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Big data

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2013 : naissance du marché du Big Data ? L’année dernière, à la même époque, alors que la première édition du congrès Big Data Paris allaitvoir le jour, les initiés au concept semblaient encore une denrée rare… L’expression elle-même (« Big Data ») semblait susciter l’interrogation ou prêter à confusion, et les retours d’expérience sur le sujet paraissaient encore trop jeunes et trop rares pour permettre une analyse d’ensemble.

2013 : naissance du marché du Big Data ?

Un marché Big Data ?... On parlait davantage de « phénomène Big Data ». Aujourd’hui, le marché existe bel et bien, et les regards étonnés des professionnels comme du grand public ont laissé place à des discussions plus animées, nourries par la connaissance fructueuse développée sur Internet et dans les revues spécialisées sur le sujet. Les acteurs se sont structurés et, si l’on reprend le schéma traditionnel de toute activité industrielle (input -> output), on retrouve avec le Big Data les ingrédients suivants : Les objets connectés envahissent la maison. Moins d'un tiers des entreprises en France ont un projet Big Data, selon EMC/IDC. Big Data, l’avenir fleurissant du commerce en France. Par Davy Nys, Vice Président, EMEA & APAC, Pentaho Je ne prédis certainement pas qu’Internet remplacera complètement le commerce traditionnel, mais je pense que presque tous les magasins spécialisés devront adopter une stratégie hybride selon laquelle un fort pourcentage de leurs ventes, telles que les produits de base et les achats récurrents, s’effectuera en ligne.

Big Data, l’avenir fleurissant du commerce en France

Ce n’est certainement pas une mauvaise nouvelle. Nous savions depuis longtemps que les grandes enseignes auraient à revoir leur modèle de vente en réponse à l’impact d’Internet sur le comportement des consommateurs. Les marchés de la musique, du film et de la presse par exemple sont d’ailleurs en train de le faire. De nombreux consommateurs ont bien accueilli le plus grand choix, la facilité d’accès et les prix concurrentiels que génèrent ces changements et sont disposés à payer pour de nouveaux types de biens et services, tels que les films par abonnement, les systèmes de bons d’achat et assistants personnels virtuels.

Big Data et métiers du décisionnel : ça commence à payer. Pas vraiment nouveau, le métier d'analyste de données.

Big Data et métiers du décisionnel : ça commence à payer

Plus récent, l'intérêt des (grandes) entreprises pour les profils de spécialiste fonctionnel de l'analyse de données ou de data scientist commence à se manifester dans les grilles de salaires. Ce qui situe globalement cette spécialité émergente au niveau du chef de projet chevronné voire du directeur de projet. Soit dans la plage de salaire de 50 000 à 70 000 euros par an, comme le confirme l'enquête menée en ligne par l'éditeur américain SiSense ( à télécharger ici en s'identifiant) à laquelle ont répondu quelques 400 professionnels du décisionnel, dont 48% d'américains et canadiens et 24% d'européens.

Certes, s'y retrouve l'avance de phase habituelle du secteur IT américain sur le reste du monde avec, pour l'Europe, un salaire moyen (tous profils d'analystes confondus) d'environ 50 000 euros (64 000 dollars) inférieur d'un tiers à la moyenne américaine (96 000 dollars). Etude Big data / IDC pour Hitachi Data Systems : priorités, perceptions et attentes des décideurs IT français. Etude Big data / IDC pour Hitachi Data Systems : priorités, perceptions et attentes des décideurs IT français Hitachi Data Systems publie les résultats d’une étude menée par IDC en Europe sur l’un des sujets phares du moment pour les entreprises et décideurs du IT, les Big Data.

Etude Big data / IDC pour Hitachi Data Systems : priorités, perceptions et attentes des décideurs IT français

En effet selon l’étude IDC, 41% des sondés estiment que la croissance rapide des données représente un défi pour l’avenir. Toutefois, cette croissance importante des données n’est plus aujourd’hui considérée comme un fardeau, mais plutôt comme une opportunité de croissance stratégique ainsi qu’un avantage concurrentiel fort. Big Data : les DSI restent sceptiques - Journal du Net Solutions. Le traitement des données en masse ne constitue pas un enjeu clé pour les entreprises. 32% des décideurs tablent sur une hausse des budgets analytiques et décisionnels d'ici 2014.

Big Data : les DSI restent sceptiques - Journal du Net Solutions

Résultats exclusifs d'une enquête du cabinet Markess. Dans son référentiel de pratiques "De l'information à la prise de décision : nouveaux modes d'accès et d'analyse pour la performance du business, 2012-2014", Markess International fait le point sur le marché de l'analytique et du décisionnel en France. Les résultats de ce référentiel, tirés d'une étude approfondie menée par le cabinet auprès de 200 décideurs, ont été fournis au JDN en exclusivité. Parmi les principaux enseignements de ce référentiel de pratiques, on apprend que 66% des décideurs utilisent des solutions analytiques et décisionnelles, et que sur les 17% qui ont des projets prévus sur ce terrain, près de la moitié (41%) tablent sur un lancement de leur chantier d'ici la fin de l'année. L’analytique Big Data peut réduire les cyber-risques, selon l’ISF. L’analytique Big Data a la capacité de réduire le nombre de risques liés aux cyber-attaques et d’augmenter l’agilité métier, affirme un rapport du l’Information Security Forum (ISF).

L’analytique Big Data peut réduire les cyber-risques, selon l’ISF

Selon une étude baptisée Data Analytics for Information Security, l’importance du Big Data et de l’analytique n’a jamais été aussi grande, poussée notamment par un volume de données sans cesse en progression qui atteint quelque 2,5 millions de teraoctets par jour. Les chercheurs de l'ISF estiment que la capacité à analyser les larges volumes de données hétérogènes et complexes liées aux cyber-menaces, aux risques et aux incidents peut aider les dirigeants d’entreprise ainsi que les décideurs à mieux comprendre et gérer le précieux équilibre risque / récompense dans le cyberespace.

Une telle visibilité, affirment-ils, peut contribuer à mieux sécuriser l’information, à gagner en agilité structurelle et à améliorer la cyber résilience.