decadents, Art for Art's Sake

The Motif of Inversion in the Importance of Being Earnest. Leo Strauss. Double entendre. Lodgings to Let, an 1814 engraving featuring a double entendre.

Double entendre

He: "My sweet honey, I hope you are to be let with the Lodgins! " She: "No, sir, I am to be let alone". A double entendre (/dʌbᵊl ɒnˈtɒndʒrə/, /duː-/, /-ʒrə/; French pronunciation: ​[dubl ɑ̃.tɑ̃dʁ(ə)]) is a figure of speech or a particular way of wording that is devised to be understood in either of two ways, having a double meaning. Typically one of the meanings is obvious, given the context whereas the other may require more thought. The innuendo may convey a message that would be socially awkward, sexually suggestive or offensive to state directly (the Oxford English Dictionary describes a double entendre as being used to "convey an indelicate meaning", whilst Longman Dictionary of Contemporary English defines it as "a word or phrase that may be understood in two different ways, one of which is often sexual").[1]

Adopt vs. adapt : Choose Your Words. "Adopt, adapt, and improve," says the thief in a Monty Python skit when he robs a lingerie shop instead of a bank.

adopt vs. adapt : Choose Your Words

Adopt is to take something over, and to adapt is to change something to suit your needs. It's helpful advice when you ask for money and get a pair of granny panties. The robber didn't invent the motto, it's from the Round Table Club, and it comes from a speech made by the Prince of Wales in 1927. Doublespeak. Origins and concepts[edit] The term "doublespeak" originates in George Orwell's book Nineteen Eighty-Four.

Doublespeak

Parménide. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Parménide

Parménide d'Élée (Παρμενίδης) Philosophe grec Antiquité Parménide Biographie[modifier | modifier le code] On ne connaît pas avec exactitude les dates de naissance et de mort de Parménide. Parménide était le fils de Pyrès (ou Pyrrhès)[4]. Doctrine[modifier | modifier le code] Parménide a écrit en vers un traité De la nature ; selon la Souda, il aurait également écrit des œuvres en prose, mais ce point est controversé. Parménide divisait la philosophie en deux parties nettement opposées, la vérité, (ἀλήθεια) et l'opinion (δόξα) . « Χρεὼ δέ σε πάντα πυθέσθαι ἠμέν Ἀληθείης εὐκυκλέος ἀτρεμὲς ἦτορ ἠδὲ βροτῶν δόξας, ταῖς οὐκ ἔνι πίστις ἀληθής. » « Apprends donc toutes choses, Et aussi bien le cœur exempt de tremblement Propre à la Vérité à l'orbe pur, Que les opinions des mortels, dans lesquelles Il n'est rien qui soit vrai ni digne de crédit. » Otobiographies, de Jacques Derrida, et l'invention du lecteur. Est parue chez Galilée, en février 2005, une nouvelle édition d’Otobiographies (après celle de 1984 chez le même éditeur).

Otobiographies, de Jacques Derrida, et l'invention du lecteur.

Ce qui donne l’occasion de découvrir ou de relire ce livre magnifique de cent vingt pages, qui porte comme sous-titre : « L’enseignement de Nietzsche et la politique du nom propre ». Il s’agit, on le sait, du texte intégral d’une conférence prononcée en français en 1976 à l’Université de Virginie, puis à Montréal en 79. Légitimité de la signature Du coup, les trois chapitres qui suivent - la part du livre la plus importante - et qui sont consacrés à Nietzsche et à « la politique du nom propre » donneraient volontiers l’impression d’une suite impertinente, n’était le fait que la partie I a déjà levé, comme l’air de rien, la question centrale de tout le propos : qu’est-ce donc qui fonde la légitimité d’une signature : Il n’y avait pas de signataire, en droit, avant le texte de la Déclaration qui reste lui-même le producteur et le garant de sa propre signature.

Ekphrasis. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Ekphrasis

Une ekphrasis[2], au pluriel : ekphraseis[3] (grec ancien εκφραζειν, « expliquer jusqu'au bout »)[4], est une description précise et détaillée. Dans l'Antiquité, le terme désigne toute évocation vivace d'un sujet donné[5]. À l'époque moderne, les manuels regroupant les figures de style restreignent l'ekphrasis aux évocations d'un objet ou d'une œuvre d'art, réelle ou fictive, description souvent enchâssée dans un récit. L'ekphrasis classique peut correspondre sur le plan du style à l'hypotypose (description animée)[réf. nécessaire]. Sens antique et sens moderne[modifier | modifier le code]