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L'Uberisation expliquée à mon chef | L'Avenir Appartient. Un même système, obéissant aux mêmes lois, peut se comporter très différemment en fonction de l'échelle, car des phénomènes qui étaient auparavant masqués ne deviennent plus négligeables. Prenez de l'eau par exemple, dans un verre. La surface est lisse et plate. Pourtant, si vous en faites tomber une goutte sur la table, vous la verrez ronde et rebondie. L'univers n'a bien entendu pas changé entre temps, les lois de la physiques sont les mêmes. Simplement, cette incohérence s'explique par des forces capillaires qui empêchent la goutte de s'étaler complètement. Nous avons tous appris à jouer au marchand ou à la marchande étant petit. On étend facilement le concept à la notion de service.

Lorsque le coût de transaction s'effondre, avec les mêmes règles du marché, nous voyons apparaitre des phénomènes nouveaux entrer dans la danse. 1. 2. Voici les termes de l'alliance : - Vous allez travailler pour moi, sans compensation financière Sur Amazon on note les livre, sur Uber les chauffeurs. 3. La banalisation des exponentielles et des disruptions. La dernière édition de la conférence Hub Forum lundi 5 et mardi 6 octobre à l’Espace Cardin de Paris, organisée par le Hub Institute de Vincent Ducrey et Emmanuel Vivier (mes photos, les vidéos en replay) était un bel événement. Il rassemblait 1600 participants et la bagatelle de 80 intervenants avec un mix de fournisseurs de technologies de la communication digitale, d’agences de communication et de témoignages clients.

On pouvait à la fois y rencontrer une part de l’écosystème du digital et aussi s’y faire une idée des tendances du moment dans le croisement entre digital, marketing et communication. Le thème de ce Hub Forum était “Disrupt or be disrupted”, un sujet général, occasion de décrypter avec un peu de délectation le baratin du moment, un exercice que vous avez l’habitude d’observer sur ce blog depuis longtemps. Je vais reprendre pour ce faire le résumé de l’événement par ses organisateurs et évoquer quelques-unes des interventions que j’ai pu entendre. Non ! La banque est le secteur le moins rentable du monde. Le consultant en stratégie Jean Estin (Estin & Co) a la particularité de toujours se placer dans des perspectives à long terme, et ce de façon concise et percutante. Une double caractéristique qui fait de cet ancien du BCG la discrète tête pensante de nombre de grands dirigeants d’entreprises.

Dans une note de 7 pages, agrémentée de quelques graphiques, le gourou retrace une histoire du capitalisme depuis 1989 sur une thématique simple: quelles sont les entreprises qui rapportent le plus à leurs actionnaires? Dans le jargon des stratégistes, on appelle cela la « création de valeur ». La mesure utilisée est celle du total shareholder return (TSR), qui cumule tout ce qu’une action peut rapporter à celui qui la détient, c’est-à-dire le dividende, les actions gratuites, la plus-value... Estin a donc pris les 250 plus grandes sociétés occidentales et calculé ce qu’elles rapportaient vraiment chaque année à leurs actionnaires. Réponse: beaucoup d’argent. Une règle intangible du capitalisme? Nouvelles technologies + bien être + éthique = l’équation impossible. Sachant qu’un téléphone portable consomme en moyenne durant sa vie autant d’énergie qu’un avion sur 57 kilomètres et génère autant de gaz à effet de serre qu’une voiture à essence sur 85 kilomètres, peut-on vraiment être écolo et connecté ?

Justine tente de résoudre l’équation. Moi je suis super écolo : je mange des graines pour manger moins de viande, je met 4 pulls pour baisser le chauffage et sur mon vélo, j’ai une lampe à dynamo. Par contre, en ce moment même, je suis non seulement sur mon ordinateur avec 5 onglets ouverts, mais en plus mon smartphone est posé a une vingtaine de centimètres de ma main afin de laisser un délai raisonnable entre la prochaine notification et le moment ou je vais pouvoir en prendre connaissance.

Infomania, technostress, nomophobie… la dépendance aux smartphones a même son vocabulaire clinique. Photo Repairage. Mais nous ne sommes pas les seuls à devenir dingues, la planète aussi. Un truc qui a tendance à m’énerver, c’est l’obsolescence programmée. Stupidhackathon : le hackathon des idées à la con. Coups de com, exploitation sans contrepartie, exercice inutile, esclavage à peine déguisé... de plus en plus de voix s’élèvent pour critiquer le système des hackathons, soupçonnés de faire beaucoup de bruit pour pas grand-chose.

