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Management

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La justice condamne le benchmark des salariés - Risques psychosociaux - Ressources humaines. Atterré. Complètement atterré ! Voilà la réaction de Jérôme Bonnard à peine sorti de réunion au siège du groupe Banque Populaire-Caisse d'Epargne (BPCE), à Paris, en ce 18 septembre. Comme d'autres représentants du personnel, le secrétaire général de SUD-BPCE attendait beaucoup de cette Commission paritaire sur les conditions de travail.

Mais quelle déception ! A l'ordre du jour : le benckmark, la méthode d'évaluation des salariés du groupe que vient de mettre à l'index le Tribunal d'instance de Lyon. « La DRH s'est carrément montrée insensible à cette décision de justice ! Evaluations tous azimuts Le 4 septembre, le TGI de Lyon a pourtant interdit la pratique du benckmark à la Caisse d'Epargne Rhône-Alpes Sud, la condamnant en outre à une amende de 10 000 euros. Benchmark et souffrance mentale A la BPCE, malgré les mesures mises en place (observatoire des risques psychosociaux, numéro vert, plan d'action qualité du travail), la pilule du benckmark n'est pas passée. Le rire dans l'entreprise : "l'humour est une forme de management" Le rire dans l'entreprise : l'humour est une forme de management © Digital Vision Au bureau, il y a les adeptes de mail rigolo ou les aficionados du bon mot.

Des plaisantins qui l'air de rien changent notre quotidien. Dans son « Petit traité d'humour au travail » (Éd. Terrafemina : Vous l’écrivez : l’humour est important voire indispensable au travail. David Autissier : En tous cas dans les faits, ils ne le sont pas ! Tf : Selon l’enquête que vous avez menée, l’humour fait encore largement défaut dans les entreprises françaises.

D. Tf : N’y-a-t-il aucun risque à utiliser l’humour au travail ? D. Tf : Peut-on vraiment rire de tout et avec tous ? D. Tf : Qu’est-ce que l’humour peut changer dans le quotidien au bureau ? D. Tf : Finalement, peut-on dire que l’humour est une forme de management ? D. Crédit photo : iStockphoto Top 10 des applis pour vous faciliter la vie professionnelleTravailler en couple : vie pro et vie privée peuvent-elles faire bon ménage? Bien-être au travail : l’égalité hommes-femmes est importante pour 91% des femmes. Le bien-être au travail est au cœur des préoccupations des salariés et de leurs dirigeants ces derniers temps. Il est devenu un sujet majeur. Parmi les facteurs de bien-être on peut compter les relations avec les collègues, l’ambiance, l’aménagement des bureaux, la charge de travail…mais aussi l’égalité entre hommes et femmes au sein de l’entreprise. Pour 59% des femmes, la parité en entreprise est un facteur « très important » de bien-être au travail, pour 32% c’est un facteur « assez important » : au total 9 femmes sur 10 jugent cet aspect important pour leur bien-être au travail.

Les hommes sont légèrement moins nombreux à le juger comme un facteur important de bien-être mais ils sont tout de même 84%. 47% déclarent que l’égalité hommes-femme prévaut dans leur entreprise, 20% jugent que non mais que la situation s’améliore, 25% disent que non et ne voient pas d’amélioration et 8% déclarent que la situation empire. Article publié le 20 Avril 2012 par Stéphane Waller, Meltis. Online learning and the future of credentials. By Salman Khan, CNN Let’s try a simple thought experiment: What if we were to separate the teaching and credentialing roles of universities?

What would happen if regardless of where (or whether) you went to college, you could take rigorous, internationally recognized assessments that measured your understanding and proficiency in various fields – anything from art history to software engineering. With our hypothetical assessments – microcredentials, if you will – people could prove that they know just as much in a specific domain as those with an exclusive diploma. Even more, they wouldn’t have had to go into debt and attend university to prove it.

