background preloader

Jabjean

Facebook Twitter

Jade

Plaquette manager 0. Faire progresser encore les conditions de travail. La très grande majorité (80%) des restaurants McDonald’s est exploitée par des franchisés.

Faire progresser encore les conditions de travail

Bien qu’ils soient juridiquement indépendants, ceux-ci participent activement à la dynamique collective impulsée par la direction des Ressources humaines. L’un des objectifs est de faire progresser les conditions de travail, en particulier en cuisine où certaines contraintes sont incontournables : station debout, rapidité et bruit. Le déploiement, entre 2006 et 2010, du programme Full Kitchen, nouvelle génération de cuisines, a été l’occasion de faire progresser le confort des équipiers. « Ces cuisines sont plus silencieuses et plus ergonomiques », indique Fabrice Buisson, qui a dirigé le projet. « Full Kitchen a aussi été l’occasion d’améliorer la sécurité, avec la pose de carrelages antidérapants et l’automatisation d’opérations dangereuses comme le filtrage des huiles de friteuses. » Nouvel environnement de travail En France, l’affluence se fait aux heures des repas.

L'équipier polyvalent: Envoyé spécial chez McDo et KFC. Voici l’excellent reportage d’envoyé spécial sur France 2, passé il y a quelques jours : Envoye.Special.16.06.2011.Restauration.Rapide...par AntaLibelle Très réaliste, ça m’a rappelé pas mal de vieux souvenirs.

l'équipier polyvalent: Envoyé spécial chez McDo et KFC

Comme d’habitude, on cite les mêmes problèmes récurrents : re-timage des salades, problèmes des sandwichs trop longtemps laissés en prod’ (ici les timers sont carrément virés), harcèlement, lavage des mains pas systématique, etc. J’en ai appris quand même de bien bonnes : À KFC, pour laver les pinces tombées par terre, tu les plonges dans l’huile. Bref, c’est toujours le même souci : quand l’hygiène est délaissée, c’est que la course au pognon a pris le dessus. Et puis quand on voit comment ça se passent les formations, à KFC, par exemple : avec juste l’aide des affichettes et des quelques mots des équipiers qui m’ont l’air complètement débordés, comment voulez-vous qu’ils respectent des normes qu’ils ne connaissent pas ? Une journée de travail chez McDo. Nina Basquet Pression, oppression, productivité A peine arrivée au travail, je regarde sur le planning qui est le « manager » du jour.

Une journée de travail chez McDo

C’est très important car en fonction de la personne on a une idée de ce que l’on va devoir supporter dans la journée. Certains managers sont effectivement pires que d’autres, même si tous ont à peu près la même logique. Ensuite, j’attends devant la pointeuse l’heure pour passer ma carte et me rendre à mon poste de travail.

McDonadld's

Travailler à McDonald's - On a testé pour vous... Comme bon nombre de jeunes, j’ai atterri au McDo à cause d’un concours de circonstances tout bête : la nécessité de gagner de l’argent, le fait de n’avoir rien trouvé d’autre, et la facilité d’accès aux jobs proposés par Ronald. Il suffit de savoir parler correctement, d’être disponible sur des plages horaires assez larges et généralement, c’est dans la poche. J’ai donc passé mon été derrière le comptoir du haut de mon mètre 55, avec un joli polo marron. L’enfer, c’est les touristes J’ai été embauchée dans un des restaurants Mc Donald’s les plus fréquentés en France, situé à Paris dans un lieu très fréquenté par les touristes en été. Nous servions donc, en plein mois de juillet, quasi 90% de touristes, avec beaucoup d’étrangers dans le lot.

J’ai donc, après quelques jours de travail, établi une certaine typologie des touristes relous. En gros, le touriste chez macdo se croit comme dans un quatre étoiles et réclame un service hyper luxe. Vol au dessus d’un nid de nuggets Super size me. Présentation McDonald's by melina mebrak on Prezi.