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Entre Platon, Dick et Cronenberg, le rêve et le réel, avec Inception ActuaLitté. La réalité, le rêve, les manipulations de l'esprit... des thèmes chers à la littérature de science-fiction, tout particulièrement et plus encore à des auteurs comme Philip K. Dick, pour qui l'introduction d'une réalité nouvelle ne marque pas forcément l'abandon des précédentes (voir Ubik...). Avec Inception, le cinéma hollywoodien nous gratifie d'un nouveau blockbuster, mais de talent.

Celui de Leonardo DiCaprio, brillantissime, et qui pousse le bon goût jusqu'à ne pas éclipser les autres acteurs, leur laissant un véritable champ d'action... L'intrigue se résume sur un ticket de métro : ce n'est pas cela qui compte. Un homme, Léo, en l'occurrence, est engagé pour implanter une idée dans l'esprit du futur héritier d'une supra-coproration. Pour ce faire, un kidnapping et hop, on va plonger dans ses rêves pour lui faire rentrer l'idée au plus profond de lui-même.

Simplissime, non ? Difficile de passer également à côté du mythe de la Caverne de Platon dans cette histoire. Philip K. Scenario - lowen602. Renaissance (2006) La preuve par cinq Renaissance est le fruit de la rencontre de cinq talents, fin 1999. En cette période, le producteur Aton Soumache organise une rencontre entre le réalisateur Christian Volckman, Marc Miance, jeune pionnier de la 3D et de la capture de mouvement, et deux scénaristes, Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte. Ces quatre jeunes gens, provenant d'univers très différents, se verront des centaines de fois, construisant au fil de leurs entrevues des amitiés fortes nourries par l'obsession commune de mener à bien un projet fou qui ressembla longtemps à un rêve impossible.

Ce projet allait bientôt avoir un nom : Renaissance. Un test à Imagina comme point de départ... C'est en 1998 que l'idée de Renaissance, ou plus exactement l'idée de l'aspect visuel qui allait s'appliquer au film, a germé chez Marc Miance. Final Fantasy: The Spirits Within (2001) Tron. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Tron est un film de science-fiction américain réalisé par Steven Lisberger, sorti en 1982. Une suite, Tron : L'Héritage, a été réalisée en 2010 par les studios Disney.

Synopsis[modifier | modifier le code] Kevin Flynn était un programmeur de génie chez ENCOM, mais la paternité des jeux vidéo qu'il y a développés a été usurpée par un de ses collègues, Ed Dillinger. Ce dernier a également réussi à le faire licencier. Devenu tenancier d'une salle d'arcade où tournent ses propres jeux au bénéfice d'ENCOM, Kevin tente, chaque soir depuis chez lui, de pénétrer le système informatique de la société éditrice. CLU ayant été neutralisé par le MCP, Kevin n'a d'autre choix que de s'introduire chez ENCOM pour accéder de l'intérieur au système informatique. À l'intérieur de l'ordinateur, les programmes ont l'apparence de leur concepteur. Fiche technique[modifier | modifier le code] Light Cycle, véhicule présent dans le film Lauréat 1983 : Saturn Awards :

The Fifth Element (1997) Total Recall (1990) Star Trek. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Logo de la série télévisée Star Trek. Histoire[modifier | modifier le code] L'univers Star Trek dépeint un futur optimiste, utopique, dans lequel l'humanité a éradiqué la maladie, le racisme, la pauvreté, l'intolérance et la guerre sur Terre.

Elle s'est également unie à d'autres espèces intelligentes de la galaxie. Les personnages explorent l'espace, à la recherche de nouveaux mondes et de nouvelles civilisations et s'aventurent « là où aucun homme, là où personne, n'est jamais allé ». Les histoires de Star Trek font partie intégrante de la culture américaine. Plusieurs épisodes de la première série se fondent sur une confrontation entre une puissance supérieure, généralement une race extraterrestre avancée (possédant souvent de formidables pouvoirs mentaux), avec une technologie de pointe, et un être humain ayant acquis, dans des circonstances particulières, des pouvoirs inhabituels, parfois avec un dieu. Cinq séries Une série d'animation. Delicatessen (1991) Le Choc des mondes (film, 1951) Le Choc des mondes (titre original : When Worlds Collide) est un film américain réalisé par Rudolph Maté, sorti en 1951.

