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Identite numerique

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Identité numérique. De Beaumarchais à Internet : de la calomnie à l'e-réputation négative. La calomnie et la désinformation ne sont pas choses nouvelles en ce monde. Dans le cadre de ce dossier spécial, nous nous penchons sur cette ancienneté du phénomène : De Beaumarchais à Internet : de la calomnie à la e-réputation négative qui tente de poser quelques jalons historiques, remontant au cheval de Troie, toute première opération de désinformation, et passant par l'émergence de l'e-réputation sur les réseaux télématiques des années 1980.

"La calomnie, Monsieur ? Vous ne savez guère ce que vous dédaignez ; j'ai vu les plus honnêtes gens près d'en être accablés. Croyez qu'il n'y a pas de plate méchanceté, pas d'horreurs, pas de conte absurde, qu'on ne fasse adopter aux oisifs d'une grande ville, en s'y prenant bien ; et nous avons ici des gens d'une adresse !... Aperçu de la calomnie Nous pourrions prendre des exemples encore plus lointains sur l'art et la manière de flétrir une réputation. E-réputation sur Télétel En juin 1981, la télématique française est définitivement lancée. Cyberguerre et cybercriminalité : Internet, champ de bataille des temps modernes ? Cyberguerre et cybercriminalité : Internet, champ de bataille des temps modernes ? Emmanuel Le Bohec, Regional Manager chez Corero Network Security 1ère partie : Quelques attaques récentes… DDoS en série en représailles contre Sony Fin mars 2011, Sony engage une action en justice contre des développeurs ayant modifié le logiciel de sa console PlayStation 3.

Pour protester, le collectif Anonymous lance une attaque DDoS qui paralyse les sites PlayStationNetwork.com. Le 20 avril, Sony déconnecte les services PlayStation Network et Qriocity, après avoir détecté une intrusion sur les serveurs du réseau, hébergés dans un data center. Mais ce n‘est que la partie émergée de l’iceberg ! Selon Sony, l’attaque était très sophistiquée. Piratage de MySQL, l’envers de la manipulation Lundi 26 septembre 2011, des pirates compromettent MySQL.com, le site officiel de la base de données open source du même nom. RSA et les dessous du vol de données Espionnage de Lockheed-Martin Une guérilla de mercenaires.

VOS DONNEES PERSO A L'ETRANGER. Je suis Nutella, Aviva, Peugeot et Chanel, qui suis-je ? Je plussoie, je like, je Retweete, je me balade sur des forums, je clique de ci de là sur des pages de marques, je partage des contenus, je teste, je critique, j’encense… je suis un consommateur social… Pourtant, je pars, je te quitte. Tu ne m’intéresses plus réellement. En tout cas, de la façon dont tu existes aujourd’hui. Je suis un consommateur En veille constante, en quête de nouveautés, d’innovations, de nouveaux produits, d’infos décalées, à l’affût, je suis prêt à payer le prix fort pour acheter. Mais je ne pense pas qu’il soit nécessaire de me prendre pour une buse avec des faux avis, avec des coupons promotionnels ou des offres commerciales, je suis un consommateur, je suis informé. Donc, je ne suis pas plus dupe. Dans mes linéaires on-line ou IRL, à quelques centimètres de mon produit, je suis connecté avec mon mobile et je me renseigne.

Je suis un partageur de contenus. Sur vos pages Facebook, Twitter, Google +, sur vos sites, sur YouTube, vous balancez des contenus. Oh ! Alerte aux traces. Identité numérique : ce miroir déformant. Ronan Boussicaud est webmarketeur et Community Manager pour l’agence Useweb. Profondément attaché aux relations humaines, il blogue sur « La Psyché du web social« , un site faisant le pont entre la psychologie sociale et le web 2.0. Collaborateur pour le site My Community Manager, il y développe des analyses liées au Community Management et aux médias sociaux. Il partage sa veille qualitative et ses coups de cœur sur son compte Twitter @Rboussicaud.

