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Developpement durable

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Pierre Rabhi. Pierre Rabhi : « Si nous nous accrochons à notre modèle de société, c’est le dépôt de bilan planétaire » - Ecologie. Et si, après une stressante campagne électorale, on respirait un peu ? Quelle société voulons-nous aujourd’hui construire ? « La croissance est un problème, pas une solution », affirme Pierre Rabhi, paysan-philosophe. Face à la disparition des questions écologiques dans le débat politique, et à la frénésie marchande qui nous a pris en otages, il invite à repenser la vie sur un mode à la fois « sobre et puissant ».

Et à inventer, pour éviter des explosions sociales et un chaos généralisé, un autre modèle de civilisation. Entretien. Basta ! Pierre Rabhi [1] : Je ne me réjouis pas de cette situation, mais je me dis finalement que l’être humain a besoin d’entrer dans des impasses pour mieux comprendre. Pendant la campagne électorale, l’écologie a quasiment disparu du débat politique. C’est parce que les citoyens ne sont pas véritablement conscients de l’enjeu de l’écologie que nous sommes obligés d’avoir une écologie politique pour lui donner une place au forceps. Vidéo : Agnès Rousseaux. Pierre Rabhi, invité d'honneur du festival Atmosphères.

17 avril France 2 à 23h : La mort est dans le pré. Qui rachète l'Afrique ? Cent hectares par ici, quelques milliers par là. Chaque semaine, des acteurs publics ou privés achètent des parcelles de terres en dehors de leurs frontières. Le plus souvent pour produire de la nourriture sur des sols plus fertiles. Le plus souvent aussi sans consultation, voire au détriment des habitants sur place. Ce phénomène, appelé accaparement des terres, s’est généralisé au début des années 2000 et progresse depuis, contrat par contrat, sans faire de bruit. Un groupe de chercheurs a décidé de rompre le silence, à coup de tableurs Excel. L’initiative, menée par un groupement d’ONG et de chercheurs spécialisés, s’appelle Land Matrix Database. Bien que non exhaustives (voir encadré au bas de cet article), ces données confirment plusieurs tendances inquiétantes sur ce phénomène en marche : 1) Ces contrats sont conclus dans les pays les moins avancés et en manque de nourriture, notamment en Afrique Indonésie, Congo, Zambie, Soudan, Ethiopie, Philippines..

Pierre Rabhi : « Si nous nous accrochons à notre modèle de société, c’est le dépôt de bilan planétaire » - Ecologie. « Les industriels mettent délibérément en danger les ouvriers » Annie Thébaud-Mony, 68 ans, est directrice de recherche honoraire à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale. Fin juillet, elle a refusé la Légion d’honneur que Cécile Duflot, ministre de l’Egalité des territoires et du Logement, souhaitait lui accorder. Dans une lettre adressée à la ministre, la chercheuse en santé publique qui s’est spécialisée dans les maladies professionnelles explique que son refus a pour but de dénoncer « l’indifférence » qui touche, selon elle, la santé au travail et l’ « impunité » des « crimes industriels ».

Elle nous en dit plus. Terra eco : On vous a proposé la Légion d’honneur pour couronner votre carrière. Vous l’avez refusée. Pourquoi ? En tant d’années, il n’y a donc pas eu d’avancées ? Il y a quinze ans, l’amiante a été interdit en France. Avez-vous des exemples ? Le tableau 57 des maladies professionnelles du régime général de la Sécurité sociale liste la plupart des troubles musculosquelettiques (TMS).

Non. Oui. Si. Ville fantôme africaine cherche habitants - International. Nova Cidade de Kilamba (©facebook.com/novaangola) Une ville angolaise, nouvellement construite par une compagnie d’Etat chinoise, s'est retrouvée abandonnée un an après sa construction. L’Angola, dont la capitale est surpeuplée, a payé la société en pétrole ! Pour voir la vidéo de la ville fantôme, cliquez ici (LaVieImmo.com) - Après l’Europe et les Etats-Unis, voici que le syndrome de la ville fantôme attaque l’Afrique.

Le constructeur payé en pétrole Cette ville a été bâtie par une compagnie d'Etat chinoise – la China International Trust and Investment Corporation (Citic) – pour près de 3,5 milliards de dollars (2,8 milliards d’euros). Seuls les travailleurs Chinois sillonnent les rues Tout porte à croire que Citic n’a pas pris en considération le pouvoir d’achat du peuple angolais au moment d’entamer ce chantier de 12 355 hectares, qui aura duré (seulement) trois ans. La vidéo de la ville fantôme angolaise Estimez votre bien en quelques secondes : cliquez ici. L'agriculture biologique peut nourrir la planète...

Vidéo pesticides.