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Des images libres pour promouvoir les Etats ? L’image d’un pays, ou sa réputation, passe aussi par la promotion touristique. C’est pourquoi bon nombre de pays sont dotés d’organisme plus ou moins autonomes ayant pour mission la promotion du pays à l’international. Pour la France, il s’agit d’Atout France, agence de développement touristique de la France. Elle s’occupe, entre autres, de toutes les campagnes pour attirer les touristes étrangers. Atout France semble accomplir sa mission avec rigueur et efficacité, puisque, comme on l’apprend si bien à l’école, la France est la 1ere destination touristique du monde. Seulement voilà, (et je remercie A. de m’en avoir fait part) un post du site Photofloue, publié le 4 avril, pointe le fait que le site promotionnel réalisé à l’attention des touristes britanniques vante les mérites des magnifiques régions françaises, de ses plages merveilleuses et des ses eaux enchanteresques.

La réputation d’un pays est souvent restreinte à une perspective financière. Like this: J'aime chargement… Digital Diplomacy. How the U.S. Engages the World with Social Media. The perception of the U.S. abroad varies widely, and is subject to many forces, including world events, media coverage, policy changes, and presidential administrations.

In response, the U.S. State Department, America’s public relations branch, has been charged with the difficult task of engaging in the dialogue surrounding the controversial policies discussed in almost every corner of the world. Social media has proven to be a valuable tool in this regard, and the State Department has made impressive gains in their mission to turn conflict into conversation. Cabinet officials, foreign dignitaries, and embassies are experimenting with ways to inject America’s voice into the global chatter. Some of their experiments are paying dividends that few expected. Social Media Can Bridge the "Last Three Feet" Obama’s responses alone, just out of sheer publicity, may have some positive impact on foreign attitudes. May was invoking Edward R.

Indeed, when Elizabeth Tradeau of the U.S. America is Fun. Les révoltes arabes sont-elles des "révolutions 2.0" ? Annie Daubenton » Blog Archive » Quel relooking pour les Etats qui ont mauvaise réputation ? Depuis longtemps déjà les politiciens exploitent les ressources de leur image pour susciter l’adhésion des électeurs. Mais dans la course internationale, les États ont également recours aux services de professionnels chargés d’améliorer l’image donnée par leur pays soucieux de surmonter les handicaps de leurs mauvaises réputations ; il s’agit ainsi d’attirer les bonnes grâces de l’Europe, du FMI, des États-Unis avec leur course au désarmement ou tout simplement de séduire les touristes. Certains États post-soviétiques ne négligent pas cet aspect de leur nouvelle marche vers un monde davantage unifié et se livrent à un premier bilan.

Le plus gros investisseur de l’Est en la matière est sans nulle doute la Russie qui use à la fois des techniques les plus en pointe et des anciennes manières à la soviétique pour maquiller ses forfaits ou montrer avantageusement ses réussites. L’État mobilise pour cela des sommes qualifiées de « significatives ». La révolution Facebook: le printemps arabe et le futur politique des réseaux. Dans les pays les plus avancés sur le plan technologique, les hommes politiques se sont déjà emparés des outils internet avec grand profit – l’exemple le plus connu en est la levée de fonds de Barack Obama pour la campagne présidentielle de 2008, qui a atteint près de 750 millions de dollars, dont beaucoup récoltés en ligne –, mais la révolution tunisienne et, en Egypte, les manifestations qui ont entraîné la chute du président Hosni Moubarak montrent que les réseaux sociaux sont, sur le plan politique, beaucoup plus puissants qu’on ne l’imaginait auparavant.

Les révolutions naissent avec les moyens du bord, et selon les spécialistes de l’Afrique du nord, pour les Tunisiens et les Egyptiens, un certain nombre de circonstances particulières ont fait des réseaux sociaux, et en particulier de Facebook, une arme de premier choix. D’abord, parce que les citoyens de ces deux pays apprécient le web en tant que source d’information non censurée.

Facebook est aussi populaire en Tunisie. Google my state. Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réputation. On peut aimer nos voisins transalpins, admirer leur raffinement et leur créativité, et tout à la fois s’étonner de leur complaisance avec les facéties de leur Premier Ministre. A moins que celui-ci n’agisse que par procuration, et réalise ainsi les fantasmes de tout bon romain. Dans le choix d’un élu, il y a un curieux mélange d’identification et de représentation, et celui de Silvio Berlusconi n’est pas neutre. Dans une Italie qui refuse de vieillir, il faut saluer celui qui, au-delà de ses obligations politiques, et au risque de sa santé, porte haut le flambeau national. Elu sur sa réputation, le meilleur « ami politique » (!) Européen de Sarkozy, ne manque pas une occasion de la nourrir, avec générosité et tempérament. On est loin des petites fantaisies de Bill Clinton, qui pour une « faveur » révélée, a bien failli perdre son fauteuil. En fait, il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réputation!

Revendiquer sa responsabilité apporte souvent des circonstances atténuantes. Pino le fataliste.