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Affections lourdes

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Sclérose en plaques : importante découverte génétique ayant le potentiel d'éclairer les mécanismes de la maladie. Des chercheurs, dont les travaux sont publiés dans la revue Neuron, ont identifié une importante mutation génétique liée à la sclérose en plaques (SEP). Environ 10 % à 15 % des cas de SEP semblent avoir une composante héréditaire, mais jusqu'à présent, les chercheurs n'avaient trouvé que de faibles associations entre le risque de développer la maladie et des variantes génétiques particulières. Alors que les personnes qui portent la mutation nouvellement découverte ont une probabilité de 70 % de développer la maladie.

Il s'agit d'une découverte cruciale pour la compréhension de la maladie, estime Carles Vilariño-Güell de l'Université de Colombie-Britannique (Canada), coauteur sénior. Les chercheurs ont analysé une base de données contenant le matériel génétique de près de 2000 familles au Canada. Ils se sont spécifiquement penchés sur une famille dans laquelle cinq membres sur deux générations sont atteints de la maladie.

La mutation se trouve dans le gène NR1H3. Sunu, un bracelet connecté qui aide les personnes malvoyantes. Ce dispositif a été conçu en s'inspirant du principe d'ondes utilisé par les chauves-souris. Les bracelets connectés sont de plus en plus des accessoires de haute technologie, très utilisés par les consommateurs. Le bracelet Sunu devrait intéresser des personnes malvoyantes. C’est en réalité un système qui va guider les personnes handicapées visuels, les personnes aveugles, grâce à des ondes hautes fréquences qui détecte les obstacles.

Ce dispositif a été conçu en s'inspirant du principe d'ondes utilisé par les chauves-souris. Ce concept est le fruit de chercheurs mexicains, qui ont étudié la technologie du sonar pour aider à mieux bouger, marcher et surtout mieux s’orienter. Une connexion pour guider les malvoyants Les deux chercheurs mexicains qui ont créé le bracelet connecté Sunu, ont utilisé les ondes en version hautes fréquences, pour obtenir plus facilement l'écholocalisation dans l'espace, exactement comme fonctionne un sonar. Vidéo. . © Handicap Infos - source : francemobiles. Bientôt des pilules d'insuline pour les diabétiques | Viva magazine. Des chercheurs de l’université américaine de Santa Barbara en Californie ont pu concevoir des pilules de l’hormone insuline utilisée par les malades du diabète. Ces pilules vont permettre à des millions de malades du diabète d’abandonner l’usage quotidien des seringues. Certains malades se piquent jusqu’à 7 fois par jour, ce qui occasionne des douleurs et une grande souffrance psychologique.

Les chercheurs de l’université ont mis au point un patch nanométrique à mettre au niveau de la paroi de l’estomac, ce qui permettra la non-dissolution de l’hormone d’insuline pour qu’elle parvienne jusqu’aux vaisseaux sanguins. Une fois commercialisées, les pilules permettront aussi de réduire la dose quotidienne d’insuline nécessaire pour les diabétiques. Un test pour détecter ceux qui ne font pas d'infarctus. Le titre peut vous paraitre curieux, mais pourtant, c'est bien la fonction d'un nouveau test sanguin en cours d'élaboration par des chercheurs. Un test qui permet de désigner les vraies urgences cardiaques Car le problème en cas d'infarctus, c'est de pouvoir agir vite.

Quand les patients atteints de douleurs cardiaques arrivent aux urgences, qui sont structurellement débordées par des.. urgences de toutes natures, pouvoir identifier rapidement les vrais infarctus, des douleurs thoraciques d'autres natures comme le stress est stratégique. Aussi,le test dont il est question dans la revue médicale de référence "The Lancet", dose une hormone présente dans le sang, la troponine. On connaissait déjà l'importance de cette hormone comme mécanisme de défense de l'organisme, en cas d'infarctus, mais on ne savait pas quelles doses devaient alerter. D'autres études devront valider ce résultat. Des bactéries pour contrecarrer le diabète de type 1 - Diabète de type 1. Pour lutter contre les pathogènes, le système immunitaire a développé plusieurs mécanismes de détection, de défense mais aussi de destruction des micro-organismes dangereux pour l’organisme.

