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SIMPLIFY.THATSH.IT. Isadora @ Musée Cognacq-Jay. Download 35,000 Works of Art from the National Gallery, Including Masterpieces by Van Gogh, Gauguin, Rembrandt & More. As a young amateur painter and future art school dropout, I frequently found myself haunted by the faces of two artists, that famously odd couple from my favorite art history novelization—and Kirk Douglas role and Iggy Pop song—Lust for Life. Vincent van Gogh and Paul Gauguin, above and below respectively, the tormented Dutch fanatic and burly French bully—how, I still wonder, could such a pair have ever co-existed, however briefly? How could such beautifully skewed visions of life have existed at all? Van Gogh and Gaugin’s several self-portraits still inspire wonder.

My younger self had the luxury of seeing these particular two up close and in person at the National Gallery of Art in Washington, DC: Van Gogh’s gaunt and piercing visage, Gauguin’s sneering self-parody. There you’ll find works by another obsessive Dutch self-portraitist, Rembrandt van Rijn, such as the lush 1659 painting below. Browse the various collections, including one devoted to self-portraits.

Related Content: Selfie: #moi (et la Joconde) Ça pourrait être une photo de fin de soirée. Nanna Gerdes à l'air ravi à côté de son pote Hannibal, qui rigole bien aussi. Sauf que Hannibal est un squelette, mais ça se comprend mieux quand on sait que madame Gerdes est la conservatrice du musée médical de Copenhague, la maison d'Hannibal. Les «selfies» (photos de soi-même) décalées avec des œuvres d’art, c'est la nouvelle tendance Twitter et elles fleurissent sur le réseau.

Et pour cause. Le 22 janvier été inauguré le Museum Selfie Day, à l'initiative de la Britannique Marlene Dixon, une passionnée de musées qui a créé, il y a trois ans, le site CultureThemes avec un but précis: «Montrer que la culture est fun!» «On m’a dit que le selfie c’était so 2013, mais je voulais montrer que les musées, les galeries, et les visiteurs peuvent s’amuser avec les photos», explique-t-elle. Par Maud Couture et Florence Stollesteiner.

I classici dell'arte si animano con la magia del digitale. Les 7 péchés capitaux & Hopper. Photo by isadorac. Dollhouse. La matière noire de Lee Jin Woo. L’herbe pousse sur les tableaux de Lee Jin Woo, peintre coréen, installé à Paris depuis une dizaine d’années. Ses œuvres végétales sont une réponse au mur érigé devant lui. Le motif du mur revient fréquemment dans ses grandes compositions. Pour les réaliser, il utilise des feuilles de papier traditionnel coréen, le hanji - créé à partir des fibres du mûrier - qu’il superpose par dizaine. La surface ressemble alors à une écorce sur laquelle il intervient en y incorporant toutes sortes de matériaux, pigments, encre, charbon, cendres, terre, graines, herbe...Progressivement, au gré de ses interventions, il fait disparaître une multitude de personnages dessinés au commencement de sa peinture. Lee Jin Woo, explique, qu'«une fois face à ma peinture, je deviens un bras qui peint.

Ma main étant le prolongement de mon cerveau... je ne pense plus, mon travail est intuitif». Né en 1959, il expose régulièrement en Corée et en France. REE Ai Weiwei – glasses !! Célébrités façon Renaissance.