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La réservation de vacances arrive sur Facebook. Depuis mars 2010 aux États-Unis, Facebook aurait généré plus de trafic que Google. De nombreuses applications liées au tourisme en ligne font leur apparition sur Facebook, le site communautaire apparaît comme une évidence pour partager des expériences de voyage entre amis. Compte tenu de la fréquentation de Facebook en passe de supplanter le moteur de recherche Google, les réseaux sociaux apparaissent comme une nouvelle manne pour les opérateurs privés qui ont bien compris les enjeux.

EasyJet, TripAdvisor, pour ne citer qu’eux, se positionnent déjà avec des applications innovantes basées sur le partage et l’échange entre amis via les médias sociaux et notamment sur Facebook. Aussi réserver ses vacances sur Facebook sera bientôt un acte presque banal, les technologies de réservation en ligne sur le site de réseautage sont déjà à portée de clic. La suite à lire sur etourisme.info : J’aime réserver mes vacances sur Facebook. La réservation de vacances arrive sur Facebook 5.00/5 1 vote. Facebook se met à recommander les restaurants, hôtels et cinémas. Le réseau social déploie une nouvelle fonctionnalité permettant la recommandation d'endroits tels que les hôtels ou les restaurants à proximité de l'utilisateur.

Facebook ne propose pas véritablement un moteur de recherche permettant de trouver des lieux proches mais dresse une sélection. Facebook lance un nouveau service permettant de trouver des commerces ou des attractions situées à proximité de l'utilisateur. Pour la France, seules trois villes sont pour le moment prises en compte. Le réseau social prend ainsi en charge Paris, Marseille et Nice.

L'outil ne fonctionne pas véritablement comme un moteur de recherche permettant de trouver un bar ou un restaurant à proximité. Pour ce faire, le réseau social mélange plusieurs de ses fonctionnalités à savoir le Graph Search (son moteur de recherche interne), son service de localisation (baptisé Places), ainsi qu'un moteur de recommandation permettant de mettre en avant certains lieux.

Pour en savoir plus. Six militants des Déboulonneurs relaxés pour une action anti-pub. Six militants des Déboulonneurs relaxés pour une action anti-pub PARIS - Six membres du collectif anti-pub des Déboulonneurs, poursuivis pour avoir barbouillé en 2009 des panneaux publicitaires à Paris, ont été relaxés lundi par le tribunal correctionnel de Paris. C'est la deuxième fois que la justice rend une telle décision. En 2010, huit membres du collectif avaient déjà été relaxés au nom de la liberté d'expression, mais le parquet avait fait appel.

La cour d'appel de Paris avait finalement condamné deux d'entre eux à une amende de 200 euros d'amende en juin 2012. Lundi, le tribunal correctionnel a retenu l'état de nécessité invoqué par les prévenus et de la liberté d'opinion définie par l'article 11 de la Déclaration des Droits de l'Homme. L'un des prévenus, Yvan Gradis, a expliqué qu'à titre personnel, il arrêtait les actions de barbouillage, consistant à inscrire des slogans hostile à la publicité sur des panneaux d'affichage, pendant un an. Résistance à l'agression publicitaire. AntiPub. Adblock Plus : surfez sans désagrément. Surfez Couvert. Tristan Nitot (Mozilla) : "Nous ne sommes pas des extrémistes anti-pub" Avec Firefox 22 qui sortira en juin prochain, la fondation Open Source planche sur un dispositif de blocage des cookies tiers. Mais que recouvrira précisément ce mécanisme potentiellement hostile aux publicités en ligne ?

JDN. Vous avez annoncé le blocage par défaut des cookies tiers dans Firefox 22 qui sera lancé le 25 juin prochain. Que répondez-vous aux acteurs de la publicité en ligne qui s'érigent contre cette décision ? Tristan Nitot. Il y a eu en effet beaucoup de réactions à cette annonce. De notre point de vue, elles sont un peu exagérées. Qu'entendez-vous précisément par "cookies tiers" ? Il s'agit de tous les cookies poussés par des sites que l'internaute n'a pas visités, et avec lesquels il n'a eu aucune interaction. Précision importante, Firefox n'effacera pas les anciens cookies tiers qui pourront donc toujours être exploités.

