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Biomimetisme

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La Boîte à Champigons culture des pleurotes sur marc de café. Cophenol : la start-up qui veut recycler les déchets de café. Open_resource by SUEZ Depuis 2014, Emmanuel Thiéry, jeune diplômé en neuroscience et physique-chimie, travaille au développement d’une start-up dédiée au recyclage des déchets de café : Cophenol. L’idée ? Développer un procédé innovant visant à transformer les déchets de café en un engrais organique. Avec plus de 7,4 millions de tonnes produites par an, le café représente la deuxième production mondiale en valeur derrière le pétrole. L’enjeu de la valorisation de ses déchets est immense : si certaines start-up se sont spécialisées dans le recyclage du marc de café, ce dernier ne représente qu’une fraction des déchets générés. La décomposition des déchets produits peut ainsi avoir pour conséquence des émissions de méthane, un déséquilibre des nutriments contenus dans le sol ou encore la pollution des nappes phréatiques.

Cophenol : des déchets de café… au « biochar » Les bénéfices de cette solution seraient tant écologiques qu’économiques : Comment le projet est-il né ? Et maintenant ? A. The Blue Economy - Home. Home - Le champignon de Bruxelles. 3-Design Biodesign Biomimétisme. Zeri coffee farming system - AskNature. Biomimetisme. Lysine. La lysine est un acide aminé : l’acide 2,6-diaminohexanoïque, dont la formule brute est C6H14O2N2 . Elle possède donc deux fonctions amine. La lysine, sous sa forme isomérique lévogyre exclusivement, est, pour l’homme et de nombreux animaux, un acide aminé essentiel qu’ils ne sont pas capables de synthétiser.

Par ailleurs, les céréales sont, pour la plupart, pauvres en lysine. Il est donc nécessaire de renforcer la ration alimentaire des animaux monogastriques (porcs, poulets) par de la lysine. Après l’abandon des procédés d’extraction de la lysine à partir des protéines et des procédés enzymatiques, les deux sources de lysine sont aujourd’hui les tourteaux de soja et la fermentation. L’économie de la connaissance : un nouvel eldorado ? - Le Cera. Compte rendu de la 68ème rencontre du CERA du vendredi 27 mars 2015 Partager une somme d’argent c’est la diviser, partager une information c’est la multiplier. Partant de ce constat de bon sens, Idriss ABERKANE développe sa théorie d’un nouvel eldorado fondé sur une source inépuisable d’énergie : la connaissance. Chercheur à l’Université de Stanford en Californie et à l’Université de Paris-Saclay, il étudie l’interaction entre savoir et pouvoir, et entre savoir et paix.

Noopolitik, biomimétique, neurosciences… des concepts savants qu’Idriss ABERKANE maîtrise parfaitement et met à notre portée. Il nous fait comprendre les enjeux et les impacts de la science du cerveau dans notre vie quotidienne, notamment par les jeux vidéo. Présentation d’Idriss ABERKANE par Gilles RANNOU À 29 ans, Idriss ABERKANE a déjà vécu de nombreuses vies si l’on en croit tous les domaines qui l’intéressent et qu’il aime à partager avec tous les publics de 0 à 99 ans.

Idriss ABERKANE Avez-vous déjà vu ce bâtiment ? Biomimétisme UP conférence. Biomimétisme et Architecture. Voici un tableau regroupant des informations sur des projets en lien avec le biomimétisme dans un esprit de développement durable au sens large, c’est à dire œuvrant pour une réduction de l’empreinte des bâtiments sur l’environnement, agissant pour la préservation ou l’augmentation de la biodiversité. (voir aussi les lectures recommandées sur le thème sur Orgone Design. Les projets présentés ne se classent pas forcement dans l’approche biomimétique mais plutôt dans le bio-morphisme ou l’écologie. Projet de ferme vertical : Frei Otto concepteur du toit du stade olympique de Munich, qui met à profit la notion de surface minimale que l’on retrouve dans les structures des toiles d’araignées. voir également Paul Maymont (1926 à Paris – 20 mars 2007) Biomimicry in architecture and the start of the Ecological Age de Michael Pawlyn, revue de l’article ici (en anglais). Des robots pour remplacer les abeilles ? Greenpeace lance une campagne choc.

