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Religions - Spiritualités

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Protestants dans la ville. Communierai-je ? Qu’est ce que la foi chrétienne ? C’est la rencontre personnelle avec Dieu en la personne de Jésus-Christ, qui a enseigné sur les routes, dans les villes et dans les campagnes, a été crucifié et est Ressuscité. Cette rencontre, d’autres que moi la vivent et l’ont vécu. Ils me la transmettent : c’est le mystère de l’Église qui rend grâce à Dieu pour ses actions. Cette rencontre, elle m’invite à agir, pour et avec mes frères et sœurs en humanité, dans l’espérance de l’accomplissement du Royaume, qui vient mais qui est déjà là, semblable à un grain de moutarde qui grandi, ou au levain dans la pate.

Voici en quelque mot ce qu’est la foi chrétienne. Je ne dis pas son contenu, mais bien ce qu’elle est. Le contenu de la foi chrétienne, on peut l’écrire, le réciter, le formuler, on peut même hésiter dessus : c’est le rôle des confessions de foi et de la théologie. Et cette fois, on la vit notamment dans l’action liturgique. Elle est rencontre avec le Dieu-fait-Homme. "On ne peut séparer laïcité et pluralité religieuse" - Savoir. Face aux interrogations que pose l'arrivée de nouvelles religions à la laïcité, l'État français semble en partie démuni. Mais le pluralisme religieux n'a-t-il pas contribué à la définition même de laïcité? Spécialiste de la pluralité religieuse, l'historienne Rita Hermon-Belot, auteur entre autres de Enseigner le pluralisme, revient sur la genèse du concept de laïcité et sur ses acceptions actuelles. © Romain Vilaud À quel moment et dans quel contexte situez-vous l'origine du concept de laïcité? Pour l'origine d'un concept aussi complexe et prégnant dans la société française, rien ne saurait être monocausal.

De quelle manière la pluralité religieuse a-t-elle pesé sur l'origine de ce concept? Il est d'abord nécessaire de comprendre que la France du XIXe siècle, bien qu'elle l'ait été majoritairement, n'était pas que catholique. Si l'on remonte au XVIIe siècle, la pluralité religieuse apparaît de manière négative. Selon moi, deux raisons expliquent ce phénomène. Réforme | Un regard protestant sur l'actualité politique, religieuse, économique, sociale et culturelle. Église Réformée de l'Oratoire du Louvre - Lire la Bible. Jésus-christ est-il mort pour nous ? - Évangile & Liberté. La Rédemption est un très ancien dogme, introduit par Paul. Cette idée du Christ mort sur la Croix pour racheter les péchés des hommes pose problème aujourd’hui à beaucoup de nos contemporains. André Gounelle propose une autre vision de la Croix et de la Résurrection. Jésus-christ est-il mort pour nous ? Dans le Nouveau Testament, on trouve entre quinze et vingt fois, l’affirmation que Jésus nous a rachetés de la malédiction par son sang, qu’il a donné sa vie en rançon pour nos péchés.

Que veut dire « racheter » ? La thèse des « droits du démon » Une réponse, très ancienne, déclare : au diable. La thèse de l’expiation substitutive Au XIe siècle, Anselme de Cantorbéry propose une autre réponse qui s’inspire du droit féodal. Mais Dieu n’est pas seulement juste, il est aussi miséricordieux. Selon Anselme, la Croix concilie la miséricorde et la justice de Dieu. La générosité de Dieu La théologie du Process propose de comprendre autrement la Croix.

Dieu pardonne et sauve gratuitement.