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Europe

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ACTA: pourquoi la commission a voté contre la saisine de la Cour de justice? Une proposition recommandant que le Parlement soumette l'accord commercial anti-contrefaçon (ACTA) à la Cour européenne de justice a été rejetée en commission du commerce international, mercredi, par 21 voix contre, 5 voix pour et 2 abstentions.

ACTA: pourquoi la commission a voté contre la saisine de la Cour de justice?

Le coordinateur du groupe PPE, Daniel Caspary (DE), a expliqué que les députés du PPE ont voté contre la saisine de la Cour européenne de justice pour l'ACTA car "à l'heure actuelle, il n'est pas nécessaire d'agir en ce sens, vu que le dossier sera de toute manière soumis à la Cour - selon les intentions annoncées par la Commission européenne". "Nous souhaitons également que le Parlement ait plus de flexibilité dans les mois à venir, lorsqu'il tiendra ses débats politiques et évaluera si l'ACTA est l'outil adéquat pour mettre un terme aux problèmes qu'il est censé résoudre, sans en créer de nouveaux.

Si le Parlement soumet l'ACTA à la Cour, il ne pourra plus se prononcer sur le dossier", a ajouté M. Caspary. Prochaines étapes. Verhofstadt : "Un leader politique n'est pas là pour suivre l'opinion publique" Guy Verhofstadt. © Frédéric Pauwels Le Vif/L'Express : A Bruxelles, le 9 décembre, le Premier ministre britannique David Cameron a mis son veto à un nouveau traité européen destiné à réformer les institutions de l'Union et à sauver l'euro.

Verhofstadt : "Un leader politique n'est pas là pour suivre l'opinion publique"

Cela vous a surpris ? Guy Verhofstadt : Non, on pouvait s'y attendre. Depuis des semaines, dans la presse britannique et allemande, on préparait le clash. En août dernier, le ministre wallon Jean-Claude Marcourt (PS) déclarait au Vif/L'Express : "L'erreur fondamentale, dans la construction européenne, reste d'avoir accepté les Anglo-Saxons, parce qu'ils sont venus avec une conception radicalement différente des continentaux. " Non, à condition qu'on ne laisse pas les Britanniques nous freiner. L'agence de notation Standard & Poor's demande à l'Europe de faire avancer l'idée européenne, avez-vous déclaré récemment à Matin Première (RTBF). Je l'ai dit exprès. Il faut être réaliste. Voilà, exactement. Les marchés. Mais non ! Oui. Exactement. Oui. Non. Review & Outlook: Nicolas Le Pen.

Sarkozy-Jésus et ses journalistes-apôtres [INTERACTIF] Temps de lecture: 6 min Sarkozy l'air extatique au milieu d'un groupe de journalistes, un petit village nivernais devant lequel pose Mitterrand, Giscard avec sa fille Jacinthe, les Guignols qui «grillent» avant l'heure le résultat le 21 avril 2002...

Sarkozy-Jésus et ses journalistes-apôtres [INTERACTIF]

Ces images ont marqué l'histoire des élections présidentielles mais quels souvenirs en conservent aujourd'hui ceux qui les ont fabriquées ou qui y ont participé? Que nous disent-elles de tendances (peoplisation de la politique, poids croissant de la télévision, montée du vote protestataire...) qui jouent un grand rôle dans l'élection de 2012? Pour répondre à ces questions, Slate.fr s'est associé à l'Ecole de journalisme de Sciences-Po pour élaborer la série «Photos de campagne».

Pour chacune des images analysées, décortiquées, il sera également possible en cliquant sur les numéros de naviguer dessus de manière interactive pour en (re)découvrir les éléments principaux. Ce qu’il voit dans la petite salle du parc Chanot le surprend. Edito : Sarkozy, champion d’échecs. Qu’est-ce que ce cirque ?

Edito : Sarkozy, champion d’échecs

Nicolas Sarkozy nous fait à Villepinte un meeting péplum : une estrade interminable, trente mille plébéiens excités, assez pour qu’ils croient être le double, des cris permanents, des oriflammes partout. On peut jouer à la Rome antique, les prétoriens, les clients, la claque mais les imperators célébraient des triomphes : c’était après la victoire et non avant. Il y avait des absents à Villepinte. Nous ne parlons pas de Jean-Louis Borloo ou de Rama Yade, non, nous pensons “à ce Français de sang mêlé” qui en appelait à Jean Jaurès ou Léon Blum, à ce tribun encore jeune qui prenait aux tripes un peuple fatigué des mensonges chiraquiens. Il y a cinq ans, ce réformateur disparu emporta une bonne moitié de la France. Mal préparé ? Comment même peut-il y croire ?