"Un ancien vice-président de l'IAB a salué notre initiative" Dans le fond, ce débat n'est pas nouveau. Là encore, c'est un malentendu. Le mouvement « antipub » prend de l'ampleur sur le Net. « Un autre web, sans pub, est possible » - Tribune. Free vient de désactiver le blocage de la publicité qu’il avait mis en place par défaut pour ses clients. Les éditeurs de presse en ligne voient dans ce système anti-pub « une atteinte au principe de neutralité du Net ».

Les associations Résistance à l’agression publicitaire et Surfez couverts demandent au contraire à ce que le blocage des publicités soit généralisé sur tous les navigateurs Internet afin de « garantir la liberté de réception de l’internaute ». Basta ! Relaie leur tribune, pour que ce débat puisse être approfondi. Avec en toile de fond la question du modèle économique de la presse en ligne. En janvier 2013, le fournisseur d’accès internet Free avait bloqué par défaut la publicité pour ses clients pendant quelques jours, protégeant plus de cinq millions d’internautes de l’agression publicitaire.

Liberté d’intrusion contre liberté de réception Free, par cette action, a engagé bien malgré elle, un débat sur la pollution visuelle et mentale due à la publicité sur Internet. RAP (Résistance à l'Agression Publicitaire) Adblock plus : chevalier blanc, ou chevalier gris ? Adblock Plus, chevalier blanc ET rançonneur ? C'est ce qu'affirme Rue89 ce matin dans un billet, qui s'appuie sur un article du Financial Times, dans lequel il est question des contradictions apparentes d'Adblock Plus, qui accepterait l'argent de Google, Amazon et Microsoft pour que leurs publicités ne soient pas bloquées.

> Cliquez sur l'image pour un gros plan < Méchant Adblock Plus ! C'est Rue89 qui l'écrit ce matin : "Ce 1er février, le Financial Times est venu confirmer la rumeur qui n’en était plus vraiment une : oui, de grandes firmes américaines paient pour ne pas voir leur publicité filtrée par Adblock Plus". Une confirmation donc, mais pas un scoop. Qu'apporte donc l'article du Financial Times ? L'occasion de relire notre article : "Adblock, victime de ses opaques dérogations ? ". Abonnez-vous ! Online Ad Survey: Most U.S. Consumers “Annoyed” By Online Ads; Prefer TV Ads To Online; Want Social Media Dislike Button; And Reckon Most Marketing Is “A Bunch Of B.S.” Adobe has put out some more research into online advertising.

This time it’s not an Index of the market but a poll of 1,250 U.S. consumers and marketers’ views on online advertising. The survey makes amusing reading at times – almost half of the respondents agree ‘online advertising is creepy and stalks you’, and more than half agree that ‘most marketing is a bunch of B.S.’. The poll also underlines the ongoing problem with online ads failing to capture people’s attention — only in-app/in-game ads fared worse in the battle for consumers’ attention, with print-based ads and TV commercials grabbing far more consumer mindshare Almost a third of consumers (30 percent) think online advertizing is not effective, while more than half (54 percent) reckon web banner ads don’t work.

Unsurprisingly a smaller percentage of marketers held those views (16 percent and 33 percent respectively). Effects of add block on advertising. What is the percentage of Internet users that employ AdBlock Plus or similar ad blocking plugins. Interview : Faut-il avoir peur d’Adblock Plus ? Android Adblock Plus est la première application qui parvient à bloquer les publicités sur un téléphone non rooté. Comment ça marche exactement ? Pour bloquer la publicité en provenance des réseaux Wi-Fi, Adblock Plus fonctionne avec un proxy qui analyse le trafic et filtre les données indésirables. Le blocage s’applique ainsi aussi bien aux applications qu’aux pages Web. Comme il est, en revanche, impossible de configurer un proxy pour 3G sur un appareil non rooté, Android Adblock Plus sera inefficace dans ce cas. Ce n’est pas encore une solution parfaite, mais c’est la meilleure pour l’instant.

Beaucoup de développeurs d’applications/éditeurs de contenus Web fondent leur système économique sur la pub. Techniquement, la pub bloquée par notre application n’est pas chargée. Pourtant, contrairement à ses congénères pour Firefox, Chrome ou Opera, Android Adblock Plus bloque les publicités sans discernement et ne permet pas de listes blanches… Oui. Non. C’était une erreur fondamentale.