Il intervient aujourd’hui dans le cadre de notre Débat du mois sur l’identité numérique. Merci à lui pour sa contribution ! Nous sommes à présent 7 milliards d’êtres humains sur notre chère planète Terre. Nos attentes et besoins restent les mêmes depuis la nuit des temps (comme le démontre la pyramide de Maslow), cependant c’est bien la technologie qui construit des outils faisant évoluer nos usages. « L’homo internetus » que nous sommes devenus a donc une nouvelle identité, un reflet numérique de sa personne qu’il faut entretenir. En résumé. Enquête : Google ou le contrôle de votre identité numérique. Préambule : cet article a été rédigé par Antoine Dupin, Consultant spécialiste des médias sociaux et auteur du livre « Communiquer sur les Réseaux Sociaux« . Il vit actuellement à Québec.

Ce billet fait partie de notre Débat du mois sur l’identité numérique et l’importance de notre présence en ligne. Vous pouvez retrouver Antoine Dupin sur son site et sur Twitter @antoinedupin. Est-il encore nécessaire de présenter le réseau social Google+ tant il a suscité les passions et continue à alimenter les blogs au gré de ses améliorations ? Livré de manière incomplète, imparfaite, il est tout de même considéré comme un concurrent sérieux à Facebook ou à Twitter. Cependant, Google+, au delà du simple réseau social, est avant toute chose une couche sociale qui unifie les différents services Google, déjà fortement utilisés. De données utilisateurs éclatées, on voit émerger un ensemble cohérent autour d’un profil, d’une identité numérique. Une autre initiative vient du gouvernement américain. Oublier l'oubli : mémoire et traçabilité numérique.

Cycle de conférences PACA-Marseille "L'Internet change-t-il le temps ? ", 31 mars 2011 Une conférence de Louise Merzeau, organisée par l'ADBS Paca, en partenariat avec l'Alcazar BMVR de Marseille, dans le cadre du cycle de conférences "L'Internet change-t-il le temps ? ". Connexions, navigations, consultations, évaluations, relations : dans l'environnement numérique, tous nos agissements déposent une trace, souvent à notre insu. Moins que des signes, mais beaucoup plus que des données insignifiantes, ces traces n'affectent pas seulement les contours de notre présence individuelle. Elles reconfigurent la mémoire partagée, celle qui s'organise et se légitime dans des dispositifs de transmission renouvelés.

Mémoire par défaut, où l'oubli semble désormais impossible. Mémoire en nuage, disséminée en même temps que l'information... Louise Merzeau est maître de conférences en sciences de l'information et de la communication à l'université Paris Ouest Nanterre La Défense, et membre du CRIS. De l’identité à la présence numérique. Quelles notions enseigner quand on enseigne l’identité numérique ?

Comment faire pour, une fois le discours légitime des dangers d’Internet énoncé, aller au-delà et apprendre aux élèves à évoluer dans cet espace médiatique en exerçant une présence numérique assumée ? Comment conduire les élèves à l’acquisition d’une véritable culture informationnelle dont les objectifs sont de réussir à Réaliser, Réfléchir et Résister dans le contexte du numérique ? La lecture des travaux de Louise Merzeau[1] a été pour moi éclairante. Avec le numérique, l’un des bouleversements majeurs à prendre en compte dans notre enseignement est la mémoire de nos activités sur le web et leurs enjeux sociétaux. Cette mémoire est une mémoire totale au point de pouvoir parler de l’hypermnésie du web. Toutes nos activités sur le web laissent des traces, on parle aussi de traçabilité de l’individu qui est devenu une collection de traces. Pour exemple, avec la géolocalisation : Exploration de l’identité numérique avec des LEGO.