D'après les calculs du professeur Bronson du Cap, la planète Bellus fonce vers la Terre. Alerté par le savant, le professeur Hendron de l'observatoire de New York confirme ses prévisions : il reste moins de huit mois avant l'inévitable collision avec Bellus, douze fois plus grosse que la Terre, et la fin du monde est proche. Pourtant les Nations unies, incrédules, refusent d'engager la moindre action. Grâce aux capitaux du banquier Sydney Stanton, un petit groupe dirigé par Hendron décide alors de construire un vaisseau spatial afin de coloniser le satellite de Bellus, Zyra, dont l'atmosphère est similaire à celle de la Terre et qui devrait réchapper du choc entre la Terre et Bellus. Et, parmi les acteurs non crédités Leonard Mudie : Le représentant britannique aux Nations uniesQueenie Smith : La mère avec une cigaretteStuart Whitman : Figurant (rôle indéterminé) Sin City (2005) Dark City (1998)

La Planète sauvage. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Planète sauvage est un film d'animation de science-fiction réalisé par René Laloux, sorti en 1973. Le scénario s'inspire librement du roman Oms en série de Stefan Wul. Synopsis[modifier | modifier le code] Sur la planète Ygam vivent les Draags, une espèce d'humanoïdes mesurant douze mètres de haut. Ils ont atteint les plus hauts sommets de la connaissance. Leur existence s’écoule lentement, tout entière tournée vers la méditation. Les enfants des Draags raffolent de minuscules animaux familiers, les Oms, ramenés d'une lointaine planète dévastée, Terra. Fiche technique[modifier | modifier le code] Distribution[modifier | modifier le code] Conception et production[modifier | modifier le code] Le scénario est écrit par René Laloux et Roland Topor.

Distinctions[modifier | modifier le code] La Planète sauvage obtient le Prix Spécial du jury à Cannes en 1973 et un Prix Saint-Michel à Bruxelles en 1974. Analyse[modifier | modifier le code] Gandahar. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Résumé[modifier | modifier le code] Sur la planète Tridan, dans le pays de Gandahar, dirigé par la reine Ambisextra et le Conseil féminin, les humains vivent en harmonie avec la nature, qu'ils ont génétiquement reprogrammée pour subvenir à tous leur besoins (insectes géants servant de véhicules, pistolets à graines générant des ronces à croissance rapide, oiseaux-miroirs retransmettant les images vers des tours de surveillance).

Un jour, des hommes de métal noir commencent à semer la terreur aux frontières de Gandahar, dévastant des villages entiers et progressant peu à peu vers la capitale, Jasper. La reine envoie alors en éclaireur un jeune servant, Sylvin Lanvère, dit Syl. Ce dernier découvre des humains difformes et aux pouvoirs étranges, les Transformés, qu'il croit d'abord à l'origine des attaques avant de se rendre compte qu'il n'en est rien. De retour à Jasper, Sylvin fait son rapport. Fiche technique[modifier | modifier le code]

The Matrix (1999) Avalon (2001) The Lawnmower Man (1992) eXistenZ (1999) Les Maîtres du temps. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Maîtres du temps est un film d'animation réalisé par René Laloux sur des dessins de Mœbius, sorti en 1982 et inspiré du roman de science-fiction L'Orphelin de Perdide de Stefan Wul. Synopsis[modifier | modifier le code] Piel, un petit garçon en compagnie de son père, atterrit sur une planète sauvage, Perdide. Avant de mourir, son père réussit à contacter son ami Jaffar, et lui demande de sauver son fils Piel, désormais seul sur cette planète. Fiche technique[modifier | modifier le code] Titre original : Les Maîtres du tempsRéalisation : René LalouxScénario : Jean-Patrick Manchette, Mœbius et René Laloux d’après Stefan Wul (L'Orphelin de Perdide)Images :Effets Spéciaux : Sándor ReisenbüchlerSon :Musique : Jean-Pierre Bourtayre, Pierre Tardy, Christian ZanésiDirecteur de production : Étienne LarocheProduction : Télécip, TF1, Télévision suisse romande (Genève), S.W.F.

Voix françaises[modifier | modifier le code] Comparaison du roman et du film. Quintet (1979) Brainstorm (1983 film) Brainstorm is a 1983 science fiction film directed by Douglas Trumbull and starring Christopher Walken, Natalie Wood, Louise Fletcher and Cliff Robertson. It was Wood's final film appearance, as she died during production, and was also the second and final major motion picture to be directed by Trumbull. The film follows a research team's efforts to perfect a system that directly records the sensory and emotional feelings of a subject, and the efforts by the company's management to exploit the device for military ends. A team of scientists invents a brain/computer interface that allows sensations to be recorded from a person's brain and converted to tape so that others can experience them.

The team includes estranged husband and wife Michael and Karen Brace (Walken and Wood), as well as Michael's colleague Lillian Reynolds (Fletcher). At CEO Alex Terson's (Robertston) instruction, the team demonstrates the device to investors in order to gain financing for further development. Passé virtuel The Thirteenth Floor (1999)