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Économie

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L'économie du Québec croîtra deux fois plus vite en 2014 - bourse. Le Québec fait fuir les investisseurs pétroliers et gaziers. L'industrie pétrolière juge sévèrement le Québec Un rapport de l'Institut Fraser publié lundi révèle que le Québec est l'une des juridictions les moins favorables aux investissements dans le secteur du pétrole et du gaz.

Le Québec fait fuir les investisseurs pétroliers et gaziers

Selon ce sondage mené auprès des investisseurs, le Québec se classe au 141e rang mondial sur 157 des territoires propices aux investissements dans le secteur des hydrocarbures, tout juste devant la Syrie et la Libye. Ce rapport démontre la réticence des investisseurs à développer des projets dans les secteurs pétrolier et gazier au Québec. « On ne compare par le Québec à la Lybie ou à la Syrie politiquement. C'est plutôt de savoir si, pour les investisseurs, c'est un endroit qui est propice aux investissements ou non. » — Kenneth P.

Canada–UE : ce que l’accord de libre-échange va changer. Décrit comme le partenariat commercial le plus ambitieux de l’histoire canadienne, l’accord économique et commercial global (AECG) — qui devrait entrer en vigueur vers 2015-2016 — éliminera presque tous les droits de douane sur les produits échangés avec l’Union européenne (UE).

Canada–UE : ce que l’accord de libre-échange va changer

L’entente cible non seulement les barrières tarifaires au commerce (tarifs et quotas), mais aussi les barrières non tarifaires, comme les normes et les réglementations des biens et des services produits au Canada et en Europe. En ce sens, cet accord deviendrait le premier de ce genre conclu entre pays développés. Par ailleurs, il encouragera l’échange de main-d’œuvre et de connaissances grâce, entre autres, à une clause sur la mobilité des résidants et à une coopération accrue en matière de recherche et développement. Voici, secteur par secteur, les changements que devrait apporter cette « entente de deuxième génération », telle qu’elle a été présentée. Voilà le secteur où l’accord ne fait pas que des heureux. Emploi - Québec - Canada - octobre. Publié le 08/11/2013 à 14:38 BLOGUE.

emploi - Québec - Canada - octobre

Qui l’eût cru ? Si le bilan de l’emploi pour octobre, au Canada, n’a pas sombré dans le rouge, c’est en grande partie grâce à la belle contribution du Québec. Après un creux prolongé en milieu d’année, le marché du travail québécois avait repris un peu de vigueur en septembre; en octobre, il a enfoncé la pédale de l’accélérateur en ajoutant 34 000 emplois.

Il en a même gagné davantage à temps plein alors que quelques milliers d’emplois à temps partiel disparaissaient, pour en arriver à ce solde net de 34 000. PLUS : Emploi : des signes positifs au Québec Au bout du compte, pour l’ensemble du Canada, le gain n’est que 13 000. Il faut toujours être prudent avec ces données, puisqu’elles sont tirées d’un sondage qu’interprètent les experts de Statistique Canada. Ce sera de la musique aux oreilles du gouvernement Marois, en particulier à celles du ministre des Finances, Nicolas Marceau, qui voyait s’effriter depuis le printemps sa base de revenus fiscaux. Le Québec doit améliorer sa productivité, vraiment? Plusieurs commentateurs s’inquiètent souvent de la trop faible productivité de l’économie québécoise, une meilleure productivité étant supposée générer ou maintenir des emplois de qualité et améliorer la rémunération de tout le monde.

Le Québec doit améliorer sa productivité, vraiment?

Cependant, la réalité n’est pas si simple, les gains de productivité ne se sont pas traduits en une augmentation équivalente de la rémunération des salarié.es québécois.es. Entre 1981 et 2010, la richesse produite au Québec par heure travaillée a augmenté de 30%. C’est une progression considérable et on aurait pu s’attendre à une évolution comparable de la rémunération des travailleuses et travailleurs de la province.

Mais ce n’est pas le cas. La rémunération totale n’a augmenté que de 15 % pour la même période. C’est dire qu’il existe un écart important entre la progression de la productivité et celle de la rémunération. Ce décalage contribue bien entendu à l’accroissement des inégalités de revenus au Québec. L’impasse écologique. 82 M$ pour stimuler les exportations du Québec - monde. Publié le 28/10/2013 à 15:30 Le gouvernement Marois investira 82 millions de dollars d’ici 2017 pour accroître les exportations du Québec, a annoncé ce midi le ministre des Relations internationales, de la Francophonie et du Commerce extérieur, Jean-François Lisée.

82 M$ pour stimuler les exportations du Québec - monde

Rendant public le plan de commerce extérieur de son gouvernement devant le CORIM, il a expliqué que cette stratégie comprenait quatre orientations: faciliter l'accès aux services et aux marchés; préparer les entreprises en amont du développement de marché; appuyer les entreprises à l'étranger; promouvoir les forces du Québec. Aucune région du monde n'est priorisée en particulier. Le gouvernement souhaite préserver les acquis commerciaux du Québec dans la zone de l'ALÉNA, tout en augmentant nos exportations dans les pays du BRIC et en Afrique, par exemple.

Création emploi

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