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Jean Rouch

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Rouch. Rouch. Rouch. Rouch. La Pyramide humaine de Jean Rouch (1961. Histoires sans fin "Quand tu arrives dans un pays, c’est le pays qui te change, pas toi qui changes le pays".

La Pyramide humaine de Jean Rouch (1961

De ce dialogue pioché dans Jaguar, l’on pourrait tirer une devise résumant à merveille le travail de Jean Rouch, ethnologue humble et cinéaste amoureux d’un continent qu’il n’aura cessé de sillonner pendant 50 ans - avant de rendre l’âme en février 2004, vieux lion de 86 ans disparu dans un accident de voiture sur les routes du Niger. Le Niger justement. C'est là que commence la grande histoire d'amour entre Rouch et l'Afrique. 1941.

Ingénieur des Ponts et Chaussées, il y dirige à 24 ans la construction de routes. 6 ans plus tard, initié aux rudiments de la caméra par Jacques Becker, il tourne son premier documentaire, Au pays des mages noirs, distribué en première partie du Stromboli de Roberto Rossellini. Peuples Fictions Le cinéma de cet infatigable curieux étoufferait s'il restait cantonné à la stricte définition du documentaire. Brousse toute puissante. Jean Rouch. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Jean Rouch

Pour les articles homonymes, voir Rouch. Jean Rouch est un réalisateur et un ethnologue français, né le 31 mai 1917 à Paris et mort le 18 février 2004 au Niger. Il est particulièrement connu pour sa pratique du cinéma direct et pour ses films ethnographiques sur des peuples africains tels que les Dogons et leurs coutumes. Considéré comme le créateur de l'ethnofiction, un sous-genre de la docufiction, il est l'un des théoriciens et fondateurs de l'anthropologie visuelle. Biographie[modifier | modifier le code] Jean Rouch est le fils de Jules Rouch, météorologue, explorateur et directeur du musée océanographique de Monaco. Après une formation d’ingénieur à l'École nationale des Ponts et Chaussées[1], Jean se fait enrôler avec deux camarades de promotion, Jean Sauvy et Pierre Ponty, comme ingénieur des travaux publics en Afrique.

Influencé par Dziga Vertov et Robert Flaherty, Jean Rouch est l’un des pères fondateurs du cinéma direct. Écrivain. Naissance et dramaturgie du haouka. Rites initiatiques et rituels de passage ou de purification, dans l’école, l’éducation physique et le sport. 1Définir la notion de rite ou de rituel (concepts peu éloignés) n’est pas chose aisée.

Rites initiatiques et rituels de passage ou de purification, dans l’école, l’éducation physique et le sport

L’Encyclopædia universalis, sous la plume de Jean Cazeneuve, observe que le mot rite peut avoir des sens différents selon les contextes dans lesquels il est utilisé. Il peut être pensé comme un comportement à motivation émotionnelle. Auquel cas le rite est présent chez les animaux (rites nuptiaux…). Il peut aussi être associé à des comportements stéréotypés non associés à la nécessité ou à la rationalité. Un cérémonial périmé est ainsi considéré comme un rite, mais aussi, un comportement relevant de la psychiatrie ou de la psychopathologie. 2Plus largement le rite est, en définitive, un comportement social, collectif, répétitif, conforme à un usage collectif mais qui n’a pas de finalité utilitaire ou rationnelle. 4La notion de rituel n’est guère plus sûre. 6Trois lieux et trois exemples servent, dans ce qui suit, à discuter de cet épineux problème. De l’enfant à l’élève Le corps social noyau central ? Les Maîtres Fous (1955)

Jean Rouch : des Maîtres fous à Moro Naba. De l’éthique à l’esthétique. 1 Les Maîtres fous et Moro Naba , courts métrages ethnographiques de Jean Rouch réalisés respectivement en 1953 et 1957, sont à la fois les témoins et les acteurs d’une double évolution : dans l’œuvre de leur auteur tout d’abord, dont le travail d’ethnologue aboutit à une pratique cinématographique singulière, au sein du genre documentaire ensuite dont ils participent au renouvellement.

Jean Rouch : des Maîtres fous à Moro Naba. De l’éthique à l’esthétique

Jean Rouch fait du court métrage un enjeu de travail et d’écriture et du documentaire un enjeu de fiction. 2 En attestent en premier lieu le sujet des Maîtres fous et de Moro Naba et le traitement qui en est fait. 1 La parole captée par Jean Rouch a une importance égale à la vision qu’il porte sur ce qu’il filme. (...) 2 Cette concordance constitue le propre du cinéma de Jean Rouch, comme le montrent par exemple La Ch (...) 4 La concordance émise ici entre « l’époqualité » du réel filmé et la temporalité en laquelle le réel filmé va s’inscrire 2 se retrouve dans Moro Naba . Photos jean rouch. Jean Rouch - Moi, un noir, 1958.