L'organisation écologiste Greenpeace a lancé une nouvelle campagne choc pour appeler à réagir contre le déclin des abeilles. Une vidéo imagine à quoi pourrait ressembler l'agriculture si les pollinisateurs venaient à disparaitre. "Ceci n’est pas notre vision de l’avenir de l’agriculture". Voilà le slogan de la nouvelle campagne choc lancée par l'organisation écologiste Greenpeace. Objectif : appeler à réagir face au déclin des abeilles. "Le déclin des abeilles ne relève pas de la science-fiction, c’est une réalité", explique Greenpeace. Et pour l'organisation, l'une des causes principales de cette disparition ne fait aucun doute : il s'agit des pesticides. Un rapport récemment dévoilé par Greenpeace suggère que "plus de deux-tiers des pollens prélevés dans les champs et ramenés à la ruche par les abeilles ouvrières seraient contaminés" par au moins un pesticide d'une liste comprenant une cinquantaine d'insecticides, fongicides et herbicides.

Des abeilles remplacées par des robots. Biomimesis. Quand la nature inspire les ingénieurs. Comment s'inspirer de la nature pour innover tout en la respectant ? C'est le biomimétisme. Le projet de loi sur la biodiversité sera examiné le 19 juillet en dernière lecture par l'Assemblée nationale. Parmi le mesures : comment innover en s'inspirant du vivant mais tout en le protégeant ? C'est le biomimétisme. Des animaux et végétaux dans notre quotidien Leonard de Vinci avait imaginé une machine à voler en observant les oiseaux. Inventer un nouvel éclairage en observant les calamars Sandra Rey, une jeune entrepreneuse française de 26 ans, a fondé la start-up Glowee qui fabrique de la lumière en s'inspirant des calamars. "Le calamar a un organe qui permet d’avoir une culture de petites bactéries bioluminescentes. La start-up a reçu des prix, des fonds, et a été remarquée par le MIT (le prestigieux Institut de Technologie du Massachusetts).

Un nouveau béton sur le modèle des huitres ? "Le vivant a du résoudre exactement les mêmes défis que nous. Un nouveau marché pour les entreprises. Biomimétisme : des drones filmeront mieux... grâce aux cygnes. Sans relâche, la nature développe des stratégies qui permettent aux organismes vivants de s'adapter à leur environnement. Les ingénieurs s'intéressent de plus en plus près à ces stratégies gagnantes avec pour objectif de les transposer ensuite en une technologie. C'est ce que l'on appelle le biomimétisme. C'est ce qui a encouragé une équipe de l'université de Stanford (États-Unis) à étudier la façon dont les cygnes chanteurs, les plus grands cygnes d'Europe, parviennent à maintenir la stabilité de leur tête pendant le vol. Leur idée : développer un système de suspension pour caméra permettant aux drones de produire des images d'une netteté exceptionnelle.

Il faut savoir que les ingénieurs du secteur aéronautique se passionnent depuis longtemps pour ces animaux majestueux capables de prouesses aériennes étonnantes. Les perturbations verticales sont stabilisées grâce à un système d'amortissement élastique rattaché au cou des cygnes. Un robot miniature qui saute sur l'eau. Un robot amphibie qui saute comme une araignée d'eau La science tente souvent d'imiter la nature afin de tirer parti des solutions qu'elle y trouve, cela s'appelle le biomimétisme. Pour créer ce petit robot amphibie, les chercheurs se sont inspirés de l’araignée d’eau. Très léger, il est capable de sauter en prenant appui sur la surface de l'eau, comme on peut le voir dans cette vidéo. Il y a déjà plus de dix ans, Futura-Sciences publiait un article présentant Robostrider, le robot qui marchait sur l'eau, réalisé au MIT (Massachusetts Institute of Technology). En anglais, water strider désigne le gerris, ou araignée d'eau, ce petit insecte aux longues pattes qui court sur l'eau.

Il passionne visiblement les chercheurs, notamment Je-Sung Koh, Robert J. Aujourd'hui, ces chercheurs montrent en vidéo un modèle plus petit et plus étonnant, décrit dans un article publié dans la revue Science. Leur robot refera-t-il le même exploit ?