Mais les 9 et 10 mai s’est tenue à San Francisco la nouvelle édition du seul hackathon qui fasse encore rêver : « Le hackathon des idées pourries et trucs à la con dont personne n’a besoin » (« Stupid Shit No One Needs & Terrible Ideas Hackathon »). Capture d’écran du site « Stupid Shit No One Needs & Terrible Ideas Hackathons » Le point de départ, explique l’un des fondateurs, Sam Lavigne, c’est tout simplement l’inanité de la majeure partie des projets développés pendant les vrais hackathons : Développé par Lavigne et sa comparse Amelia Winger-Bearskin, le hackhathon Stupid Shit No One Needs & Terrible Ideas est donc le premier à assumer pleinement l’inutilité de ses projets. Parmi lesquels : Holdr : l’appli qui vous indique quand vous tenez votre téléphone.

Li Edelkoort: «L’industrie de la mode a creusé sa tombe» Li Edelkoort, l’un des plus influents oracles de tendance, prédit la mort de la mode et de son système Il faut un certain courage pour faire la nécrologie critique de ce qu’on aime, et plus encore, de ce qui nous fait vivre. Li Edelkoort, Néerlandaise de 65 ans et Parisienne d’adoption, a fait de la mode sa vie, au point d’être aujourd’hui l’un des oracles de tendance les plus influents au monde. Elle vient de publier Anti-Fashion, un manifeste pour la prochaine décennie, un argumentaire en dix points qui proclame la mort de l’industrie de la mode telle que nous la connaissons aujourd’hui. En huit pages, elle explique comment le système dans son ensemble travaille depuis des décennies à son autodestruction.

Elle évoque les écoles de stylisme qui élèvent des divas du catwalk à l’heure où elles devraient former des designers industriels. Elle dit, aussi, à quel point les réalités sociales et les aspirations individuelles sont loin de ce que produit ce système aujourd’hui. Coworking Paris : Bureaux, Terrasse, Terrain de Tennis ! Paris 11ème. Espace de bureaux partagés avec un grand OpenSpace, 3 Salles de réunion, terrasse de 200m2, espace de déjeuner, etc) avec des sociétés Hightech (Informatique, jeux vidéos, etc.) sur 750 m2. Entre Bastille et Aligre, dans un passage extrêmement calme, accueillant et lumineux.

Espace neuf aménagé pour un travail collaboratif. Grand, aéré, climatisé, proche de très nombreux commerces et restaurants (certains valent vraiment le détour). Terrains de tennis et salles de sports mitoyens. Douche dans les bureaux. Une terrasse privative de 200 m2 et une cave voutée et réaménagée (cuisine, salle de resto, baby-foot) permet de travailler dans les meilleures conditions. Nos équipes travaillent sur place, principalement dans le développement de logiciels et de jeux vidéos. Offre All Inclusive à de 400 ou 450 € HT / mois / poste selon l'espace. Réduction possible à partir de 3 postes. Tout est inclus, vous n'avez plus qu'à travailler : - mobilier neuf haut (bureau partagé de grande taille, fauteuil) Les neuf talents des gens qui réussissent mieux que les autres.

Pourquoi avez-vous si bien réussi à atteindre certains de vos objectifs, mais pas d’autres ? Si vous n’êtes pas sûr de le savoir, vous êtes loin d’être le seul dans ce cas. Il s’avère que même des gens brillants, des professionnels hautement accomplis, sont tout à fait incapables de comprendre pourquoi ils réussissent ou échouent. La réponse intuitive – le fait que par prédisposition les gens possèdent certains talents et que d’autres leur font défaut – n’est en réalité qu’un élément du puzzle. En fait, des décennies de recherches sur le succès suggèrent que les gens qui réussissent atteignent leurs buts pas simplement en raison de ce qu’ils sont, mais plus souvent en raison de ce qu’ils font. 1. Quand vous vous fixez un but, essayez d’être aussi précis que possible : « Perdre 5 kilos » est un meilleur objectif que « Perdre du poids », car cela vous donne une idée claire de ce à quoi ressemble la réussite. 2. 3. 4. 5.

Showcase. The Man In The High Castle - Série TV 2015.