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L'actualité...

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Le summum de la confusion entre la finance virtuelle et l’économie réelle ! (P. Leconte) Overdose : la prochaine crise financière. Vin : qu’est-ce qui freine les exportations françaises ? La consommation mondiale de vin continue d’augmenter. La hausse sera encore de 5% d’ici 2016, selon une étude de l’International Wine and Spirit Research pour Vinexpo. Et la croissance sera plus rapide en valeur qu'en volume. En somme, le monde va boire plus et de meilleure qualité. A première vue, c'est un scénario idéal pour vendre davantage de crus français.

Sauf que la production nationale est doucement en train de perdre son leadership sur ce marché en pleine expansion. Il y a vingt ans, la France détenait 30% des parts du marché mondial. Depuis, alors que les échanges commerciaux ont doublé, "la part de l’Hexagone a été divisée par deux", souligne Nicolas Ozanam, délégué général de la Fédération exportation des vins et spiritueux. Certes, l’Hexagone figure toujours parmi les premiers exportateurs, avec un peu moins de 19% du marché. Cultures d'entreprises : pourquoi ce manque d'innovation français ? À l'heure où le débat porte sur la compétitivité hors coûts, il se pose la question de la faiblesse de la capacité d'innovation française. Si les politiques aiment vanter nos TGVs et nos centrales nucléaires, force est de constater que nous n'avons pas créé de grandes entreprises innovantes depuis 40 ans. À comparer aux États-Unis où sont nées Google et Amazon dans les années 90 ou plus récemment Facebook.

Cette faiblesse de l'innovation peut-elle s'expliquer par notre culture nationale ? Sans doute si l'on compare les dimensions culturelles françaises par rapport aux dimensions nécessaires à l’émergence de l'innovation. Voici les scores de la France sur les dimensions culturelles de Hofstede comparés à ceux des États-Unis et de la Chine : Une distance hiérarchique élevée (PDI) La distance hiérarchique élevée entre les salariés et les dirigeants nuit à l'innovation.

Un individualisme relativement élevé (IDV) Une culture "féminine" (MAS) Une tolérance à l’ambiguïté faible (UAI) Le manque d'innovation dans les entreprises est la principale cause de la faiblesse de la productivité au Canada. Public release date: 8-May-2009 [ Print | E-mail Share ] [ Close Window ] Contact: Samantha Raesamantha.rae@scienceadvice.ca 613-567-5000Council of Canadian Academies Ce communiqué est disponible en anglais. La faiblesse persistante de la croissance de la productivité au Canada est liée aux choix stratégiques des entreprises. « Trop peu d'entreprises et d'entrepreneurs canadiens choisissent des stratégies qui mettent l'accent sur l'innovation », déclare Robert Brown, président du comité de 18 experts du monde des affaires, des syndicats et de la recherche universitaire réunis par le Conseil des académies canadiennes pour analyser les performances en innovation des entreprises canadiennes. Le rapport du comité, intitulé Innovation et stratégies d'entreprise : pourquoi le Canada n'est pas à la hauteur, présente sous un jour nouveau l'innovation en tant que processus économique. [ Print | E-mail.

La crise européenne handicape l'économie américaine. Barack Obama a beau se démener, écumer les galas new-yorkais et bombarder de spots publicitaires les électeurs inquiets du Midwest, sa campagne ne peut rivaliser avec le battage médiatique autour des élections grecques et des banques espagnoles. Le président, dont les sondages suivent la courbe incertaine de la croissance américaine, n'hésite donc pas à imputer les récents chiffres décevants de l'emploi aux tourments du lointain Vieux Continent. "Plus que tout, il y a cette crise en Europe qui a un impact sur le monde entier, expliquait-il, le 1er juin, à des ouvriers du Minnesota. Elle commence à peser aussi sur notre économie. " A tel point qu'il vient d'envoyer sur place, pour la deuxième fois en six mois, un émissaire chargé de suivre la crise européenne. Lael Brainard, sous-secrétaire d'Etat au Trésor, vient de tenter de convaincre Berlin et Paris de recapitaliser le secteur bancaire.

Les plus gros clients de Dell ont différé leurs commandes Des craintes exagérées ? Les patrons japonais dépriment et ne voient pas le bout du tunnel. La confiance des grandes entreprises manufacturières nippones a chuté en décembre, à cause d'une conjoncture mondiale peu propice aux exportations, ce qui renforce la pression sur la Banque du Japon (BoJ) à quelques jours d'une réunion de politique monétaire. Le moral des grandes firmes de l'industrie a perdu 9 points et s'établit dorénavant à -12 points, d'après l'indice Tankan publié par la BoJ vendredi, soit le plus bas niveau de cet indicateur trimestriel depuis près de trois ans. Une accumulation de difficultés Le Tankan mesure la différence entre le pourcentage de sociétés qui jugent la situation favorable et celles qui l'estiment défavorable. Le résultat de décembre signifie qu'une nette majorité des grandes firmes manufacturières juge le contexte défavorable.

La Banque du Japon à nouveau sollicitée "La banque centrale américaine (Fed) a décidé d'assouplir sa politique monétaire et la BoJ va se sentir obligée de suivre le mouvement pour éviter d'encourager une appréciation du yen.

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Faiblesses et atouts de la France dans la zone euro : le défi de la reconvergence. Présidentielle 2012 : Faits et chiffres - mars 2012 L'avenir de la zone euro et la politique économique de la France sont au centre des débats sur les projets présidentiels. Pour évaluer les atouts et faiblesses de la France dans son environnement européen, nous passons les pays de la zone euro au scanner. <object type="application/x-shockwave-flash" data="/public/content/download/32689/327125/Faits-et-chiffres-2012-V5.swf" width="387" height="273"><param name="movie" value="/public/content/download/32689/327125/Faits-et-chiffres-2012-V5.swf" /><param name="loop" value="" /><param name="play" value="true" /><param name="wmode" value="transparent" /><param name="quality" value="high" /><p>Un plugin est nécessaire pour lire cette animation.