Parmi eux, les peptides antimicrobiens, protéines naturelles, détruisent les bactéries pathogènes en rompant leur membrane cellulaire. Ils sont non seulement produits par les cellules immunitaires, mais également par des cellules dont les fonctions ne sont pas liées à l’immunité. Une équipe de recherche coordonnée par Julien Diana, chargé de recherche Inserm au sein de l’Unité Inserm 1151 "Institut Necker-Enfant Malades" (Inserm/CNRS/Université Paris Descartes) s’est penchée sur une catégorie de peptides antimicrobiens : les cathélicidines. Ces dernières, en plus de leurs fonctions protectrices, ont montré dans plusieurs maladies auto-immunes des capacités de régulation du système immunitaire. Source : L'INSERM. Le glaucome serait associé au mercure sanguin. Le glaucome est une cause de cécité, d’où l’importance de le diagnostiquer et de le traiter au plus tôt. © Peter Gorges, Flickr, CC by nc nd 2.0 En bref : le glaucome serait associé au mercure sanguin - 1 Photo Le glaucome est l’une des principales causes de cécité dans le monde.

Cette maladie est due à une élévation de la pression interne de l’œil et provoque une destruction du nerf optique. Si elle n’est pas prise en charge de manière précoce, elle peut entraîner une déficience visuelle importante, voire une cécité. Aujourd’hui, l’équipe du Pofesseur Chan C. Les analyses ont révélé qu’un faible niveau de manganèse et une présence importante de mercure ont été associés à une prévalence plus élevée de glaucome. Pour l’auteur de ce travail, « des études prospectives seront nécessaires pour confirmer ces associations ». Sur le même sujet. Nos bactéries nous protègent du diabète de type 1. Les bactéries de la flore intestinale libèrent des acides gras à chaîne courte qui stimulent la production de molécules antimicrobiennes par le pancréas. © AJ Cann, flickr, CC by sa 2.0 Nos bactéries nous protègent du diabète de type 1 - 2 Photos Pour lutter contre les pathogènes, le système immunitaire a développé plusieurs mécanismes de détection, de défense mais aussi de destruction des micro-organismes dangereux pour l’organisme.

Parmi eux, les peptides antimicrobiens, protéines naturelles, détruisent les bactéries pathogènes en rompant leur membrane cellulaire. Ils sont non seulement produits par les cellules immunitaires, mais également par des cellules dont les fonctions ne sont pas liées à l’immunité. Une équipe de recherche coordonnée par Julien Diana, chargé de recherche Inserm au sein de l’Unité Inserm 1151 « Institut Necker-Enfant Malades » (Inserm/CNRS/Université Paris Descartes) s’est penchée sur une catégorie de peptides antimicrobiens : les cathélicidines.

Le mécanisme de la maladie de Parkinson enfin élucidé. Avez-vous percé le mystère de la maladie de Parkinson? «En partie, certainement», répond sans hésiter le Pr Ronald Melki, directeur de recherche CNRS, qui a publié le 10 juin dans la revue Nature les résultats étonnants de recherches menées par son équipe de l'Institut des neurosciences Paris Saclay avec celle du Pr Veerle Baekelandt à Louvain (Belgique). La maladie touche environ 1 % des plus de 65 ans, soit 100 000 à 150 000 personnes en France et 8000 nouveaux malades chaque année. Un malade sur dix a moins de 50 ans. Voilà déjà une quinzaine d'années que le Dr Maria-Gracia Spillantini, à Cambridge, a découvert le rôle d'une protéine, l'alpha-synucléine, dans plusieurs maladies neurodégénératives. «L'agrégation de l'alpha-synucléine est la signature moléculaire de la maladie de Parkinson, que ce soit la forme sporadique (sans antécédent dans la famille, NDLR) ou les formes familiales de la maladie», explique le Pr Melki.

Parkinson: soigner les neurones par la lumière. Chikungunya: un vaccin prometteur testé chez l'homme. Ebola : un traitement est enfin efficace. Les résultats restent préliminaires mais contre Ebola, la science doit avancer vite. Des scientifiques Canadiens de la société Tekmira Pharmaceuticals viennent de publier dans la revue Nature les résultats d’une étude menée chez l’animal confirmant l’efficacité de l’antiviral TKM-Ebola-Makona contre le virus Ebola sévissant actuellement en Afrique de l’ouest.

L’étude a concept à infecter 6 singes avec le virus Ebola, la souche d’Afrique de l’ouest. Trois jours après, la moitié des animaux seulement a reçu le traitement TKM-Ebola-Makona. Si les trois animaux non traités sont décédés, les trois ayant reçu le traitement antiviral sont restés en vie. Ce traitement antiviral avait été modifié pour attaquer spécifiquement le virus Ebola ayant fait plus de 10 000 morts en Afrique de l’ouest. Ces résultats sont les premiers démontrant une action thérapeutique efficace contre Ebola, utilisant une méthode innovante qui est a,née à changer l’efficacité de la lutte antivirale.

Source. Avenir et malvoyants.

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