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Réforme territoriale

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Le fonctionnement des élections départementales. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Les Décodeurs Les électeurs de la quasi-totalité du territoire sont appelés aux urnes les dimanches 22 et 29 mars pour élire leurs conseillers départementaux, selon une nouvelle formule.

Le fonctionnement des élections départementales

Les points clés. Lire : Trois bonnes raisons de s'intéresser aux élections départementales 1. La réforme territoriale. Les métropoles Un premier volet a déjà été ouvert en janvier 2014 avec la loi dite de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles.

La réforme territoriale

La création d'un nouveau statut pour ces dernières amorcera une vraie clarification de l’exercice des compétences au niveau local. Le 1er janvier 2015 ont vu le jour les métropoles de Rennes, Bordeaux, Toulouse, Nantes, Brest, Lille, Rouen, Grenoble, Strasbourg et Montpellier. Créée également le 1er janvier 2015, la Métropole de Lyon est une collectivité territoriale à part entière et dispose d’un statut particulier. Celles du Grand Paris et d'Aix-Marseille-Provence ont vu le jour au 1er janvier 2016. Bibliothèques en territoires, 4 : Une compétence obligatoire départementale à la croisée des chemins.

Ce fut peut-être la plus grosse surprise du « big bang territorial » annoncé par le Premier ministre Manuel Valls lors de son discours d’investiture du 8 avril 2014 : la suppression possible des conseils généraux… à l’’horizon 2021.

Bibliothèques en territoires, 4 : Une compétence obligatoire départementale à la croisée des chemins

Annonce confirmée par le Président de la République lui-même dans son intervention télévisée du 6 mai 2014 sur RMC et BFM-TV : « Je pense que les conseils généraux ont vécu. » Autrement dit, les départements comme collectivités territoriales à part entière. Territoires « DLog (supplt à www.lahary.fr/pro) J’ai omis, faute de temps, de lasser mes lecteurs en suivant le laborieux accouchement de l’acte 3 de la décentralisation qui à force de se démultiplier en lois successives et concertations infinies donnait le sentiment de s’enliser.

Territoires « DLog (supplt à www.lahary.fr/pro)

Même s’il y a eu, et ce n’est pas un détail, cette « affirmation des métropoles » , comme l’indique le libellé de la loi n° 2014-58 du 27 janvier 2014 de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles (MAPAM) , avec, dans le cas de Paris et de Lyon la suppression de communautés d’agglomération qui pouvaient se prévaloir de sérieux acquis en matière de lecture publique. J’y reviendrai. Mais il faut convenir que la déclaration de politique générale prononcée par le premier ministre Manuel Valls devant l’assemblée nationale sonne comme un coup de tonnerre. Lecture publique et réforme territoriale. La loi de décembre 2010 sur la réforme de collectivités territoriales a introduit de profonds changements dans le millefeuille des collectivités locales.

Lecture publique et réforme territoriale

L’élément le plus important tient dans la refonte de la carte des intercommunalités. En effet, leur nombre sera à terme réduit de 20%. Pour les autres collectivités, leur devenir est étroitement lié à la question du conseiller territorial. Jean-Jack Queyranne : « La culture doit devenir une compétence obligatoire des régions » La formation des agents territoriaux. Les formations obligatoires Les autres types de formation Les outils utilisés dans le cadre du dispositif de formation.

La formation des agents territoriaux

Fonction publique : pour ou contre une fusion des filières bibliothèque et patrimoine. Transférer les DRAC aux nouvelles régions : justifications, stratégies et conséquences possibles. La nouvelle réforme territoriale n’est pas partie sur de bons rails.

Transférer les DRAC aux nouvelles régions : justifications, stratégies et conséquences possibles

La culture, à peine évoquée dans le texte et même pas citée dans l’exposé des motifs, est l’objet d’un silence obséquieux, qui témoigne plus de l’évitement que du respect, à peine troublé par les débats avignonnais de cet été 2014, eux-mêmes déstabilisés par le mouvement de contestation du nouveau régime des intermittents du spectacle. Après sa suppression tentée lors des derniers épisodes, le maintien d’une clause générale de compétence est hypocrite. À quoi sert ce maintien si la compétence est essentiellement non obligatoire, en période de crise, et donc victime désignée de toute régulation budgétaire ? L’action publique est pourtant déterminante pour la culture, selon une logique qui oppose une option libérale – où l’intervention publique ne se justifie que par la défaillance absolue du marché – et un point de vue keynésien toujours d’actualité. 1 – Déconcentration, décentralisation : bilan Quatre progrès.

« Pourquoi ne pas transférer les ressources des Drac aux régions ? » Emmanuel Négrier, directeur de recherche au CNRS. Culture Publié le 24/07/2014 • Par Hélène Girard • dans : France Profiter de la réforme territoriale pour transférer aux régions les moyens financiers et humains des directions régionales des affaires culturelles aux régions.

« Pourquoi ne pas transférer les ressources des Drac aux régions ? » Emmanuel Négrier, directeur de recherche au CNRS

C’est, en substance, la suggestion « choc » qu'a faite Emmanuel Négrier, spécialiste des politiques culturelles en Avignon ce 17 juillet. Selon lui, il y a urgence, compte tenu du contexte budgétaire. Dans un entretien avec La Gazette, le chercheur développe ses arguments. Crédits Salah Mansouri A la faveur d’un débat organisé en Avignon le 17 juillet 2014 par la Fédération nationale des élus socialistes et républicains, Emmanuel Négrier(1), directeur de recherche au CNRS (Centre d’études politiques de l’Europe latine, CEPEL, Université de Montpellier 1) et spécialiste des politiques culturelles, a plaidé pour un transfert des ressources des directions régionales des affaires culturelles (Drac) aux régions.