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L'Economiste. Maghress. Bourse de Casablanca : les analystes ne croient plus autant en la reprise. Rapport Annuel. RAPPORT_ANNUEL_2012_fr. E-Borsa%20Aout%202013%20N2. Bourse de Casablanca. Bourse de Casablanca. S%C3%A9minaire_Casablanca. Bourse de Casa : pas d’éclaircie en 2013. Bourse - tout à propos de Bourse. Le Maroc n’est plus un "pays émergent" ! (15 juin 2013) La Maroc a été déclassé de "pays émergent" à "pays frontière", dans le Morgan Stanley Country Index (MSCI), publié mardi, un déclassement qui pourrait avoir des répercussions négatives sur les investissements étrangers dans le Royaume. Le Maroc, 8e plus grande réserve d’or du monde arabe(11 avril 2012) Le Maroc détiendrait la huitième plus grande réserve en or du monde arabe, avec une réserve estimée à 22 tonnes d’après la version arabe du magazine Forbes. Bientôt des comptes en banque gratuits pour les étudiants(13 janvier 2012) Le ministre de l’Enseignement Supérieur Lahcen Daoudi, a affirmé que son département étudiait la possibilité d’ouverture de comptes en banque gratuits pour les étudiants boursiers.

Les diplômés chômeurs envahissent la bourse de Casablanca (27 octobre 2011) Asâar ou la bourse des produits agricoles(4 octobre 2011) La réserve en or du Maroc estimée à 22 tonnes(30 septembre 2011) Veolia quitte le Maroc(6 août 2011) La Bourse de Casablanca peine à se relancer. Aucune introduction n'est, pour l'heure, prévue en 2013. Jugée trop chère et manquant de liquidité, la Bourse de Casablanca n'est plus considérée comme un « marché émergent » par le fournisseur d'indices MSCI.

Un déclassement qui pourrait, paradoxalement, lui profiter. La période de vaches maigres semble interminable à la Bourse de Casablanca : l'indice Masi, qui mesure la performance globale du marché, a chuté d'environ 5 % depuis le début de l'année, après avoir enregistré un recul de plus de 15 % en 2012. La Place marocaine souffre d'un manque chronique de liquidité et peine à attirer les investisseurs. Les raisons ? Les dirigeants de l'époque avaient promis de compenser cette perte en capital flottant (titres potentiellement négociables sur le marché) par l'introduction de neuf filiales matures du nouveau holding, mais, plus de trois ans après l'opération, les investisseurs attendent toujours.

Long terme Deux autres raisons expliquent le manque de liquidité de la Place casablancaise. Bourse De Casablanca. Casablanca comparée aux Bourses de la région Mena. Elle s'est fortement développée depuis trois ans mais reste encore mal placée comparée à six Bourses arabes. 64 sociétés cotées contre 600 en Egypte, 227 en Jordanie et 180 au Koweït. Envolée des volumes mais faible taux de rotation. Techniquement, Casablanca est aux normes internationales. Croissance importante et durable des indices, capitalisation boursière qui a presque doublé, nombre de sociétés cotées en hausse, expansion des volumes, avancées sur les plans réglementaire et technologique... Depuis 2004, la Bourse de Casablanca semble avoir pris le chemin d’une croissance régulière - même si elle reste trop forte -, selon certains analystes.

Tous ces éléments ont fini par séduire les épargnants et investisseurs marocains, mais aussi étrangers qui, après quelques années de va-et-vient, ont à nouveau accordé leur confiance à la place casablancaise. A commencer par le nombre de sociétés cotées. Ceci pour les indicateurs du marché. Souhail Nhailiwww.lavieeco.com.

Les bourses d’Afrique francophone se donnent la main. La naissance d’une organisation professionnelle lors de l’assemblée constitutive de Casablanca, au Maroc, pose les jalons d’une institution déterminée à jouer un rôle plus important dans le développement du continent africain. Le Comité exécutif mis sur pied et dirigé par Karim Hajji, directeur général de la Bourse de Casablanca. La dynamisation du secteur des marchés financiers constitue une préoccupation majeure pour les pays africains d’expression francophone. Réunis à Casablanca courant avril 2011 à l’initiative du Maroc, du Cameroun et de la Tunisie, les participants ont, au cours d’une assemblée constitutive, décidé de créer l’Association des bourses francophones d’Afrique (ABFA).

Renforcement de la coopération En dehors du Maroc et de la Tunisie, dont les places boursières font partie des plus importantes du continent, les autres pays francophones sont, dans leur écrasante majorité, à la traîne. Achille Mbog Pibasso, Douala. L'art du trading - Thami Kabbaj.