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1998 - Banque Centrale Européenne

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Le marché Transatlantique. L'Eurozône... Chypre, c'est quoi cette embrouille. Après tout, le "sauvetage" de la Grèce s'était à peu près bien passé, et maintenant cette crotte de mouche cypriote menace de faire s'écrouler toute la barraque?

Chypre, c'est quoi cette embrouille

Dans le cas de la Grèce il a eu une décote sur les emprunts d'etat. Dans la cas de Chypre ces emprunts ne sont pas touchés par le "haircut". Les investissseurs dans les oblications bancaires ne sont pas embetés non plus. Pourquoi? La plus grosse partie des obligations cypriotes servent de garanties à la BCE. Il n'y a pas de chiffres officiels, mais on estime la valeur des papiers cypriotes de la BCE à 11,6 milliards EUR. A cause de Target2 (wiki) les etats européens seraient obligée de pomper du capital dans la BCE. Draghi a très peur de ce scenario. Le système de ponzi est arrivé à un point critique. Traduit des Deutsche Wirtschaftsnachrichten. Chypre. Les allemands renvoient dos-à-dos Sarkozy et Hollande : Changer les statuts de la BCE ? Ce sera NEIN ! Le gouvernement allemand vient d'exprimer sa « conviction profonde que la BCE exerce son mandat de manière totalement indépendante de la politique ».

Les allemands renvoient dos-à-dos Sarkozy et Hollande : Changer les statuts de la BCE ? Ce sera NEIN !

M. Steffen Seibert, porte-parole de la chancelière Angela Merkel, a précisé que « cette conviction est connue à Paris ». Cette déclaration solennelle des autorités de Berlin coupe ainsi court immédiatement à la fois : à la déclaration de Nicolas Sarkozy, qui a lancé hier dimanche 15 avril place de la Concorde, qu'il souhaitait, une fois réélu, rouvrir le débat sur la Banque centrale européenne et son rôle dans le soutien de la croissance en Europe. Et à la même idée, déjà évoquée avant lui, par François Hollande.

M. Les européistes français, qui n'ont que le prétendu « moteur franco-allemand » à la bouche, passent leur temps à refuser tout débat de fond sur l'euro et sur l'UE, en diabolisant ceux qui veulent sortir de l'euro comme étant des « nationalistes ». L'erreur est d'avoir voulu jouer à ce jeu. C'était il y a 15 ans. Les "accords" "économiques" de l'empire. Contre la BCE, vive l’inflation ! partie I. Antoine, pendant ses vacances, a visité la Banque Centrale européenne, à Francfort.

Contre la BCE, vive l’inflation ! partie I

C’est que, au fond, discrètement, cette ville est devenue notre nouvelle capitale. Mais comme, sur place, le guide n’était pas terrible, à son retour de congé, il a interrogé Frédéric Lebaron, à la fois sociologue et économiste, auteur de La BCE et la révolution néolibérale – et qui collectionne des fiches sur tous les banquiers centraux de la planète... Francfort, notre capitale invisible ? Antoine : Je me suis rendu à Francfort parce que, ces temps-ci, on a l’impression que c’est devenu notre nouvelle capitale. Régulièrement, la Banque centrale réclame plus de « flexibilité sur le marché du travail ».

Frédéric Lebaron : Et pourtant, on ne dit pas que Jean-Claude Trichet est un leader du néolibéralisme en Europe… François : Surtout, dernièrement, on est tombés sur cet article dans Le Figaro. "union" européenne pour qui ? pour quoi ? Contre la BCE, vive l’inflation ! Partie II. Président de la Banque centrale européenne. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Président de la Banque centrale européenne

Le président de la Banque centrale européenne, quelquefois appelé dans le langage courant gouverneur de la Banque centrale européenne, préside le Conseil des gouverneurs et le Directoire de la Banque centrale européenne (BCE). Il est nommé, comme le vice-président et les quatre autres membres du Directoire pour un mandat de huit ans non renouvelable, d'un commun accord entre les chefs d'État ou de gouvernement des États de la zone euro, sur recommandation du Conseil de l'Union européenne et après consultation du Parlement européen et du Conseil des gouverneurs de la BCE. Il doit être choisi parmi des personnes ayant une autorité et une expérience professionnelle reconnues en Europe en matière monétaire ou bancaire. Sa rémunération est en 2008 de 345 252 € auxquels s'ajoute la résidence et les frais de représentation[1]. Présidents successifs[modifier | modifier le code] Nomination initiale[modifier | modifier le code]

1998 - Banque centrale européenne. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

1998 - Banque centrale européenne

Le taux de refinancement de la BCE, son principal taux directeur, est fixé à 0,050 % à compter du 10 septembre 2014 en baisse de 0,10 point ; ses deux autres taux directeurs, le taux de rémunération des dépôts est négatif, à - 0,20 % et le taux du prêt marginal est fixé à 0,3 %. La BCE avait annoncé le 18 décembre 2008, à compter du 21 janvier 2009, un rétablissement de son corridor constitué par les taux des facilités permanentes à 200 points de base (2 %) autour du taux d'intérêt des opérations principales de refinancement, contre 100 points de base auparavant. Depuis octobre 2008 et à l'instar de la plupart des banques centrales de la planète, la BCE est entrée dans un cycle de relâchement monétaire, qui se traduit principalement par une baisse de ses taux directeurs, et ce pour faire face à la récession[3].

Depuis le 4 novembre 2014, la BCE assume un rôle central dans la supervision et le contrôle des principales banques européennes.