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Airbnb.com calcule son impact économique à Paris - L'Echo Touristique. La communauté du site californien contribue à l’économie parisienne à hauteur de 185 millions d’euros, avance une analyse.

Airbnb.com calcule son impact économique à Paris - L'Echo Touristique

Airbnb, site de réservation d’hébergements entre particuliers, vient de publier une étude d’impact de son service sur l’économie parisienne, réalisée en collaboration avec le cabinet Asterès. La capitale française, sa deuxième destination après San Francisco, aurait gagné par sa présence 185 millions d’euros de mai 2012 à avril 2013, l'équivalent de 1100 emplois induits. Ces données, diffusées sur fond de crise, visent-elles à rassurer les municipalités, notamment suite à la condamnation de New York ?

Non, répond Olivier Grémillon, directeur Europe de l’ouest et Afrique d’Airbnb.com : "L’étude avait déjà été lancée, et précédée par un rapport équivalent sur San Francisco en 2012". Airbnb.com atteint le million de voyageurs français - L'Echo Touristique. En 2011, près de la moitié des voyageurs d'Airbnb étaient américains.

Airbnb.com atteint le million de voyageurs français - L'Echo Touristique

Aujourd’hui, plus de 70% d'entre eux sont d’une autre nationalité. Airbnb.com annonce qu’un million de Français ont utilisé ses services depuis son lancement en 2008. "Cette étape illustre la croissance rapide de la communauté Airbnb en France", estime Nicolas Ferrary, directeur France du spécialiste de la location d’hébergements entre particuliers. Pour le fondateur de Airbnb, la "share economy" a un avenir brillant. Brian Chesky, 33 ans, profession disrupteur.

Pour le fondateur de Airbnb, la "share economy" a un avenir brillant

Ce jeune développeur internet a fondé avec son colocataire Joe Gebbia, Airbnb, ou Air Bed & Breakfast, le premier site de partage d'hébergement en ligne, à San Francisco en 2008. Six ans plus tard, c'est comme l'un des stars de Davos que Brian a participé, ce jeudi, à une conférence sur l'avenir de la « share economy », un phénomène bien parti pour durer et devenir « un vrai business », comme l'explique d'ailleurs l'édition hebdomadaire de La Tribune cette semaine (disponible dans les kiosque ou par téléchargement).

Une nouvelle approche de l'idée de propriété Cette « nouvelle culture » fruit des nouvelles technologies et des réseaux sociaux est en train de se transformer en un « social business » qui bouscule les métiers traditionnels comme l'hôtellerie, le tourisme, le transport etc… Non sans difficultés. Pourtant, le phénomène du partage semble là pour durer. Une économie du partage d'expériences La prochaine tendance : l'individualisation. . Airbnb : la nouvelle façon de voyager. Exit les circuits traditionnels, les hôtels et les maisons d’hôtes.

. Airbnb : la nouvelle façon de voyager

Pour voyager, de plus en plus de gens sont séduits par la location de logements entre particuliers. Airbnb, le site emblématique en la matière, l’a bien compris. Depuis la création de cette start-up californienne en 2008, plus de deux millions de voyageurs ont emprunté ce service en France (deuxième marché mondial, après les États-Unis), dont près d’un million depuis les six derniers mois. Une explosion de trafic qui traduit cette nouvelle tendance à l’économie de partage. Aujourd’hui, le site propose près de 800.000 hébergements à travers le monde et pèse 10 milliards de dollars en Bourse. Caroline, une Avonaise de 30 ans, n’est pas prête d’oublier son voyage dans la ville emblématique de la côte Est américaine : « Quand j’ai loué un appartement à New York, je me sentais vraiment dans la peau d’une New Yorkaise. Fontainebleau Mauvaise expérience L’esprit du site se perd-t-il ?

Trois quarts des réservations Airbnb à New York jugées illégales. Près de trois quarts des réservations Airbnb à New York sont illégales.

Trois quarts des réservations Airbnb à New York jugées illégales

C’est ce qu’a révélé hier le procureur général de l’Etat de New York, General Eric Schneiderman, qui menace de fermer tous les «hôtels» illégaux de la ville. Sur les 35.000 logements étudiés par ses services, plus de 25.000 violent la loi. Le site internet, qui permet de louer une chambre ou un canapé chez des particuliers, est aussi utilisé par des entreprises commerciales qui réalisent des millions de dollars de revenus, a-t-il ajouté. Elles représentent le tiers des loueurs, et récolent le tiers des revenus générés à New York. «L’une d’entre elles a gagné 6,8 millions de dollars en moins de cinq ans», indique-t-il dans son rapport. Au total, 6% des propriétaires d'appartements s’accaparent 37% des revenus générés via Airbnb à New York. Pourquoi Airbnb dérange les hôteliers français. TOURISME La start-up née à San Francisco il y a cinq ans pourrait voir son activité encadrée par la loi française… Bertrand de Volontat Publié le Mis à jour le Airbnb et les plateformes d’hébergement en ligne ont bouleversé la donne de l’accueil des touristes ces dernières années.

Pourquoi Airbnb dérange les hôteliers français

Fondée en 2008 en Californie, la start-up est un site communautaire reliant à travers le monde des gens souhaitant louer une pièce ou l’intégralité de leur appartement et ceux cherchant un endroit où séjourner entre un à plusieurs jours. Un procédé qui s’est développé grâce à son coût bon marché et son côté pratique et hors système. En France, le phénomène s’est confortablement installé, avec 50.000 annonces de logements dans l’Hexagone publiées sur ce site, dont plus de 20.000 à Paris. »Retrouvez l’interview de Chip Conley sur le déploiement d’Airbnb à Paris par ici Des hôteliers à l’écoute mais remontés Les hôteliers, justement, sont bien moins enthousiastes face à ce type d’offres qui pullulent sur le marché.

La colère des hôteliers face au site de location Airbnb. La profession estime que la société de locations d'appartements industrialise la location entre particuliers.

La colère des hôteliers face au site de location Airbnb

Elle demande une nouvelle réglementation. La principale organisation patronale de l'hôtellerie-restauration (Umih) a dénoncé jeudi «l'industrialisation» de la location d'hébergements meublés de courte durée sur les plateformes en ligne, en visant principalement Airbnb.

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