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L’absurde tour du monde des coquilles Saint-Jacques bretonnes. Que deviennent les millions de coquilles vides des Saint-Jacques bretonnes, une fois décortiquées ?

L’absurde tour du monde des coquilles Saint-Jacques bretonnes

Le Télégramme nous apprend qu'une grande partie d'entre elles est envoyée au nettoyage... en Chine. Avant de revenir en Bretagne, pour être garnies. Le quotidien breton s'intéresse précisément aux coquilles issues de l'usine de décorticage Celtarmor, à Saint-Quay-Portrieux, qui les envoie par cargo à l'autre bout du monde. Pour "une question de coût", explique Georges Brézellec, vice-président de la Cobrenord, une coopérative qui détient 40 % de l'usine. Un pêcheur de coquilles Saint-Jacques au large de Quiberon. Une situation absurde à laquelle compte remédier la communauté de communes du Sud-Goëlo, avec le concours de Celtarmor. L'idée, encore en discussion, serait d'y faire travailler des personnes en situation de handicap, ce qui permettrait de remplir une mission sociale tout en réduisant les coûts d'exploitation. Signaler ce contenu comme inapproprié. Le système « zéro déchet » de San Francisco en 7 questions.

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Alexandre Pouchard San Francisco s'est engagée en 2002 à parvenir au « zéro déchet » d'ici à 2020.

Le système « zéro déchet » de San Francisco en 7 questions

La ville californienne a depuis pris une série de mesures et dépasse désormais les 80 % de détritus recyclés ou compostés. >> Lire le reportage : Comment San Francisco s'approche du « zéro déchet » 1. Que signifie « zéro déchet » ? L'objectif adopté par San Francisco est de parvenir à zéro déchet envoyé en décharge ou en incinérateur, soit 100 % de ses détritus recyclés ou compostés. 2. L'initiative a de multiples implications pour les San Franciscains. 3. Cela fait certes une poubelle de plus, mais la taille peut être différente. La poubelle des déchets organiques peut elle aussi ne pas être trop grande : mieux vaut la vider régulièrement pour qu'elle ne sente pas. Puisqu'il est compliqué de faire payer chaque habitation en fonction du poids de déchets généré, San Francisco a mis en place un système incitant financièrement à recycler et composter.

Le plan d'Anne Hidalgo pour réduire la pollution à Paris. Comment San Francisco s'approche du « zéro déchet » La ville californienne a adopté en 2002 l'objectif « zéro déchet » envoyé en décharge ou en incinérateur.

Comment San Francisco s'approche du « zéro déchet »

Et se donne les moyens d'y parvenir. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Alexandre Pouchard (San Francisco, envoyé spécial) Le soleil n'est pas encore levé qu'un étrange ballet commence. Chacun à leur tour, des dizaines de camions viennent déverser des tonnes et des tonnes de restes de nourriture, d'herbe coupée, de branchages. Un mois plus tard, ces déchets organiques ressortiront sous la forme d'un riche compost aussi fin que du sable. Pour parvenir à ce but jamais atteint par une aussi grande ville dans le monde, San Francisco fait preuve de volontarisme politique et multiplie les initiatives législatives. Lire le détail : L'arsenal législatif de San Francisco pour arriver au « zéro déchet » « Les bouteilles d'eau en plastique coûtent cher à produire et ont un coût environnemental considérable.

Tout restait alors à faire. « On nous a traités de fous », sourit-il. 6.La tragédie électronique.