Pour télécharger gratuitement Flash Player <a href=" ici</a>. </p></object> English version : Weaknesses and strengths of France in the euro zone : The challenge of reconvergence Voir les documents. Propos d’actualité. Bilan de l'année. - Bilan de l'année, Janvier 2014 L'année 2013 a vu la stabilisation progressive de la situation de la zone euro ainsi que le raffermissement de l’économie américaine et les effets positifs de l’Abenomics au Japon. Au total, la croissance mondiale a connu une légère décélération en 2013 en raison du ralentissement de certaines économies émergentes.

La croissance mondiale a connu une légère décélération en 2013 (2,8 % après 3,0 % en 2012). Le premier trimestre a été marqué par une phase d’expansion modérée, en raison notamment de la faible progression de l’activité aux Etats-Unis. Le rythme de croissance s’est ensuite accéléré sur fond de sortie de récession en Europe. La pérennité de la monnaie unique ne semble plus être remise en cause. Le tournant vers une sortie des politiques monétaires ultra-accommodantes vient d’être amorcé officiellement aux Etats-Unis. L’année boursière a été marquée par la sous-performance des places émergentes. Table des matières : 1. 2. TableauxGraphiques. Growth breakdown. Sector Accounts provide a full sector breakdown of the nominal GDP according to the expenditure and income approaches. According to the expenditure approach, the nominal GDP can be decomposed as follows: (I) GDP = Final consumption + Investment + Exports – Imports+ Gross Operating Surplus = Hholds' final consumption + Hholds' investment + Govt final consumption + Govt investment + Business Investment + Business changes in inventories + Net exports + "Others"Where "Hholds", "Govt" and "Business" hold for "Households", Government" and "Non-financial corporations" respectively.

"Investment" holds for "Gross Fixed Capital Formation" in NA terms. "Others" gathers the following "minor" items: Changes in inventories and investment of financial corporations, Changes in inventories of Hholds. Hholds' final consumption can be further decomposed into Hholds' gross disposable income (GDI) and Hholds' gross saving.

This leads to equation (III) below: Contribution (X) = (XQ – XQ-1)/GDPQ-1. La conjoncture en 10 graphiques. Début 2013, la divergence des conjonctures française et allemande s'accentue. Indicateur - La demande adressée à l’industrie manufacturière se contracte au quatrième trimestre 2012. La demande Légère amélioration des demandes globale et étrangère Au quatrième trimestre 2013, tandis que l’amélioration de la demande étrangère s’est poursuivie, celle de la demande globale s’est interrompue : les soldes correspondants sont quasiment à leur moyenne de long terme.

Les industriels anticipent une amélioration des demandes globale et étrangère. Évolution passée de la demande Les facteurs de production Les tensions sur l’appareil de production sont stables à un niveau faible Au cours du quatrième trimestre 2013, les tensions sur l’appareil de production sont quasi inchangées à un niveau faible. Le taux d’utilisation des capacités de production reste stable Les effectifs Amélioration du solde sur les effectifs passés Selon les chefs d’entreprise, le rythme des suppressions d’emploi dans l’industrie se stabilise sur les derniers mois. Les effectifs de l'industrie manufacturière Salaires et durée du travail Trésorerie et prix de vente Compétitivité Position de compétitivité. Indicateur - En novembre 2012, la production manufacturière est en légère hausse (+0,2 %) Avertissements : toutes les données sont corrigées des variations saisonnières et du nombre de jours ouvrables (CVS-CJO).

Dans le commentaire, les évolutions par sous-branche sont présentées par ordre décroissant de leur contribution à l'évolution globale de l'indice de la production industrielle. La contribution d'une sous-branche prend en compte son poids et l'ampleur de son évolution. En septembre 2016, la production se replie dans l'industrie manufacturière (-1,1 % après +2,4 %), ainsi que dans l'ensemble de l'industrie (-1,1 % après +2,3 %). La production manufacturière du troisième trimestre augmente légèrement (+0,2 %) Au troisième trimestre, la production augmente légèrement dans l'industrie manufacturière par rapport au trimestre précédent (+0,2 %).

La production croît nettement dans les industries agroalimentaires (+1,7 %) et rebondit fortement dans la cokéfaction et raffinage (+14,9 %). Sur un an, la production manufacturière est stable Sources : Insee, SSP, SOeS Zone euro. Indicateurs du coût de l'heure de travail en Europe. Prolongement des résultats de l'enquête ECMO par les indices du coût de la main d'oeuvre - Octobre 2014 Coe-Rexecode prolonge chaque trimestre les résultats de la dernière enquête sur les coûts de la main d'oeuvre (ECMO) à partir des indices du coût de la main d'oeuvre publiés par Eurostat.

Eurostat a publié le 17 décembre 2014 les indices trimestriels de coût de la main d'oeuvre pour le 2ème trimestre 2014. Ils permettent de prolonger les résultats des données de l'enquête quadriennale sur le coût moyen de l'heure de travail, en l'occurrence, l'enquête de 2012. (voir la note méthodologique ). Au 3ème trimestre 2014, dans l'ensemble de l'industrie et des services marchands, le coût horaire de la main-d'oeuvre pour l'ensemble de la zone euro est estimé à 30.0 euros en moyenne.

Dans l'industrie manufacturière, le coût horaire de la main-d'oeuvre au 3ème trimestre 2014 s'inscrit à 32.6 euros en moyenne pour l'ensemble de la zone euro.