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4èmes Assises nationales de la qualité de l'air, 9 et 10 octobre, Paris. Save the date ! Le Ministère de la transition écologique et solidaire et l'ADEME co-organisent les 4èmes Assises nationales de la qualité de l'air les 9 et 10 octobre au Beffroi de Montrouge (Portes de Paris). ATMO France, le réseau des Associations agréées de surveillance de la qualité de l'air (Aasqa), est partenaire de l'évènement placé sous le fil rouge "Tous acteurs : la démonstration par l'exemple". Pour la première fois, un forum des initiatives est organisé pendant la manifestation, les candidatures sont à déposer avant le 6 avril 2018. Le fil rouge retenu est « Tous acteurs : la démonstration par l’exemple », avec une ambition collective : renforcer la dynamique en mettant en valeur des initiatives et en partageant des témoignages de collectivités, entreprises et associations qui agissent pour améliorer la qualité de l'air extérieur et intérieur.

Forum des initiatives : partagez vos actions et bonnes pratiques en faveur de l'air. L’air des écoles très chargé en polluants. Plus d'une centaine de polluants recherchés.DR Particules fines, composés organiques semi volatils (COSV), pesticides, perturbateurs endocriniens en pagaille… la composition de l’air et des poussières des écoles maternelles et primaires du pays a été détaillée pour la première fois par l’Observatoire de la qualité de l’air intérieur (OQAI). Les écoles (à peine) moins polluées que les logements. Maigre consolation pour les élèves des 301 écoles maternelles et primaires dont l’OQAI a mesuré l’exposition à plus d’une centaine de composés, présents dans les poussières qui les environnent et l’air qu’ils inhalent au moins 8 heures par jour. Qu’elles soient émises par le mobilier scolaire, les revêtements, les produits d’activités, les produits d’entretien, ou issues de l’environnement extérieur ou d’une mauvaise ventilation chronique ou ponctuelle, ces substances sont toutes réputées délétères pour la santé, à des niveaux divers, comme l’indique le bulletin de l’OQAI publié ce 25 juin.

La première campagne de mesure des pesticides dans l’air démarre en France. Le glyphosate et le chlordécone font partie des 90 substances qui seront recherchées pour mieux connaître l’exposition de la population LE MONDE | 25.06.2018 à 08h35 • Mis à jour le 25.06.2018 à 08h40 | Par Stéphane Mandard On sait que les Français, particulièrement dans les grandes agglomérations, respirent un air souvent trop chargé, notamment en particules fines et en dioxyde d’azote.

Mais qu’en est-il des pesticides ? Les données manquent. Pour combler cette lacune, une première campagne de mesure des résidus de pesticides dans l’air est lancée lundi 25 juin par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). Elle durera un an avec l’objectif de mieux connaître l’exposition de la population et de définir une stratégie de surveillance qui fait aujourd’hui défaut. Car si la présence de pesticides est contrôlée dans les aliments ou dans l’eau, elle n’est pas réglementée dans l’air. « Urgence à agir » Comprendre et prévenir les impacts sanitaires de la chaleur dans un contexte de... L’ONU fait du 3 juin la « journée mondiale pour le vélo ». Demandez le programme! Une fanfare cycliste venue des Pays-Bas, lors de la fête du vélo à Lille, en 2014. La date du 3 juin était encore libre. Entre la journée mondiale de sensibilisation aux passages à niveau (on n’invente rien), le 2 juin, et la journée internationale des enfants victimes d’agression, le 4 juin, l’ONU a inséré une « journée mondiale pour le vélo ».