Avant-propos : cet article a été rédigé par Jean-Baptiste Mac Luckie. Il porte sur une expérience menée sur le thème de l’identité numérique dans le cadre d’un Bachelor réalisé à l’Université de Glamorgan à Cardiff. N’hésitez pas à lui faire des retours en commentaires ou via son compte Twitter @jbmacluckie. Le concept d’identité numérique a été étudié sous différents angles, que ce soit d’un point de vue sémiologique, informationnel, info-communicationnel ou encore sociologique. Ce thème est devenu en l’espace de quelques temps une thématique discutée, débattue voire contestée et a fait l’objet de nombreux billets de blogs et publications scientifiques. Cette opportunité s’est présentée à moi sous un angle purement académique, puisque j’étudie ce concept dans le cadre de mon BA Media & Communications à l’Université de Glamorgan à Cardiff. Pourquoi étudier l’identité numérique avec des Lego ? Le processus de construction du modèle identitaire : 3 étapes clés Les feedbacks sur le projet.

L’identité numérique- Les Enseignants Documentalistes de l’Académie de Poitiers. L’identité numérique, c’est à dire l’ensemble des informations associées à une personne disponibles sur Internet, est interrogée par le thème de la Journée européenne de protection des données personnelles : Safer Internet Day 9 février "Tu publies ?

Réfléchis", et elle a été une des thématiques abordées lors de la rencontre annuelle fin janvier des interlocuteurs académiques Tice&Documentation.1 Faites un essai avec les moteurs de recherche des personnes 123people ou webmii, ou tout simplement avec Google en tapant votre prénom et votre nom. Vous découvrirez ce que le Web a gardé comme traces sur votre identité professionnelle ou privée, un ensemble d’informations qu’un jour vous (ou quelqu’un d’autre) avez mis en ligne en y associant votre nom.

Ces informations peuvent être publiques par choix, dans ce cas rien à dire, mais est-t-on toujours conscient de la durée de vie de ces données ? Yourtango.com Le guide des bonnes manières sur Facebook. 4 min. 13. Educnet. En parler aux élèves : comment ? 3. Comment aborder cette question avec les élèves ? 3.1. Quelques postures et cadres pédagogiques Comment nous l’avons dit en introduction, aborder la question de l’identité numérique avec les élèves n’est pas chose aisée et si l’on veut que notre message de prévention passe, il faut préalablement choisir une posture pédagogique adaptée qui tempère les effets du conflit de génération inévitable entre nos élèves et nous sur la question de l’identité numérique.

Pourquoi conflit inévitable ? Parce que nous, les parents, les enseignants, les “vieux cons”, comme dit le journaliste Jean Marc Manach [18] essayons de dire aux jeunes, “les petits cons” que la vie privée c’est important, capital même et qu’une fois que la vie privée devient publique c’est difficile de faire machine arrière... Et eux de répondre qu’on les filmait avant même qu’ils soient nés, que désormais c’est la vie de tout le monde qui est exposée sur la voie publique (alors qu’est-ce qui est vraiment privé ?) 1. 2. 3. 4. 5. 6. Qu’est-ce que j’enseigne à mes élèves quand je leur apprends à maîtriser leur identité numérique ? Voilà cinq ans que je travaille avec les élèves sur la question des traces et de l’identité numérique.

Et depuis cinq ans cette question me préoccupe même si je sens l’utilité civique et sociale de mes interventions. Je fais passer des informations, j’ai un rôle d’animatrice voir d’éducatrice. Mais en quoi mon rôle se distingue-t-il de celui des intervenants des sociétés privées dans les établissements scolaires ? Ai-je vraiment un rôle d’enseignante ? Pour les professeurs des autres disciplines, anciennes et instituées, c’est une question qui ne se pose pas. Alors que j’étais en plein dans la construction de mon projet Identité Numérique de l’année avec les 3èmes (co-construction avec mon collègue de Technologie), que je gardais dans un coin de la tête ma question toujours présente, j’ai lu hier soir l’article publié par André Tricot dans le dernier numéro de Mediadoc.

Et tout s’est éclairé. Dans chaque groupe on note une gradation du spécifique au général : Voilà, j’y suis arrivée ! Parlez-moi de moi: l’identité numérique. Mon identité numérique est constituée de toutes les données qui sont associées à ma personne, traces et renseignements que je laisse, volontairement ou non, sur le Net: adresse IP, pseudo, adresse email, données personnelles, photos, vidéos, avatar, commentaires, formulaires remplis, réponses à des sondages, avis de consommateur, blogs etc. En prendre conscience est la première étape pour apprendre à contrôler son image sur le Net, en sachant comment elle s’élabore parfois à mon insu: il s’agit d’éviter le bad buzz et de se construire une e-réputation maîtrisée!