They could prepare through textbooks, the Khan Academy or life experience. Because even name-brand diplomas give employers limited information, it would be a way for elite college graduates to differentiate themselves from their peers, to show that they have retained deep, useful knowledge. Une nouvelle concurrence pour la formation ? Par Michel Diaz. "Défi Ingénieurs" conçu par TBWA pour la SNCF, ou quand des agences de communication passent à la réalisation de serious games… Une nouvelle illustration des opportunités et des menaces qui attendent les offreurs de formation. On objectera que "Défi Ingénieurs" est plus un advergame (jeu vidéo publicitaire) qu'un serious game qui obéirait à une véritable stratégie de formation.

C'est vrai : il s'agit ici de donner envie aux jeunes ingénieurs de rejoindre la SNCF plutôt que d'un programme classique visant à développer des compétences. Il n'empêche : à défaut d'étudier ce jeu de plus près, certains acheteurs de formation un peu distraits pourraient bien intégrer TBWA dans leur référentiel… de prestataires de formation ! Enjeu de communication Ce qui ne saurait étonner : e-learning (ou serious games) et marketing entretiennent des liens toujours plus étroits.

Les fournisseurs e-learning sont amenés à composer de plus en plus souvent avec le marketing ou la "com" de leurs clients. Le journal du Management. Une Grande Triade du développement personnel. L’expérience montre que la désaffection de la lecture exerce une influence néfaste sur le développement des aptitudes rédactionnelles et oratoires. S’il est évident que cela est un signe inquiétant du désintérêt pour la culture (non seulement la nôtre mais aussi les cultures étrangères), cela est dans le même temps un marqueur inquiétant de l’ignorance de la vocation-même de la lecture.

Lire est une action privilégiée qui régit notre écriture et notre parole, d’où la grande triade du développement intellectuel : lecture, parole, écriture. Il ne faut jamais perdre de vue que tout ce que nos yeux perçoivent est maintenu à un état discret dans le cerveau : le processus de mémorisation s’enclenche par phénomène de répétition (l’acte de relecture, par exemple) mais aussi et surtout lorsque nous prenons l’opportunité d’écrire ce que nous inspire tel ou tel phénomène, puis d’en parler avec d’autres.

Fierté, confiance et plaisir : les 3 piliers de l'engagement des collaborateurs. Les 3 piliers de l’engagement Il existe probablement des tas de définitions de l’engagement dans l’entreprise. Sans doute est-il difficile de vouloir d’ailleurs en faire une définition, car il en existe autant qu’il y a de collaborateurs. En effet, il est réducteur et utopique de vouloir donner une définition générale à un état d’esprit qui ne peut se concevoir qu’individuellement. Cependant, cette notion me semble reposer sur 3 piliers, que sont la confiance, la fierté, et le plaisir. Je prendrai pour exemple l’engouement des services aux salariés (crèche, salle de sport, conciergerie…) qui, poussé par la porosité entre sphères professionnelle et personnelle et la nécessité de développer des actions concrètes à court terme, ne doit pas être la seule composante d’une stratégie RH, même si l’environnement quotidien est un élément à ne pas négliger dans l’engagement des collaborateurs.

La fierté Le plaisir La confiance La fierté, la confiance et le plaisir : les 3 piliers de l’engagement. Management : 5 conseils pour gérer un collaborateur jamais content. Il n'est jamais content, peste la plupart du temps contre l'organisation, les clients, les fournisseurs, ses collègues, la DRH, les services généraux ou ses supérieurs. Sa vie est un enfer et il le fait savoir autour de lui. Vous avez peut-être un tel collaborateur dans votre équipe ? Dans le langage de la formation, on le qualifie de "plaignant". "C'est quelqu'un qui arrive avec des problèmes sans avoir de réelle motivation pour les résoudre, décrit Isabelle Rey-Millet, associée du cabinet Ethikonsulting.

Sa vision des choses est toujours très négative et tout est extrêmement compliqué. 1. La difficulté des plaignants, c'est qu'ils sont envahissants. 2. Ne lui accordez pas trop de temps, mais un peu quand même. 3. Le piège, avec un plaignant, c'est de vouloir lui proposer des solutions. 4. Le plaignant a besoin d'être reconnu et valorisé. 5. Les patronnes de Livingsocial France gèrent habilement des effectifs jeunes et croissants.