La décision a été prise lors de l’assemblée générale du 12 avril, par consensus entre les 193 pays membres, peut-on lire sur le site de la Fédération des usagers de la bicyclette (FUB). Une journée mondiale pour le vélo, mais encore? Ça n’engage à rien, ça ajoute une date dans l’interminable calendrier des journées mondiales de quelque chose et, avouons-le, il y a de quoi ricaner. On doit cette initiative au lobby européen ECF et à la World Cycling Alliance, qui regroupe les associations pro-vélo de la planète. Cela a tout de même le mérite d’inscrire les fêtes du vélo, qui se déroulent à cette époque de l’année, dans un mouvement général. Lyon. Journée mondiale de l’environnement : bannissez les produits plastique à usage unique. Canicule et changement climatique : bilan des fortes chaleurs en 2017 et impacts sanitaires de la chaleur. Au lancement de la surveillance du système d’alerte canicule et santé qui a débuté le 1er juin et à l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement, Santé publique France publie le bilan national de l’impact sanitaire des épisodes de fortes chaleurs de 2017 ainsi qu’un numéro spécial du bulletin épidémiologique hebdomadaire sur les impacts sanitaires de la chaleur dans un contexte de changement climatique.

Les vagues de chaleur sont un exemple directement mesurable des risques sanitaires posés par le changement climatique sur la santé. Malgré une prévention importante au travers du plan national canicule, des impacts sanitaires sont observés chaque année. Les réduire, tout en faisant face à des vagues de chaleur plus fréquentes, est un défi pour la santé publique car il nécessite de combiner une prévention très rapide pendant les alertes, à des interventions de fond pour rendre les villes plus résistantes face à la chaleur. Chiffres clés 2017 – L’essentiel à retenir En savoir plus : Canicule et fortes chaleurs : le dispositif de surveillance saisonnière sera activé du 1er juin au 15 septembre 2018 en France métropolitaine.

Compte tenu du changement climatique, les phénomènes météorologiques de fortes chaleurs s’avèrent chaque année de plus en plus fréquents et intenses en France métropolitaine. Dans ce contexte, Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, a réuni ce jour l’ensemble des acteurs du Plan national canicule (PNC) dont le dispositif sera activé comme chaque année le 1er juin. Objectif : mobiliser et impliquer l’ensemble des partenaires concernés dans leurs missions de prévention et d’accompagnement des populations, notamment les plus vulnérables. A partir des études menées par Santé Publique France, la ministre des Solidarités et de la Santé a rappelé que les impacts sanitaires ne se limitent pas aux canicules mais apparaissent dès les premiers pics de chaleur, notamment pour les populations fragiles (personnes âgées, enfants en bas âge, personnes sans abri…). La France creuse sa « dette écologique » Si le monde entier vivait comme les Français, les ressources naturelles que la planète peut renouveler en un an seraient consommées dès le 5 mai.

Le Monde | 04.05.2018 à 00h41 • Mis à jour le 04.05.2018 à 09h48 | Par Pierre Le Hir La France a commencé à réduire son déficit budgétaire, mais son déficit écologique, lui, continue de se creuser inexorablement. C’est l’alerte que lance le WWF dans un rapport publié vendredi 4 mai. A compter du samedi 5, les Français vivront en quelque sorte à crédit : si leur niveau de consommation était généralisé à la planète, l’ensemble des ressources que la nature peut renouveler en un an serait d’ores et déjà épuisé. Sans doute cet indicateur présente-t-il des limites. Il donne en effet un poids prépondérant aux émissions carbonées (60 % de l’empreinte écologique) et ne prend pas en compte des facteurs tels que la perte de biodiversité, la pollution ou la pression sur la ressource en eau.

Modèle de développement « Pas de planète B » Neuf personnes sur 10 respirent un air pollué dans le monde. Les niveaux de pollution de l’air restent dangereusement élevés dans de nombreuses parties du monde. De nouvelles données de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) montrent que 9 personnes sur 10 respirent un air contenant des niveaux élevés de polluants. Les dernières estimations révèlent que 7 millions de personnes meurent chaque année à cause de la pollution de l’air ambiant (extérieur) et à cause de la pollution de l’air à l’intérieur des habitations ; c’est un chiffre préoccupant. «La pollution de l’air est une menace pour nous tous, mais les populations les plus pauvres et les plus marginalisées sont les premières; à en souffrir», explique le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS.

«On ne peut pas accepter que plus de 3 milliards de personnes – surtout des femmes et des enfants – continuent de respirer tous les jours des fumées mortelles émises par des fourneaux et des combustibles polluants à l’intérieur de leurs habitations. Principales conclusions.