F mbaye
documentaliste
Automation and the workforce of the future. Skill shifts have accompanied the introduction of new technologies in the workplace since at least the Industrial Revolution, but adoption of automation and artificial intelligence (AI) will mark an acceleration over the shifts of even the recent past.
Audio The need for some skills, such as technological as well as social and emotional skills, will rise, even as the demand for others, including physical and manual skills, will fall. These changes will require workers everywhere to deepen their existing skill sets or acquire new ones. Companies, too, will need to rethink how work is organized within their organizations. This briefing, part of our ongoing research on the impact of technology on the economy, business, and society, quantifies time spent on 25 core workplace skills today and in the future for five European countries—France, Germany, Italy, Spain, and the United Kingdom—and the United States and examines the implications of those shifts.
Banking and insurance Energy and mining. Automatisation : 375 millions de personnes forcées de changer d'emploi d'ici 2030 ? Selon la dernière étude du cabinet McKinsey, l'automatisation du travail pourrait avoir des conséquences sur une large part de la population active mondiale d'ici 2030.
D'après des estimations évoquées dans le rapport intitulé "Emplois perdus, emplois gagnés : l'évolution des forces de travail au moment de l'automatisation", entre 400 et 800 millions d'actifs pourraient être touchés par cette transformation alors que la population active mondiale est estimée à 2,6 milliards selon des chiffres cités dans le document. Un graphique de notre partenaire Statista. | Lire aussi Automatisation : peu de disparitions d'emplois, mais beaucoup d'évolutions Des transformations majeures Le monde du travail pourrait être confronté à des transformations majeures. Toutes ces mutations dépendent également d'autres facteurs rappellent le cabinet d'expertise.
Des conséquences différenciées L'impact potentiel de l'automatisation sur l'emploi varie beaucoup en fonction de l'emploi et du secteur étudié. La "Robolution" au travail est en marche. Le Forum économique mondial vient de publier son rapport "The Future of Jobs 2018" sur l'avenir du monde du travail.
Selon la fondation, 52% des tâches professionnelles courantes seront effectuées par les robots à partir de l’horizon 2025. L’étude a été menée dans 20 pays à travers le monde et auprès d’entreprises exerçant dans 12 secteurs d’activité différents. Notre graphique présente le ratio du temps de travail homme-machine en 2018 ainsi que la projection en 2022 pour une série de tâches professionnelles. On remarque que pour chacune des tâches, la part effectuée par la machine devrait connaître une nette progression estimée entre 32 % et 59 %. Outre les tâches attraient à la recherche, l’identification et l’évaluation d’informations, les activités liées à l’administration, la gestion et le conseil devraient également connaître une forte transformation avec les progrès de l’automatisation et de l’intelligence artificielle. Les métiers les plus menacés par l'automatisation. Un million de robots pour Foxconn.
Pourquoi ne parvient-on plus à résorber le chômage dans nos économies? Aux Etats Unis, le taux de chômage est fixé à 9,1%.
Les politiques de relance de Barack Obama semblent vouées à l’échec, et l’économie ne créée pas suffisamment d’emplois pour couvrir l’accroissement naturel de la population. Mais selon James Crabtree, il y a une explication : la technologie, qui a longtemps permis la création d’emplois, en détruit aujourd’hui plus qu’elle n’en génère, et bien que les entreprises engrangent des bénéfices et investissent toujours en équipement, elles ne recrutent plus. Deux économistes du Massachussetts Institute of Technology (MIT), Erik Brynjolfsson et Andrew McAfee, rappellent que nos économies sont basées sur deux postulats : d’abord, que la croissance va créer des emplois, ensuite que la hausse de la productivité générera des augmentations de salaires. Mais pour ces auteurs, ces deux lois ne s’appliquent plus, car une troisième ne se vérifie plus non plus : que la technologie créée au moins autant d’emplois qu’elle n’en détruit.