En prenant pour base le référentiel du B2i collège (décembre 2011) et le domaine « Adopter une attitude responsable » avec son item « protéger sa personne et ses données », je vous propose quelques ressources, sous forme de fiches pratiques, de scénarios pédagogiques, de vidéos ou de serious games. Je vous invite à compléter mes recherches, forcément partielles, en proposant d’autres ressources dans la partie commentaires. #lift12 : Peut-on tuer son identité numérique sur les sites sociaux. Par Hubert Guillaud le 29/02/12 | 4 commentaires | 3,658 lectures | Impression A l’heure où la technologie façonne notre identité projetée, quelle maîtrise en avons-nous vraiment ? C’est la question que nous adressait brillamment Gordan Savicic sur la scène de la 7e édition de Lift 2012. “Facebook est une manifestation physique et moderne de l’architecture centralisée du Panopticon“, estime l’artiste numérique Gordan Savicic (@frescogamba). “Facebook est un intermédiaire entre mes amis et moi, entre l’identité virtuelle de mes amis et la mienne.

Image : Gordan Savicic sur la scène de Lift, photographié par Ivo Näpflin pour LiftConference. Que se passe-t-il pourtant quand on essaye de supprimer cette identité ? Tuer son identité numérique pour en reprendre possession web 2.0 suicide machine promotion from moddr_ on Vimeo. Les développeurs de la Web 2.0 Suicide Machine ont même organisé des happenings et notamment une “nuit du suicide”. Hubert Guillaud. Infographie informatique et libertés by devergranne. Mémoire et traçabilité numérique. De l’identité à la présence numérique. Le « S.E.T » et la dualité identitaire des Réseaux Sociaux 1/3. Plus de 25 millions de profils Facebook en France, près de 900 millions dans le monde… et tous, nous y passons un temps de plus en plus conséquent en jonglant entre nos vies IRL et nos vies virtuelles qui de plus en plus se recoupent.

Mais le décalage existe, à coup sûr entre ces deux sources d’identité synchronisées et diachroniques. Quid alors de la frontière entre IRL et virtuel ? Avec l’explosion des réseaux sociaux, quels qu’ils soient, nos habitudes de communication mais au-delà, de vie, changent et évoluent constamment. Ces habitudes naissent en un temps record, notre temps réel se mélange au temps virtuel en perpétuelle accélération… Nous nous soumettons à une double pression sociale, virtuelle et réelle. Nous vivons dans un temps duel qui nous oblige à la connexion, au dialogue, à la conversation tout autant, encore une fois, réelle que virtuelle, les deux se confondant à l’envi. Gérer son nom comme une marque (to be continued) Lire la suite du Story-Ego-Telling. Contrôler sa présence numérique. Pourquoi enseigner l’identité numérique ? « Un internaute laisse beaucoup de traces de différentes natures. Nos comportements en ligne ont considérablement évolué, soit directement sur Internet, soit lors de toutes sortes de transactions qui intègrent des transferts d’informations numériques (…).

Comme dans la vie réelle, il faut apprendre à repérer différents milieux, savoir comment on se comporte dans tel milieu, comprendre qui parle, d’où on parle. C’est ce que je mets dans la présence numérique. Il s’agit de développer une compétence numérique qui soit à la fois un savoir lire, un savoir écrire et un savoir être » Lire l’interview de Louise Merzeau. Descriptif de la séquence Questionnaire : Google veut vous vendre un jean, est-ce possible ? A l’heure du bilan Ainsi cette séquence sur les usages du numérique aura permis d’aborder un domaine complètement transversal illustrant les relations unissant droit et société. Cette séquence aura permis de : Bilan pour les élèves : Plus d’infos sur : Les médias sociaux comme composante de son identité numérique, par Christophe Ramel.